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Articles
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Michel Butor | « Du pain sur la planche pour bien plus de cent ans »
24 août 2016, par arnaud maïsetti -
Écosystème numérique | écrire avec et dedans
19 avril 2017, par arnaud maïsetticarnets numériques
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Koltès | Génétiques du récit
16 août 2011, par arnaud maïsettiIntroduction à la première partie de la thèse : Koltès, écriture du récit – août 2011
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La Ville écrite | fair
2 septembre 2016, par arnaud maïsettijusqu’au bout de la
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Avignon, journal du silence : de sa fin
24 juillet 2015, par arnaud maïsettiDernier jour, dernier soir ; trois semaines qui s’abattent soudain toutes ensemble – ou comme après la mise aux baquets d’un repas une fois de plus ingurgité, ce sentiment d’une fin de dîner, avec la ville comme la table défaite, les restes dans les plats, et l’envie de remettre à demain le rangement.
Avignon ; partout est à l’heure du bilan – du passé, du passif. Mais ceux qui étaient venus ici chercher des expériences et la transformation, le devenir et l’action collective, intérieure et secrète, qui (...) -
Milan #2 | La città scritta
3 juin 2022, par arnaud maïsettiEn lisant
printemps 22 -
à lire | Le dernier des Mahigan, exploration littérature
17 septembre 2011, par arnaud maïsettiRénovation du site de Mahigan Lepage : une écriture d’exploration
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Tablettes où les livres sont rangés : BNF
19 mars 2011, par arnaud maïsetti26 photographies de la BNF
mars 11 -
pour être purs quelque part
13 avril 2011, par arnaud maïsettiIn My Room (The Last Shadow Puppets, ’The Age Of The Understatement’, 2008)
Écrire, et comme respirer ta vieille odeur insipide de gouffre, surprendre l’étincelle dans ta fourrure horripilée de louve… écrire l’aigreur de la soif… nous récoltons la fange, ici, la fange basse, pour être purs quelque part. une écriture initiale, obscène, agonique — qui se précipite, sans hâte, à sa seule sauvagerie…
Jacques Dupin, Ballast (extrait de ’Fragmes’, in Échancré, 1991)
Le rythme, cela commence au troisième coup — (...) -
le buste au livre
28 août 2013, par arnaud maïsettiPlace Saint-Georges, Paris – un buste, qui lit. Le même livre peut-être, la page est dense, elle est en pierre. L’homme qui lit lentement, lit. On ne sait pas qui c’est. Il lit toute la vie durant.
Tourner autour de l’homme qui lit ne le met guère en mouvement. On devine peu ce qu’il lit, aux fronts, aux yeux, aux plis du visage immuable. On sait qu’il lit à cause du livre, c’est tout. Le livre est tenu à pleine main, et lui, regarde-t-il ce qu’il lit (à force, il sait ce qu’il y a sur la page, le (...) -
vitesse et précipitation
21 septembre 2011, par arnaud maïsettiAprès deux mois, je retrouve ce train à même place, monde dehors à même vitesse, mais paysage intérieur méconnaissable : ce qui a changé, impossible de le dire. La distance est la même mais pour rejoindre, impression d’en faire davantage ; le soleil est plus lent aussi. La vitre est sale ; derrière elle, le jour se lève malgré tout, par habitude sans doute : je le vois bien.
Lorsque je prends note sur l’écran de tout ce jeu en moi entre ce monde coulissé à main gauche, les livres à droite sur la table, (...) -
Contre-jour aux calvaires
15 août 2011, par arnaud maïsetti12 images de Calvaires, contre le jour
été 2011 -
Écriture déconnectée | La faille de l’écran
16 juin 2012, par arnaud maïsettinotes sur l’écriture sans connexion
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Lire & écrire en ligne | interruptions, appels
19 octobre 2011, par arnaud maïsettiretour sur soirée remue.net – le lire/écrire numérique
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Komodo 21 | Écritures numériques, scènes du moment
24 septembre 2017, par arnaud maïsettiSeptembre 2107
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Nuage | le texte est une image de mots
22 juin 2017, par arnaud maïsettila forme des nuages
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à quai
15 octobre 2010, par arnaud maïsettiI might float (Syd Matters, ’BrotherOcean’, 2010)
Combien, ô voyageur, ce paysage blême Te mira blême toi-même, Et que tristes pleuraient dans les hautes feuillées Tes espérances noyées ! Paul Verlaine, Romances Sans Paroles (Ariettes oubliées, IX) (Mai, juin 1872)
Suis resté à quai — impossible de prendre le train ce matin : Paris est séparé de moi par une longue grève de sable et de ballast fins — complets, ou annulés, ou plus accessibles à la réservation, les trains me sont décidément interdits : (...) -
Mémoires de nos sites | chiffre de l’almanach
2 octobre 2017, par arnaud maïsettideux mille dix septième article
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toutes les lettres coupables (et rêves d’ivresse)
16 mars 2011, par arnaud maïsettiLà pas d’espérance ; Nul orietur. Science avec patience Le supplice est sûr.
Rimbe
Des six heures, enfermé, sous les grands murs de la BNF, le ciel à portée derrière les vitres jusqu’aux plafonds de dix mètres, et le jardin aux sous-sols, les lumières individuelles, la rumeur de fond de tout ce silence brassé qui me fige, retenir beaucoup de fatigue, et encore, difficilement, tant elle me file entre les doigts. Dernière session de travail avec passage aux archives pour moi. De la (...) -
Fenêtre suspendue dans le noir_
Ana nb
4 mars 2011, par arnaud maïsettiJe traverse une ville sans nom .Je m’égare dans une rue sans visage .Une voix éclate. Je fuis. Je trouve un passage. Je reste là, un moment. « Sur l’écran de l’ordinateur, la surface verticale possède la rectitude lisse du trottoir de ma ville ». Je repars. Je marche vite le rouge sangle mes attentes. Dans le jour, dans le bruissement de la ville je découvre vos déplacements. Marcher traverser rentrer sortir regarder attraper des visages, coller des mots fantômes sur les murs sur les entrailles de la (...)