[/Rien n’a d’importance, et je crois que bien des gens ont considéré la vie comme un enfant turbulent, en soupirant après le calme qu’ils allaient enfin connaître quand il irait se coucher.
Pessoa, Le Livre de l’intranquillité/]
Radiohead, « Life in a Glasshouse », Amnesiac (2001) Celui qui a écrit, rapidement, comme en fuyant, UNE VIE sur le rebord de muret face à l’université, est-ce qu’il voulait déposer sa vie, ou seulement en arracher une, une autre, une plus grande ou plus simple, une possible, une (...)
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_joie
Articles
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une vie, ou l’imminence
2 octobre 2016, par arnaud maïsetti -
Que ma joie demeure | « Il y avait eu du vent »
11 mars 2013, par arnaud maïsettilecture de l’impersonnel
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La Ville écrite | interdictions (les lois de l’enjambement)
13 novembre 2011, par arnaud maïsettiInterdictions de la ville : énoncées pour le seul plaisir de les contourner,
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au bras des ombres
28 mars 2012, par arnaud maïsettiJe sors au bras des ombres, Je suis au bas des ombres, Seul.
On ne peut pas faire l’impasse au silence dans le matin, le premier silence du matin, celui qui lance dans le corps entier le matin qui commence, et il faudrait parler : non (à part écrire un rêve) ; alors garder le silence contre soi apaise, et peu à peu, devient comme une manière de trésor, et l’approche du sacré — puis, la question demeure : jusqu’où tenir le silence, jusqu’à quelle heure, et à qui, ensuite, le déposer. Il en va de mes (...) -
Rimouski | horizon fleuve
24 mai 2012, par arnaud maïsettidu nord à l’ouest
printemps 12 -
Nuit & Jour, ZeitGeist | Odéon (debout aussi)
27 avril 2016, par arnaud maïsettila pluie tombe maintenant
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Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, la ville
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André Breton | « Il faut aller voir de bon matin »
7 février 2012, par arnaud maïsettiÀ la folie du jour
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J. Böhme | « au premier jour, la vie se sépara de la mort »
27 mars 2012, par arnaud maïsettiJacob Böhme, L’Aurore Naissante
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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fuir la peste, organiser les rencontres,
5 juin 2019, par arnaud maïsetti6 juin 2019
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anticipations #51 | se venger
6 novembre 2012, par arnaud maïsettic’était se venger qu’il fallait
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être à la hauteur
9 juin 2019, par arnaud maïsetti9 juin 2019
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La Ville écrite | regarde le ciel
24 octobre 2011, par arnaud maïsettiJ’obéis aux ordres – sur le théâtre d’opérations,
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ruissellements, soleils (sommeil aux cris de la foule)
3 juin 2012, par arnaud maïsettiDans le lit tard Nous sommes là Nous recommençons Tout
J’ai du mal À y croire Je vois des bras De mer
Y. T.
Les premières gouttes de ciel tombent sur moi ce soir quand je rentre du soleil frappé si fort sur le visage et les yeux, que le sommeil en plein jour (cela ne m’arrive jamais) — comme si j’avais dû passer par le rêve pour continuer.
Mais je n’ai pas rêvé — juste déposer ma tête comme on se confie tout entier et sa peine et sa force à qui pourrait les consoler, et les accepter : s’y livrer tout (...) -
Que ma joie demeure | « C’était une nuit extraordinaire »
13 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture de la joie | le début
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Maroc | Erg Le Chabby
27 avril 2012, par arnaud maïsettisans peines
printemps 12 -
Ronsard | « j’ai l’esprit tout ennuyé »
19 juin 2013, par arnaud maïsettiD’avoir trop étudié
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ce châle effiloché (sur des coffres remplis d’or)
5 avril 2012, par arnaud maïsettiJe suis couché dans un plaid Bariolé Comme ma vie
d’avoir pour seule pensée parfois celle de se placer au bon endroit de soi, et surtout à égale distance précise et violente de la vie et de la mort (je veux dire : de ma propre vie), du désir de m’y tenir pour planter les dix doigts dans l’instant et la morsure sur la chair du désir, n’en avoir pas d’autre, celle de continuer à persister dans le désir de persister, et m’enfoncer dans chaque lumière, oui, me console parfois de n’avoir pas d’autres vies, (...) -
le monde loin derrière nous | prologue
2 mai 2012, par arnaud maïsettic’est né de la route