Face au soleil, à l’Est, au vent, au sel, à la détresse du présent, à l’écœurement du passé, à l’avenir désirable malgré tout, à la folie de ne rien faire, au désœuvrement du dimanche, aux pensées mortes, aux pensées vives, à la simplicité d’être là simplement marchant sans pensée, à la joie d’être celui qui marche sans d’autres pensées, à tout ce qui approche et tombe, à tout ce qui vient, qui est là déjà, qui saute au visage et sur la route, la mer recommencée à mes pieds qui éclabousse – face à cela, tendre la main, prendre les images.