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_murs
Articles
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La Ville écrite | un mur propre
20 septembre 2017, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | poucet
26 juillet 2016, par arnaud maïsettije n’ai pas peur de la route
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La Ville écrite | les seuls étrangers
2 octobre 2016, par arnaud maïsettirue Palestro
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La Ville écrite | un très très bon retour des choses
15 mars 2019, par arnaud maïsettitrès très
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Théâtre intérieur | bloc-noir
20 novembre 2013, par arnaud maïsettiimages du théâtre mental — Plateau Théâtre Vitez
nov 13 -
La Ville écrite | [bruit de feuille qu’on arrache]
5 octobre 2018, par arnaud maïsettiles yeux crevés
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La ville écrite | Das Kapital
19 janvier 2019, par arnaud maïsettirenoncer aux illusions
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La Ville écrite | Je bois et puis je danse
1er juillet 2017, par arnaud maïsettiles sauvages
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La Ville écrite | j’existe
7 septembre 2016, par arnaud maïsettiles voies sont impénétrables (et inouïes)
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La Ville écrite | interdie
21 août 2017, par arnaud maïsettià l’insurrection de la langue
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La Ville écrite | de quel amour
21 novembre 2015, par arnaud maïsettij’aime tes yeux
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La Ville écrite | l’esprit qui dit
28 janvier 2017, par arnaud maïsettinon
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La Ville écrite | il faut se plaindre
3 juin 2019, par arnaud maïsettiEst-ce contre un homme que se porte ma plainte ?
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La Ville écrite | like
24 juillet 2016, par arnaud maïsettipouce en l’air
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[ phrases ] #1 — rêves de fuite
26 septembre 2011, par arnaud maïsettiLorsqu’il ouvrit les yeux sur le jour suivant
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la figure de chimères [2]
23 juillet 2010, par arnaud maïsetti12 photographies de gargouilles (et de sculptures aux frontons des églises)
série en cours -
La Ville écrite | décombres
5 juillet 2017, par arnaud maïsettidevenir de ville
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La Ville écrite | rien d’autre à faire
13 juin 2017, par arnaud maïsettirien, vraiment
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La Ville écrite | dégage
6 mai 2011, par arnaud maïsettiLa ville crache en l’air les mots qu’on lui hurle
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anyone
14 février 2011, par arnaud maïsettiAnyone and Everyone (Lhasa De Sela, ’Lhasa’, 2009)
Kafka nous parle d’un vieux marchand qui ne se soulevait plus qu’en rassemblant toutes ses forces. C’est la nuit. « Diable, crie-t-il, sauve-moi de l’environnement des ténèbres. » On frappe sourdement à la porte. « Vous, tout le dehors, entrez, entrez ! »
L’écrivain d’aujourd’hui, ce vieux marchand sans forces, jadis l’homme des échanges et du commerce heureux, est celui qui, pour se délivrer de la nuit, ne peut en appeler qu’à la nuit. Chose (...)