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_colère
Articles
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Marseille, de Noailles à La Plaine | et je regarde tomber la pluie
7 mars 2019, par arnaud maïsetti -
Rimbaud, une vie | Izambard. La classe du soir
26 novembre 2017, par arnaud maïsettiChapitre VI
Devenir crapules -
comme un oui vengeur [Avignon #3]
15 juillet 2018, par arnaud maïsettiIl faudrait sans doute en finir – par exemple et pour commencer avec les sens uniques, et tout ce que le sens peut unifier, avec les panneaux à l’entrée des villes interdites, et avec les villes, leurs Palais et leurs Papes : et garder quelques murs pour la seule raison qu’on pourrait avoir besoin d’eux quand il s’agira de les faire tomber ?
Il faudrait sur un coup de tête essayer de trouver comment faire de ce monde quelque chose de possible : on accumule les critiques (le mot ment : c’est (...) -
désespéré du calme sinistre au milieu duquel on patauge
28 avril 2020, par arnaud maïsetti28 avril 2020
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La mort sans phrase
5 octobre 2020, par arnaud maïsetti5 octobre 2020
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je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
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détruire le monde
7 avril 2020, par arnaud maïsetti7 avril 2020
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l’insulte faite au chien
2 mars 2015, par arnaud maïsettiSans doute il avait tout essayé : les imprécations silencieuses d’abord, puis les râleries à voix hautes, et très vite les appels et les cris, mais rien n’y fait ; alors le vendredi soir, frapper à la porte, au milieu de la nuit. Poussé dans ces dernières extrémités, il fallait bien faire quelque chose : c’est humain. Mais personne ne répond que le chien, et il n’y a pas de sonnette. Que faire ? Il faut comprendre cet homme.
De l’expression « impossible » pour qualifier un homme : « il est vraiment (...) -
si bien que tu dois travailler comme un fou
14 avril 2020, par arnaud maïsetti14 avril 2020
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sagesse des arbres : de renier un mort ou méconnaître un Dieu
2 août 2016, par arnaud maïsetti2 août 2016
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bien qu’on sache que cela se paye
8 avril 2020, par arnaud maïsetti8 avril 2020
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devant la faille : la folie, ou la révolte
20 septembre 2018, par arnaud maïsetti20 septembre 2018
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dans le jour qui s’épuise
20 avril 2015, par arnaud maïsettiMarche dans le jour qui s’épuise. Cherche les adresses intérieures, les portes qu’il faudrait affronter à mains nues et qui ne s’ouvriront jamais. Conserve au moins pour toi les traces laissées sur les poings, et le sang perdu. Ne possède pas plus de certitudes qu’une et une seule : celle-ci : n’en posséder pas plus qu’une seule à la fois.
Par exemple : marcher dans le jour qui s’épuise pensant être celui qui marche dans la nuit qui reprend pied. Et puis l’abandonner quelque part, ici peut-être, mieux (...) -
comment respirer
30 mai 2020, par arnaud maïsetti30 mai 2020
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nous vivons dans une fausse croyance
31 mars 2020, par arnaud maïsetti31 mars 2020
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trois images du temps
11 mai 2016, par arnaud maïsetti11 mai 2016
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aux printemps redoutables
11 février 2017, par arnaud maïsetti11 février 2017
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La Ville écrite | fuite ?
3 octobre 2016, par arnaud maïsettipar ici
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à distance, écrire à l’ombre de soi-même
28 janvier 2018, par arnaud maïsettiDonne lui un homme et du temps, il en fait un cadavre, puis il le rejette sur ses bords. Il le gonfle puis il le rejette. Lui demeure
H. Michaux, « L’étang », À distance, date inconnue Yann Tiersen, « Porz Goret » (Eusa, 2016)
À distance, mais de quel siècle, et vers quel siècle s’avancer pour que ce jour revienne où ce serait possible, enfin, que le jour soit à sa place. Jour où rien ne passe que du vent et de tout son long ne fait rejoindre que de la terre, jour où il n’y a rien que des villes et (...) -
au-delà des fondations, la terre nue
9 avril 2020, par arnaud maïsetti9 avril 2020