qui absurdum
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_silence
Articles
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La Ville écrite | religion est une foli (Aristote, Alexandre et la caresse)
2 avril 2012, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | mots des chiens
29 août 2011, par arnaud maïsettiville qui roule sur l’aboi des dogues
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la musique creuse le ciel
30 mai 2018, par arnaud maïsetti30 mai 2018
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après l’épuisement
21 septembre 2015, par arnaud maïsettiJe m’enfoncerai dans la brume, comme un homme étranger à tout, îlot humain détaché du rêve de la mer, navire doté de trop d’être, à fleur d’eau de tout.
Pessoa, Livre de l’Intranquillité, Fragments 86 Au-delà de l’épuisement, quand dormir est impossible, ce ne peut-être que le sentiment du monde, entier, trouble, précis, insaisissable. Et se tenir comme au pied d’une falaise et avoir peur de tomber.
Devant la brume, toujours éprouvé la sensation d’une allégorie scellée. Quelque chose va se lever, mais on (...) -
Klaus Nomi | « From beds of everlasting snow »
29 janvier 2013, par arnaud maïsetticomme la sirène
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ces enfants qui n’ont pas vu la lumière
19 juin 2011, par arnaud maïsetti« …alors j’aurais du repos, avec les rois et les conseillers de la terre qui se bâtissent des solitudes, ou avec les princes qui ont de l’or, qui ont rempli d’argent leurs maisons, ou bien, comme l’avorton ignoré, je n’existerais pas, comme ces enfants qui n’ont pas vu la lumière ; là, les méchants ont cessé leur tumulte, et là ceux dont les forces sont épuisées par la fatigue sont en repos ; les prisonniers demeurent ensemble tranquilles, ils n’entendent pas la voix de l’exacteur ; là sont le petit et le (...)
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Claude Régy | « La place des larmes »
3 juillet 2014, par arnaud maïsettiNombre d’or au sein de la sauvagerie.
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Aubes | XVI. (N’importe où hors du monde)
18 mars 2014, par arnaud maïsettiseizième chapitre
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Fable de la ville ravagée
1er juin 2015, par arnaud maïsettiC’est juste en face, et tous les jours en descendant, je le vois. Cette immeuble recouvert d’abord de tous les soins ; les échafaudages, longtemps, dans l’indifférence. Puis, c’est un matin comme un autre qu’on détruit la ville : on lèvera ici un immeuble identique. Je reste là comme quelques-uns – nous sommes quelques-uns à n’avoir rien à faire d’autre ce matin-là. Rien d’autre que regarder la ville tomber par morceaux dans le bruit de la poussière qu’on arrose pour qu’elle soulève moins de poussières : on (...)
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Vingt-et-juin, il fera peut-être nuit
24 juin 2015, par arnaud maïsettiDans la lutte entre toi et le monde, parie sur le monde.
Kafka Comment se résigner à comprendre le monde ? On finirait par lui trouver des raisons, puis fatalement à lui donner raison. S’en tenir éloigné, parfois, permet de continuer à le penser plein d’énigmes, impossible, impensable, et désirable encore. Ainsi la mer, ou le ciel ; ainsi les silences ; les amitiés lointaines ; certains livres (chercher un fragment de la Société du Spectacle, se surprendre à relire l’impeccable chapitre V « Temps et (...) -
Bertrand Cantat | révélation de l’oracle
14 mars 2012, par arnaud maïsettinotes sur l’inouï
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Passenger | Whispers
11 juin 2014, par arnaud maïsettidu murmure contre les cris
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La Ville écrite | Violet
8 mars 2016, par arnaud maïsettile contrôle des rues de Marseille
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The White Stripes | Jolene
7 février 2016, par arnaud maïsettile silence si on le laissait faire
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le sommeil d’amour dure encore
21 juin 2020, par arnaud maïsetti21 juin
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les jours perdus
29 juin 2018, par arnaud maïsettic’est pour dire que ce n’est rien, la vie voilà donc les Saisons Rimb. (rature dans le brouillon de Ô saisons, ô châteaux…) Elliott Smith, In the lost and found
Passés sur moi d’un souffle la journée de Bloom et le vingt-et-un juin, passés sur moi tous ces jours ensemble, la bascule du printemps et les premières chaleurs, ce moment où tout surgit et s’écroule bientôt, les saisons qui emportent, les insultes des pouvoirs, les émeutes qui s’effondrent, la possibilité de l’histoire encore écartée et les (...) -
La Ville écrite | j’existe
7 septembre 2016, par arnaud maïsettiles voies sont impénétrables (et inouïes)
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et la splendeur, soudain (Kyrie)
12 décembre 2013, par arnaud maïsettis’élèvent dans le vide des couloirs, les voix
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Milan #4 | Mille églises
11 juin 2022, par arnaud maïsettiEn cherchant l’ombre
printemps 22 -
recommencer, rétablir le contact entre nos devenirs
9 septembre 2019, par arnaud maïsetti9 septembre 2019