Et à la nuit debout
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_Paris
Articles
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Frédéric Lordon | la sédition, le bien le plus précieux
2 avril 2016 -
La Ville écrite | ici, parmi les vivants
28 septembre 2013, par arnaud maïsettimaintenant
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Colloque | Entre monologue et dialogue
1er mai 2016, par arnaud maïsetticolloque à Paris VII et Paris 3 – 2 au 4 mai 2016
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La Ville écrite | heureux qui comme
1er août 2017, par arnaud maïsettià chaque pas
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Le monde viendra s’offrir à toi pour que tu le démasques
9 mai 2016, par arnaud maïsetti9 mai
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Hurlements en faveur de soi [# 3]
5 janvier 2012, par arnaud maïsettiTrente variations : pluie ; rat ; ville
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La Ville écrite | rien d’autre à faire
13 juin 2017, par arnaud maïsettirien, vraiment
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anyone
14 février 2011, par arnaud maïsettiAnyone and Everyone (Lhasa De Sela, ’Lhasa’, 2009)
Kafka nous parle d’un vieux marchand qui ne se soulevait plus qu’en rassemblant toutes ses forces. C’est la nuit. « Diable, crie-t-il, sauve-moi de l’environnement des ténèbres. » On frappe sourdement à la porte. « Vous, tout le dehors, entrez, entrez ! »
L’écrivain d’aujourd’hui, ce vieux marchand sans forces, jadis l’homme des échanges et du commerce heureux, est celui qui, pour se délivrer de la nuit, ne peut en appeler qu’à la nuit. Chose (...) -
2011 | séance 2_
nous n’avons fait que fuir
3 février 2011, par arnaud maïsettiNous n’avons fait que fuir — nous cogner dans les angles
La voix dite
Lors, du premier cours, avoir pris acte de ce que l’expression prise de parole recouvre, impose, exige : essayer sa langue le plus directement et le plus absolument lâché, sans artifice de fiction, sans appui extérieur — travailler de l’intérieur de la langue, sans prétexte, sans forme a priori de la connaissance. Seulement, simplement, et absolument : la voix dite, prononcée, lâchée, ou pour mieux dire, proférée.
Vers de (...) -
La Ville écrite | désastres de Monet
16 mai 2011, par arnaud maïsettiIl n’y aurait alors plus de place ni sur les livres ni sur les murs
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Personnages #2 | dans le métro
1er août 2017, par arnaud maïsetticomment rendre la promiscuité, l’impossible durée, l’ensemble composite des perceptions
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Aubes | II. (Victor avait pris par le sud)
26 février 2014, par arnaud maïsettideuxième chapitre
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Layla | reprise à la Loge, Paris
9 octobre 2017, par arnaud maïsettila route qui continue
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passer le temps
30 mai 2011, par arnaud maïsettiPeut-être la syntaxe est-elle née de la hantise de la mouvance et désormais c’est courir après l’impossible que de tenter de retrouver le musical sillage qui prélude, dans la nuit de la conscience, à l’avènement de l’instant. Il me faut bien essayer cependant, c’est la tâche qui m’est échue puisqu’à la distance infinie de la vie quotidienne où d’autres que moi affirment que j’existe, je n’ai que cette chanson à pousser… »
Claude Louis-Combet, Le Miroir de Léda
Ce que je voulais faire, c’était précisément (...) -
tuer le temps
23 juin 2006, par arnaud maïsettiune histoire de temps
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Vases Co #23 | Batignolles, d’un autre âge
12 mai 2011, par arnaud maïsettiMai 11
Dans les Séries, de Sarah Cillaire -
Rues Verlaine
3 mars 2011, par arnaud maïsetti50 photographies — Quartier des Batignolles dans les pas de Verlaine
Hiver 11 -
La Ville écrite | ce qu’il reste d’Éden (rue des frigos)
17 octobre 2011, par arnaud maïsettiL’Éternel Dieu dit : Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous,
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Layla, à présent je suis au fond du monde | Lecture à Théâtre-Ouvert
30 avril 2016, par arnaud maïsettiEtape de travail | le 24 mai à 19h
Théâtre-Ouvert