chaque heure de ma vie, je la voudrais neuve
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _colère
_colère
Articles
-
Antonio Gramsci | « Je hais le nouvel an »
1er janvier, par arnaud maïsetti -
La cruauté Castorf : en considérant Racine d’après Artaud
23 novembre 2019, par arnaud maïsettiTGP Aix-en-Provence, automne 2019
-
The White Stripes | Jolene
7 février 2016, par arnaud maïsettile silence si on le laissait faire
-
les voltigeurs et puis quoi
1er mai 2019, par arnaud maïsettiAu reguard de fanfarer et faire les petits popismes sur ung cheval, nul ne le feit mieulx que lui : le voltigeur de Ferrare n’estoyt qu’ung cinge en comparaison.
Rabelais, Garg. I, 23.
On apprend à se servir de nouveaux mots. Aujourd’hui, j’ouvre la radio, et celui de voltigeurs apparaît, simplement prononcé par ceux qui ont la parole comme si c’était un mot comme un autre, comme si c’était un mot acceptable et possible, et tranquille, comme si ce n’était pas un mot qui disait les coups qu’on donne (...) -
qui rejoignaient les autres nuits
13 février 2019, par arnaud maïsettiOui, ce soir-là plus beau que tous les autres, nous pûmes pleurer. Des femmes passaient et nous tendaient la main, nous offrant leur sourire comme un bouquet. La lâcheté des jours précédents nous serra le cœur, et nous détournâmes la tête pour ne plus voir les jets d’eaux qui rejoignaient les autres nuits.
André Breton/Philippe Soupault,, « La Glace sans tain », Les Champs Magnétiques (Littérature, nº 8, Octobre 1919) Bob Dylan, In the evening (1961, Live "Minnesota Hotel Tapes")
Le soir sait très bien (...) -
Frédéric Lordon | Et la ZAD sauvera le monde…
18 novembre 2019, par arnaud maïsettiMarier réalisme et utopie
-
Marseille, de Noailles à La Plaine | et je regarde tomber la pluie
7 mars 2019, par arnaud maïsettieffondrements
-
trois images du temps
11 mai 2016, par arnaud maïsetti11 mai 2016
-
dans le jour qui s’épuise
20 avril 2015, par arnaud maïsettiMarche dans le jour qui s’épuise. Cherche les adresses intérieures, les portes qu’il faudrait affronter à mains nues et qui ne s’ouvriront jamais. Conserve au moins pour toi les traces laissées sur les poings, et le sang perdu. Ne possède pas plus de certitudes qu’une et une seule : celle-ci : n’en posséder pas plus qu’une seule à la fois.
Par exemple : marcher dans le jour qui s’épuise pensant être celui qui marche dans la nuit qui reprend pied. Et puis l’abandonner quelque part, ici peut-être, mieux (...) -
sans être là
30 novembre 2018, par arnaud maïsetti30 novembre 2018