hiver 14
de la friche, la mer, la ville, la montagne
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_ciels
Articles
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Marseille | Ce toit tranquille (entre les tombes)
16 février 2014, par arnaud maïsetti -
d’une saison l’autre, oubli, ravage
22 septembre 2016, par arnaud maïsetti22 septembre
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Pointe Rouge | ce qui dore, le soir
3 septembre 2016, par arnaud maïsettiAlain Bashung, Je me dore (Tournée des Grands Espaces, 2004) [/Jamais le soleil ne voit l’ombre. Léonard de Vinci /]
Et veille sur nous. Sur l’ennui terrible de ces jours avant la tempête, ou avant la nudité des branches. Avant les luttes qui recommenceront, et avant le sommeil qui viendra bien assez tôt. Avant les drames, après ce qui nous reste de joie. Veille sur nous depuis ce qui tremble sous le vent : le mot de canopée, celui de cime, d’adombrement du ciel par l’ombre elle-même. Tous ces mots (...) -
derniers feux, premières vagues
3 janvier 2018, par arnaud maïsetti2 janvier 2018
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VIDÉO | Marche
2 juillet 2017, par arnaud maïsettidans la folie de la lumière
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à l’envers du monde
25 novembre 2015, par arnaud maïsettidu train comme allégorie
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Respiration #2 | au bord
21 juin 2017, par arnaud maïsettiMarseille, Pointe Rouge
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entre deux éclats
4 octobre 2013, par arnaud maïsettiimages du ciel d’orage
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Marseille | sud, sud-ouest
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiface à l’île Maire (et à tout ce qui m’entoure)
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Sous les arches, Quai Ouest
3 février 2014, par arnaud maïsettiCe lundi, deuxième séance de l’atelier Quai Ouest avec les étudiants d’Aix-Marseille — atelier transversal pour première, deuxième et troisième année de DEUST Arts des métiers de la scène. Jouer avec le texte, plutôt que mettre en scène la pièce : approche de cette machine étrange qu’est cette œuvre de Koltès, immense. Manière de travailler sur la perception, la diction, la relation, l’écriture dramatique qui déjoue les codes de la représentation en les jouant, travail sur l’espace : une approche, oui.
La (...) -
ab irato (l’impitoyable)
23 février 2014, par arnaud maïsettiJ’aurais écouté Callous Sun dans une tendre rage ce soir, lentement pour l’apaiser en moi, ou pour éprouver davantage la lumière qui est si loin où je la respire, où je voudrais qu’elle soit.
J’aurais devant les pages rédigées tout à l’heure voulu souffler comme sur des cendres — tout qui se serait éparpillé.
J’aurais derrière moi quand la ville s’éloigne désiré retenir toute la vitesse du monde, et dire je reviens.
J’aurais remonté cette ville-là, dans le noir, et aux angles les tours de verre, tourner, et (...) -
la crevasse dans le glacier
9 mai 2020, par arnaud maïsetti9 mai 2020
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puis quand vient l’automne brumeuse
24 septembre 2017, par arnaud maïsetti24 septembre
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devant de plus faibles encore
11 avril 2020, par arnaud maïsetti11 avril 2020
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où tout plonge, abandonne-toi
7 avril 2015, par arnaud maïsettiÉcoute en abandon et le son et l’ombre du son dans la conque de la mer où tout plonge.
Victor Segalen
Cette pensée : qu’on ne pense pas assez à l’abandon ; on l’imagine comme renoncer au mouvement, ou plutôt se laisser emporter par sa propre faiblesse – cette image aperçue hier à l’écran, un skieur dévale la pente, poursuivie par une avalanche, il tombe, se redresse, peut repartir, regarde derrière lui, voit la furie de la neige le rejoindre, et la regarde une seconde de trop peut-être, ou est-ce la (...) -
à présent, comment serait-ce possible ?
13 mai 2021, par arnaud maïsetti13 mai 2021
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[Tondi] | Eh non
2 janvier 2014, par arnaud maïsettiévidemment,
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peut-être les regards des combattants me cherchent-ils à travers l’obscurité de la forêt
2 mai 2020, par arnaud maïsetti2 mai 2020
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contredire le soleil du solstice
24 décembre 2017, par arnaud maïsetti24 décembre
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le tranchant de l’œil en éveil
2 août 2017, par arnaud maïsetti2 août 2017