En una noche oscura
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_dieu
Articles
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Saint-Jean-de-La-Croix | « Pendant une nuit obscure »
21 mars 2012, par arnaud maïsetti -
sans croire écrire
4 décembre 2016, par arnaud maïsetti« Je crois à ce qu’on appelle journal, ou à ces notes qu’on prend sans croire écrire. Quelquefois je me dis : ne publie pas, mais ne cesse jamais d’écrire un moment, d’écrire ce papillon jaune qui traverse le jardin et qui, en volant, devient un archéologue du jardin, laisse mieux voir l’herbe et les arbres. Toute ma vie, je la voudrais faite de petits poèmes , ou de descriptions sans ces cohésions auxquelles on s’applique dans les romans. Je crois à la poésie du chaque jour qui est toujours présente (...)
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Georges Bataille, entretien 1951 | Dieu, ou rien #3
23 avril 2015, par arnaud maïsettipuisqu’on s’en fout
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du désespoir d’écrire
6 septembre 2011, par arnaud maïsettiLong Haired Child (Devendra Banhart, ‘Cripple Crow’, 2005)
Maybe when it’s day, it’s cold, and I know for certain / When I go outside and my head started hurtin / I’m gonna want that child to be a long-haired child
Peut-être cet effroi que j’avais – qu’ont tant d’autres – de coucher dans une chambre inconnue, peut-être cet effroi n’est-il que la forme la plus humble, obscure, organique, presque inconsciente, de ce grand refus désespéré qu’opposent les choses qui constituent le meilleur de notre vie (...) -
aboiements
14 juin 2010, par arnaud maïsettiBlack Eyed Dog (Nick Drake, "Time of No Reply" ; 1968)
A black eyed dog he called at my door The black eyed dog he called for more Ouverture opérée dans le haut du crâne pour voir du ciel les lueurs et les signaux. On forme en soi un puits de vide pour recueillir la lumière : on attend. Pourtant, la lumière qui descend sur soi n’éclaire pas l’intérieur du corps, mais fore jusqu’au dernier souvenir un grand tunnel qui opacifie le noir encore.
On se tient là, on ouvre les yeux sur ses peurs les (...) -
La Ville écrite | Secret des ratures d’Allah
1er juin 2015, par arnaud maïsettila vérité
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adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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Arnaud des Pallières | Michael Kohlhaas
17 août 2013, par arnaud maïsettiTerreur et douceur du temps injuste
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le maître est là (et il t’appelle)
2 septembre 2012, par arnaud maïsettile maître est là, et il t’appelle : je me retourne, il n’y a pourtant personne que moi.
il t’appelle et la porte est fermée. je frappe, j’entends le vide qu’il fait à l’intérieur, et puis beaucoup de silence.
le maître t’appelle encore : quand on viendra répondre présent, il répétera le nom, dans tout le vide qui s’est bâti depuis le temps qu’il lance ton nom, ton nom qui lui revient dans le vent, qui a fini par creuser ce lieu de toutes nos absences.
il faudrait peut-être croire en dieu pour cette raison (...) -
La Ville écrite | j’existe
7 septembre 2016, par arnaud maïsettiles voies sont impénétrables (et inouïes)
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La Ville écrite | ce qu’il reste d’Éden (rue des frigos)
17 octobre 2011, par arnaud maïsettiL’Éternel Dieu dit : Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous,
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La Ville écrite | religion est une foli (Aristote, Alexandre et la caresse)
2 avril 2012, par arnaud maïsettiqui absurdum
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Milan #3 | Il Duomo
5 juin 2022, par arnaud maïsettiEn levant les yeux
printemps 22 -
España #2 | Barcelona [2]
24 novembre 2014, par arnaud maïsettijusqu’à l’épuisement
automne 14 -
Milan #4 | Mille églises
11 juin 2022, par arnaud maïsettiEn cherchant l’ombre
printemps 22 -
Notre-Dame | cette ruine austère
16 avril 2019, par arnaud maïsettiNotre-Dame est bien vieille
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regards de Saint-Sébastien
29 août 2011, par arnaud maïsettiAll Saints (David Bowie, ’Low’1977)
« Et les archers le frappèrent jusqu’à ce qu’il soit recouvert de flèches comme un hérisson est couvert d’épines » Legenda Aurea
Des images de Calvaires, j’en compte près de trois cent. Au hasard, je trouve ce Saint-Sébastien, au visage qui transperce, le regard vide posé avec douceur sur la vieillesse du monde. Je m’arrête un peu devant lui, avec le sentiment incompréhensible que l’on se situe, ici, de l’autre côté de ce regard.
La vie de ce saint est manquante, comme (...) -
Récit de pierre
22 août 2011, par arnaud maïsettiSept photographies gravés sur la pierre
été 2011 -
Simulacres de croix
10 septembre 2011, par arnaud maïsetti17 photographies de ciel, sur fond de croix
été 2011 -
quand je fondais la terre (l’arbre de vie)
27 juin 2012, par arnaud maïsettiWhere were you when I laid the foundations of the Earth, when the morning stars sang together, and all the sons of God shouted for joy ?
« Où étais-tu quand je fondais la terre […] alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? »
(Livre de Job, chapitre 38-4)
Poussé en moi dans mes dérives, l’arbre : au bout de cette marche loin dans les quartiers de la ville, au sud, à l’ouest, là où il n’y a rien que des grandes tours (...)