13 avril 2020
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_ciels
Articles
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la seule souffrance que tu puisses éviter
13 avril 2020, par arnaud maïsetti -
les aubes pas encore mortes
1er janvier 2019, par arnaud maïsetti1er janvier 2019
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sur la ligne de crête
5 octobre 2018, par arnaud maïsetti5 octobre 2018
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Wiliam Blake | « Introduction »
26 avril 2020, par arnaud maïsettiécoutez la voix du Barde
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puis la lumière du feu impérissable
27 avril 2020, par arnaud maïsetti27 avril 2020
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afin de te changer en celui que tu es
21 avril 2020, par arnaud maïsetti21 avril 2020
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le chemin de crête
28 janvier 2020, par arnaud maïsetti28 janvier 2020
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le cri des plaintes qu’on invente
28 mars 2017, par arnaud maïsettile 28 mars 2017
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a mari usque ad mare (la reliance)
28 janvier 2014, par arnaud maïsettiElle était entièrement nue. Couchée sur le ventre, recouverte de quels rêves ? Le ciel, je sais comment le regarder, d’un seul coup et chercher le soleil pour le contre-jour, l’éblouissement semble ce miracle : ce qui permet de voir est ce qui aveugle, alors je ne reste pas longtemps les yeux plongés dans le soleil ; assez pour éprouver ce moment juste avant la douleur, et m’éloigner. Mais la mer ?
À cette distance la mer est à la fois tout le temps là, c’est le vent ; et si lointaine — la montagne (...) -
ce qui fait brèche dans le cours réglé du désastre
21 avril 2017, par arnaud maïsetti21 avril
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considérant d’ici la situation historique
31 juillet 2017, par arnaud maïsettiEt me voici, prophète à la tempe plus pure que les miroirs, enchaîné par les lueurs de mon histoire, couvert d’amours glaçants, en proie aux fantasmagories de la baguette brisée et demandant que par pitié, d’un seul brillant final, on me ramène à la vie.
André Breton, Poisson soluble (1924) Bob Dylan, Things have changed (2000)
Dans l’incertitude : prendre des forces depuis l’état impermanent des choses. Alors, dans le flux et reflux immobiles des événements, tâcher d’en épouser à la fois le mouvement (...) -
Pour quelques lignes de vie (la chair brûlée)
13 août 2013, par arnaud maïsettiPoème. Un homme est mourant. MOURANT. On le transporte à la clinique. On le sauve. Le poème, c’est l’opération.
Georges Perros
Revenir dans la ville, il faut tout réapprendre. D’abord le temps, toujours le temps. L’aube, le midi, le soir (la nuit). Le temps qui recommence, celui qui organise autour l’espace, la ville par exemple. Ici, je peux la voir derrière les arbres, cette église levée mais à peine, qui paraît retomber – je comprends que je suis ici parce que les arbres cachent suffisamment la (...) -
Henri Michaux | « L’Étang »
23 avril 2020, par arnaud maïsettiLui demeure
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désespéré du calme sinistre au milieu duquel on patauge
28 avril 2020, par arnaud maïsetti28 avril 2020
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le sommeil d’amour dure encore
21 juin 2020, par arnaud maïsetti21 juin
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leçons lentes des jours intenses et rapides
18 mai 2018, par arnaud maïsetti— Rêve intense et rapide de groupes sentimentaux avec des êtres de tous les caractères parmi toutes les apparences.
Rimb., « Veillées », III (Illuminations) Chad Lawson, Nocturne in A Minor
Leçons des jours sans lumière : même dans ces jours, la terre continue de vibrer à sa manière, terrible et efficace, d’un bout à l’autre d’une galaxie dont nous ignorons tout, si ce n’est qu’on est pris en elle dans l’ignorance. Le monde comme une courbe légère et inarticulée dans le destin des choses sans avenir. Le (...) -
tel un poing
19 avril 2020, par arnaud maïsetti19 avril 2020
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comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui
6 mai 2020, par arnaud maïsetti6 mai 2020
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imminente la décision entre folie et équilibre
7 mai 2020, par arnaud maïsetti07 mai 2020
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premiers feux
2 janvier 2011, par arnaud maïsettilumières d’aube