par risque, par espérance, par distraction, par hasard.
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Articles
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Le Client #13 | « Eh bien je vous propose l’égalité. »
12 août 2013 -
Le Client #15 | « Je ne crains pas de me battre, »
14 août 2013, par arnaud maïsettiles règles que je ne connais pas
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Le Client #6 | « Et si – par hypothèse – »
3 août 2013, par arnaud maïsettiet le goût de désirer, et l’idée d’un désir
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Guy Cassiers et Maud Le Pladec | Produire l’effacement
3 août 2017, par arnaud maïsettiGrensgeval, mise en scène par Guy Cassiers et Maud le Pladec [Avignon In, Parc des Expositions] – juillet 2017
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Layla, à présent je suis au fond du monde | Un projet
28 novembre 2015, par arnaud maïsettiProjet de spectacle, pour une comédienne La Compagnie Le Projet Notes d’intention Écoutons, la confession d’un compagnon d’enfer : « Ô divin Époux, mon Seigneur, ne refusez pas la confession de la plus triste de vos servantes. Je suis perdue. Je suis soûle. Je suis impure. Quelle vie ! « Pardon, divin Seigneur, pardon ! Ah ! pardon ! Que de larmes ! Et que de larmes encor plus tard, j’espère ! « Plus tard, je connaîtrai le divin Époux ! Je suis née soumise à Lui. — L’autre peut me (...)
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THTR | Lendemain de Joseph Danan
14 décembre 2016, par arnaud maïsettiParution aujourd’hui du sixième texte de la collection THTR que je co-dirige avec Christophe Triau aux éditions Publie.net. Après Figures Nues de Amin Erfani, Jusqu’à ce que et Balivernes hivernales de JY, Dehors Dedans de Arnaud Rykner, et l’essai sur le théâtre de Christiane Jatahy, heureux de voir naître ce jour Lendemain de Joseph Danan.
Une pièce somme, une sorte de traversée des formes théâtrales mais aussi des secousses de notre temps. Une langue minée par des langages qui l’irriguent. Et une (...) -
D’après Untitled de Zoukak
10 décembre 2018, par arnaud maïsettiIntervention à la journée d’étude « Le théâtre libanais comme forme et écriture de la révolte », Université Libanaise, Beyrouth, 4 décembre 2018
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André Markowicz | traduire des voix
15 janvier 2009, par arnaud maïsetti« à chaque fois qu’il y a césure, il y a envol »
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Théâtre | Les Filles perdues [Prologue]
29 mars 2015, par arnaud maïsettiprendre la parole à l’histoire
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derniers jours des derniers jours [Avignon #4]
24 juillet 2018, par arnaud maïsettiAu théâtre s’accuse leur goût pour le lointain. La salle est longue, la scène profonde. Les images, les formes des personnages y apparaissent, grâce à un jeu de glaces (les acteurs jouent dans une autre salle), y apparaissent plus réels que s’ils étaient présents, plus concentrés, épurés, définitifs, défaits de ce halo que donne toujours la présence réelle face à face. Des paroles, venues du plafond, sont prononcées en leur nom. L’impression de fatalité, sans l’ombre de pathos, est (...)
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Avant-Scène | Autour de La Mouette, de T. Ostermeier (La Criée, Marseille)
10 octobre 2016, par arnaud maïsettiTREPLEV – Des formes nouvelles, voilà ce qu’il nous faut, et s’il n’y en a pas, alors mieux vaut rien du tout. (Il consulte sa montre.) La Mouette, de Tchékhov, mis en scène par Thomas Ostermeier, à Marseille du 12 au 14 octobre – belle occasion d’engager le dialogue avec un travail qui s’impose, depuis plus de dix ans, comme un geste d’envergure pour penser le présent et s’y frotter.
TREPLEV, sans chapeau, portant un fusil et une mouette morte. – Vous êtes seule ? NINA – Oui. (Treplev dépose la (...) -
Sous les arches, Quai Ouest
3 février 2014, par arnaud maïsettiCe lundi, deuxième séance de l’atelier Quai Ouest avec les étudiants d’Aix-Marseille — atelier transversal pour première, deuxième et troisième année de DEUST Arts des métiers de la scène. Jouer avec le texte, plutôt que mettre en scène la pièce : approche de cette machine étrange qu’est cette œuvre de Koltès, immense. Manière de travailler sur la perception, la diction, la relation, l’écriture dramatique qui déjoue les codes de la représentation en les jouant, travail sur l’espace : une approche, oui.
La (...) -
ThTr | Balivernes Hivernales, de JY
8 janvier 2016, par arnaud maïsettitroisième texte,
hiver 2015 -
possibilités du théâtre
22 janvier 2010, par arnaud maïsettiSans un élément de cruauté à la base de tout spectacle, le théâtre n’est pas possible.
Antonin Artaud
Travées vides, rangées renversées au passage du regard, plateau abandonné à la pesanteur, poursuites traînées sur un bord du décor arbitraire, sans relief, accessoires éparpillés, costumes déchirés, d’une autre époque, d’un autre rôle pour une autre pièce.
Ma mémoire ressemble à un projet flamboyant et comme laissé en l’état.
Je passe devant lui sans rien toucher de peur qu’en déplaçant un objet tout (...) -
instamment, les guérisons (et la vie en dépeupleur)
8 avril 2012, par arnaud maïsettiElle, assise au milieu de cinq ou six autres, les uns à côté des autres, attendent, et l’un après l’autre, on dit leur nom, ils se lèvent, s’éloignent (depuis combien de temps ne suis-je pas allé chez le médecin ?). Elle est la seule à parler, je la vois bien, de là où je suis, qu’elle dit les mots qu’il faut, qui sous l’anodin dévoile la blessure la plus inavouable, celle qu’elle vient exposer parce qu’elle est là maintenant, au milieu des autres. La vie est un dépeupleur et la salle se vide. La salle (...)
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Enjeux numériques pour les écritures théâtrales
17 avril 2015, par arnaud maïsettiCommunication | colloque À l’écoute des écritures théâtrales émergentes depuis 2000, à Strasbourg, le 15 avril 2015.
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THTR | Lettres à Barbara Métais-Chastanier
11 février 2018, par arnaud maïsettiPour accompagner la parution d’Il n’y pas de certitude, suivi de La Femme® n’existe pas ?
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Théâtre | Les tombeaux sont appelés des solitudes, le texte
1er avril 2015, par arnaud maïsettiPourquoi avoir peur
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les voltigeurs et puis quoi
1er mai 2019, par arnaud maïsettiAu reguard de fanfarer et faire les petits popismes sur ung cheval, nul ne le feit mieulx que lui : le voltigeur de Ferrare n’estoyt qu’ung cinge en comparaison.
Rabelais, Garg. I, 23.
On apprend à se servir de nouveaux mots. Aujourd’hui, j’ouvre la radio, et celui de voltigeurs apparaît, simplement prononcé par ceux qui ont la parole comme si c’était un mot comme un autre, comme si c’était un mot acceptable et possible, et tranquille, comme si ce n’était pas un mot qui disait les coups qu’on donne (...) -
Blackface au théâtre de la Sorbonne | Tribune des 343 racisé•e•s
28 avril 2019, par arnaud maïsettil’art de l’oppression