face à l’île Maire (et à tout ce qui m’entoure)
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_photographies
Articles
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Marseille | sud, sud-ouest
28 janvier 2016, par arnaud maïsetti -
légendes urbaines #2
6 novembre 2013, par arnaud maïsettisemaine du 28 octobre au 3 novembre
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Marseille | ouest sud-ouest
[Mise à jour infinie]
17 mai 2018, par arnaud maïsettidepuis le promontoire de la ville
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les nuages (qui passent... là-bas)
25 août 2010, par arnaud maïsetticiels sur fond de nuages
été 10 -
Haute est la ville
13 janvier 2011, par arnaud maïsetti43 photos ; quartier Mériadecq, Bordeaux
hiver 11 -
Paris | Vision Défense
2 juin 2012, par arnaud maïsetti33 images des tours de la Défense — printemps 12
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Frank A. Rinehart, regards indigènes
5 octobre 2013, par arnaud maïsetti80 portraits des Premières Nations
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le buste au livre
28 août 2013, par arnaud maïsettiPlace Saint-Georges, Paris – un buste, qui lit. Le même livre peut-être, la page est dense, elle est en pierre. L’homme qui lit lentement, lit. On ne sait pas qui c’est. Il lit toute la vie durant.
Tourner autour de l’homme qui lit ne le met guère en mouvement. On devine peu ce qu’il lit, aux fronts, aux yeux, aux plis du visage immuable. On sait qu’il lit à cause du livre, c’est tout. Le livre est tenu à pleine main, et lui, regarde-t-il ce qu’il lit (à force, il sait ce qu’il y a sur la page, le (...) -
légendes urbaines #1
27 octobre 2013, par arnaud maïsettisemaine du 21 au 27 octobre
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Pointe Rouge | ce qui dore, le soir
3 septembre 2016, par arnaud maïsettiAlain Bashung, Je me dore (Tournée des Grands Espaces, 2004) [/Jamais le soleil ne voit l’ombre. Léonard de Vinci /]
Et veille sur nous. Sur l’ennui terrible de ces jours avant la tempête, ou avant la nudité des branches. Avant les luttes qui recommenceront, et avant le sommeil qui viendra bien assez tôt. Avant les drames, après ce qui nous reste de joie. Veille sur nous depuis ce qui tremble sous le vent : le mot de canopée, celui de cime, d’adombrement du ciel par l’ombre elle-même. Tous ces mots (...) -
Marseille Belle de Mai | les murs de cette ville
3 décembre 2014, par arnaud maïsettides mots qui ne sont pas prononçables, pas lisibles — et on lirait sur eux autre chose ; seulement des coups qu’on porterait au visage de ce qui n’en a pas ; des phrases sans point sans majuscule sans verbe sans forme possible donnée au sens ; et des appels ; des signes sur les parois d’une ville — et déjà entendre ceux qui hurlent les yeux crevés devant ce qui formule la fin d’une civilisation : ne voient pas que se dresse là quelque chose qui relève d’un plan secret pour en inventer une autre — ; des (...)
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mes derniers visages (une étude)
31 décembre 2013, par arnaud maïsettiprovisoirement
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Sous les arches, Quai Ouest
3 février 2014, par arnaud maïsettiCe lundi, deuxième séance de l’atelier Quai Ouest avec les étudiants d’Aix-Marseille — atelier transversal pour première, deuxième et troisième année de DEUST Arts des métiers de la scène. Jouer avec le texte, plutôt que mettre en scène la pièce : approche de cette machine étrange qu’est cette œuvre de Koltès, immense. Manière de travailler sur la perception, la diction, la relation, l’écriture dramatique qui déjoue les codes de la représentation en les jouant, travail sur l’espace : une approche, oui.
La (...) -
pierres blanches
12 mai 2010, par arnaud maïsetti22 photos de murs et d’inscriptions
Printemps 10 -
fenêtres (sur Cour d’Honneur)
17 août 2010, par arnaud maïsetti14 photographies : fenêtre depuis la cour d’honneur du Palais des Papes, Avignon
Été 10 -
Tablettes où les livres sont rangés : BNF
19 mars 2011, par arnaud maïsetti26 photographies de la BNF
mars 11 -
Hoffman & Bonfand | 20 photographies
21 septembre 2009, par arnaud maïsettile paysage dans son ordinaire, l’incernable du bord des villes
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l’arbre
20 mars 2009, par arnaud maïsettiarbre mouvant sur ciel immobile
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BNF | je passai
16 novembre 2011, par arnaud maïsettiChaque lundi, je fais donc un détour de 498 Km (environ) pour les voir : me rendre ici, à midi (un peu avant) – je passe, les tours sont là. En passant, c’est autant pour la beauté des lieux que pour l’immobilité du temps ; je m’arrête et prends ces images. Ce n’est jamais la même lumière, évidemment. Ni les reflets sur les vitres ; jamais le même ciel. Plus loin, c’est le pont (je le regarde), et Rue des Frigos, la faim. Puis, midi. Il pleut, ou la lumière est aveuglante sur les tours, il fait si froid, (...)
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Marseille - Beyrouth | Par dessus le ciel
16 décembre 2017, par arnaud maïsettid’en haut