Rock and Roll (Led Zeppelin, ’How The Best Was Won’, Concert 1972)
Ce soir, rien que des images diffuses de la journée, brisée, mais laquelle saurait la dire toute ? Après-midi, travail autour de Giambattista Vico : relever cette idée, qui appartient à sa conception de l’Histoire éternelle idéale — cherchant une nature commune aux nations, Vico dégage trois coutumes humaines qui les rendraient, au-delà des différences, communes ; coutumes existant depuis tous temps et pour tous temps. 1. Toutes les (...)
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_Bernard-Marie Koltès
Articles
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histoires du jour (Zeppelin)
15 mars 2011, par arnaud maïsetti -
Aix | le pont au pli du jour
17 mars 2014, par arnaud maïsettivingt sept images du jour tombé
hiver 14 -
puisque ce monde est le nôtre
11 janvier 2015, par arnaud maïsettifrères de sang
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une nuit plus sombre qu’aucune ne fut jamais
15 avril 2020, par arnaud maïsetti15 avril 2020
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Le Client #8 | « Je vous préférais retors plutôt qu’amical. »
5 août 2013, par arnaud maïsettisoyons deux zéros
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| La Littérature théâtrale | « B.-M. Koltès – la trace, la mort, la survie : écrire Quai Ouest »
9 juillet 2013Sortie le 11 juillet de l’ouvrage collectif : La Littérature théâtrale - entre le livre et la scène, sous la direction de Matthieu Mével, aux éditions L’Entretemps.
Question importante pour moi - celle du texte théâtral, moins son essence, que sa perception et son usage. Merci encore à Matthieu pour l’incitation - j’ai donc proposé un article sur l’écriture de Quai Ouest par Koltès.
C’est surtout, dans l’ensemble des réflexions, un livre dense et riche sur cet enjeu, qui réunit critiques, essayistes, (...) -
fatigues
17 juin 2010, par arnaud maïsettiTired Young Man (syd Matters, "A Whisper And A Sigh" 2004)
For love my life has got no space Forgive a tired young man Routes qui s’ouvrent : les prendre toutes. Dans la vacance offerte des jours sans terme, prolonger les chantiers, multiplier les projets, les lectures, agrandir de tout son corps l’état des lieux du réel ; ne pas s’en tenir à la fatigue : jusqu’à épuisement du dossier.
Depuis janvier, pari pris et tenu : ne pas entrer dans une librairie sans en sortir avec un livre de poésie. (...) -
les voltigeurs et puis quoi
1er mai 2019, par arnaud maïsettiAu reguard de fanfarer et faire les petits popismes sur ung cheval, nul ne le feit mieulx que lui : le voltigeur de Ferrare n’estoyt qu’ung cinge en comparaison.
Rabelais, Garg. I, 23.
On apprend à se servir de nouveaux mots. Aujourd’hui, j’ouvre la radio, et celui de voltigeurs apparaît, simplement prononcé par ceux qui ont la parole comme si c’était un mot comme un autre, comme si c’était un mot acceptable et possible, et tranquille, comme si ce n’était pas un mot qui disait les coups qu’on donne (...) -
"Seul comme on ne peut pas le dire", Koltès | publie.net
2 avril 2014, par arnaud maïsettiessai critique
éditions Publie.net
janvier 2008 -
Koltès | Réécritures, ou le triomphe du bongo
30 janvier 2011, par arnaud maïsettiArticle publié dans la Revue Textuel n°62, éds. Paris VII – juillet 2010
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avec le soleil
2 septembre 2014, par arnaud maïsettiOn lui a découpé dans le derrière de la tête un morceau de crâne affectant la forme d’un segment. Avec le soleil, le monde entier regarde à l’intérieur. Cela le rend nerveux, le distrait de son travail et il se fâche de devoir, lui précisément, être exclu du spectacle.
Ce fragment dans la tête, ce matin ; et à l’aube, vérifier que c’était bien cela : que ce fragment, sa précision d’image, était bien cette page dans le journal de Kafka — mais peu importe. Au contraire, il y avait la douleur précise. J’écris (...) -
disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier
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Home | « Et n’importe où maintenant »
17 novembre 2010« J’ai longtemps cherché à ressentir cette émotion
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Koltès | la fête des morts
15 avril 2017, par arnaud maïsetti28 ans après
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Koltès | « personne ne saura jamais qui a aimé qui »
21 septembre 2011La Nuit juste avant les forêts : Mama, la fille sur le pont
« moi je ne peux parler que sur les ponts ou les berges, et je ne peux aimer que là, ailleurs je suis comme morte, » -
Home | « Si un chien rencontre un chat »
17 novembre 2010« le commerce du temps »
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La Ville écrite | défense
22 avril 2011, par arnaud maïsettimoi, je suis pour la défense
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comme l’archéologie du temps
10 octobre 2014, par arnaud maïsettic’est être emporté, ne pas voir le jour ; c’est ne pas sortir la tête de l’eau ; dans la ville qui bat tout autour de moi, je me retourne — c’est une autre : Marseille, Aix, Londres, Paris, bientôt quelle encore, et Gennevilliers hier, Banlieue nord du monde, sans pôle : toujours la ville est celle qui sous les pas s’échappe ; comment la retenir, et retenir avec elle une part du temps qui saurait dire : c’est ici.
c’est donc plusieurs jours sans pouvoir dans ces pages simplement déposer cette part du (...) -
Koltès, des manières de dire | entretien inédit
6 mai 2015, par arnaud maïsettientretien inédit pour Le Monde
janvier 1981 -
Vincit qui patitur (la brume)
3 février 2014, par arnaud maïsettiJournée longue comme un arbre qui va s’effondrer.
En remontant le soir vers la ville, les affiches électorales, de nouveau, grotesques, dérisoires — quelque chose comme ce mot de foutaises, et pourtant, je pense (mais pourquoi ?) au Bachelier de Jules Vallès, et aux camarades qui dans Le Ventre de Paris s’assemblent dans ce petit café à Châtelet pour parler de la Sociale.
Grande mélancolie passant devant une banque en voyant un jeune garçon (mon âge peut-être), le visage mangé par une capuche, qui (...)