D’un enfant du siècle
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _amour
_amour
Articles
-
Musset | « Alors il s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse »
30 novembre 2013, par arnaud maïsetti -
René Char | « Une échelle de plus en plus nue »
29 juillet 2012À l’âge d’homme
-
le déguerpissement, et la fuite amoureuse des morts
30 octobre 2019, par arnaud maïsetti30 octobre 2019
-
les mots inconnus
19 mai 2014, par arnaud maïsettipasser la main dans ses cheveux. rater sa correspondance. fermer les yeux d’un mort. relire un livre pour la seconde fois. pour la troisième fois. quitter la séance de cinéma au milieu. rester pendant le générique de fin. les rêves volontaires avant de s’endormir. les rituels de conjuration. attendre celle qui ne vient pas ; atteindre cette minute où le retard commence. la première parole du matin. le deuil de son fils (le deuil de son père). la page du milieu. l’agacement que produisent les bruits de (...)
-
la foi seule (à commencer par le temps)
8 mars 2013, par arnaud maïsettiUn coup de ton doigt sur le tambour décharge tous les sons et commence la nouvelle harmonie. Un pas de toi, c’est la levée des nouveaux hommes et leur en-marche. Ta tête se détourne : le nouvel amour ! Ta tête se retourne, — le nouvel amour ! « Change nos lots, crible les fléaux, à commencer par le temps », te chantent ces enfants. « Élève n’importe où la substance de nos fortunes et de nos voeux » on t’en prie. Arrivée de toujours, qui t’en iras partout.
Rimb.
On ne sait pas (...) -
Aubes | III. (Au réveil pour toujours)
27 février 2014, par arnaud maïsettitroisième chapitre
-
La ville écrite | tu m’aimes ?
13 décembre 2018, par arnaud maïsettinon (enfin…)
-
Aubes | IX. (Au bout d’un temps)
5 mars 2014, par arnaud maïsettineuvième chapitre
-
La Ville écrite | mon nom, sous le pont
29 avril 2013, par arnaud maïsettidreemeur
-
avec le soleil
2 septembre 2014, par arnaud maïsettiOn lui a découpé dans le derrière de la tête un morceau de crâne affectant la forme d’un segment. Avec le soleil, le monde entier regarde à l’intérieur. Cela le rend nerveux, le distrait de son travail et il se fâche de devoir, lui précisément, être exclu du spectacle.
Ce fragment dans la tête, ce matin ; et à l’aube, vérifier que c’était bien cela : que ce fragment, sa précision d’image, était bien cette page dans le journal de Kafka — mais peu importe. Au contraire, il y avait la douleur précise. J’écris (...) -
André Breton | « Je vous souhaite d’être follement aimée »
3 février 2019, par arnaud maïsettifollement
-
André Breton | « Magique-circonstancielle »
9 août 2013la beauté convulsive
-
Le secret gardé des Petites amoureuses
4 mars 2013, par arnaud maïsettiJean Eustache | Mes petites amoureuses
-
André Breton | « tout le secret de la vie »
22 février 2012Je n’ai jamais cessé de croire que l’amour
-
le marchand de masques mortuaires
30 mai 2014, par arnaud maïsettiStatue devant laquelle peut-être je suis passé cent fois, et cent fois sans la voir — quel signe ? Le vendeur de masques — je recherche le nom du sculpteur et ne le trouve pas d’abord : c’est que je cherche mal : non, ce n’est pas, comme je l’ai cru, un marchand de masques mortuaires, mais un simple vendeur de masques, d’hommes vivants et bien vivants pour celui qui veut ainsi les saluer (et remercier ses bienfaiteurs : les sculpteurs ont les faiblesses des marchands). À distance maintenant, de (...)
-
Rimbaud | « Plus que tous les enfants du monde »
6 octobre 2013, par arnaud maïsettiCette fois, c’est la Femme que j’ai vue dans la ville
-
Aragon | « comme un voleur »
26 décembre 2012, par arnaud maïsettiAragon, « Gazel au fond de la nuit », Le Fou d’Elsa
-
William Blake | « L’Image Divine »
11 août 2013, par arnaud maïsettiTous prient dans leur désarroi
-
la faculté d’admirer (tremblé des perspectives)
28 février 2013, par arnaud maïsettiFanfare atroce où je ne trébuche point ! chevalet féerique ! Hourra pour l’œuvre inouïe et pour le corps merveilleux, pour la première fois ! Cela commença sous les rires des enfants, cela finira par eux.
En perspective perdue, on voit la ville. Le chemin y conduit, il est vide. Tout au fond, dans la confusion du ciel ; ce n’est pas le ciel, seulement ce qui le recouvre, ce qui partout porte trace de ce qui n’arrive pas, pas encore, pas assez. Tout au fond, c’est une manière d’imminence qui brûle et (...) -
André Breton | « il faut que ce soit un peu le nom du feu »
8 mars 2019, par arnaud maïsettiLa pensée sur le bain dans la pièce sans glaces