de l’écriture publique, de soi, des autres qu’on raconte
Accueil > Mots-clés > _Auteurs > _Antonin Artaud
_Antonin Artaud
Articles
-
Écrivain, public | « quelque travail impossible à réaliser »
8 mai 2013, par arnaud maïsetti -
Antonin Artaud | « et que ma Vie puisse ressusciter »
7 décembre 2013, par arnaud maïsettiLettre d’Antonin Artaud à André Breton, juillet 1937.
Cher Ami
Votre fille cet après-midi m’a donné l’impression d’une Apparition. Je l’ai vue venir comme un soleil vrai enfin, non imaginé, une incarnation du soleil sur la mer. je sais que vous êtes du Soleil, et que votre femme est de la Mer, mais je n’y ai pensé qu’après. c’est l’intensité de la vision qui m’a frappé. Au milieu de toute cette boue et de tout cette saleté, j’ai eu une impression torrentielle de fraîcheur solaire, de vent éclairé qui (...) -
Antonin Artaud | « Et qui / aujourd’hui / dira / quoi ? »
22 novembre 2015, par arnaud maïsettiArtaud, quelle voix pour le présent ?
-
Antonin Artaud | Pour en finir avec le jugement de Dieu
19 avril 2006, par arnaud maïsetti"le corps projeté"
-
le plus vieux crâne d’Amérique du sud
5 septembre 2018, par arnaud maïsetti5 septembre 2018
-
un monde à l’ancre
23 mars 2020, par arnaud maïsettiEn 1880 et quelques, un docteur français du nom de Yersin, qui travaille sur des cadavres d’Indo-Chinois morts de la peste, isole un de ces têtards au crâne arrondi, et à la queue courte, qu’on ne décèle qu’au microscope et il appelle cela le microbe de la peste. Ce n’est là à mes yeux qu’un élément matériel plus petit, infiniment plus petit, qui apparaît à un moment quelconque du développement du virus, mais cela ne m’explique en rien la peste. […] De tout ceci ressort la physionomie spirituelle d’un mal (...)
-
ce qui toujours se relève (au lieu du théâtre)
26 octobre 2012, par arnaud maïsettiTout réapprendre des gestes, mêmes les plus simples, comme par exemple se lever. Je veux dire, de moi-même, sans rien, juste à cause de la lumière ou d’un cri dans le rêve, le hurlement dans ma gorge, mais tendre, ou parce que la fatigue a passé comme une couleur — non plus à cause du bruit d’un réveil qui perce. Tout réapprendre comme l’eau chaude laissée lentement tomber sur soi et que s’écoulent toutes les pensées (nouveau rite, dans l’aube : me rappeler des images du rêve pour les laisser partir de moi, (...)
-
Confrontation du mythe | une lecture de Grotowski
7 juin 2010, par arnaud maïsettiCommunication
Paris Diderot, Juin 2010 -
sillons
27 septembre 2010, par arnaud maïsettiCreep (Scala — reprise de Radiohead, 2007)
Sous les seins de la terre hideuse Dieu-la chienne s’est retirée, des seins de terre et d’eau gelée qui pourrissent sa langue creuse
Antonin Artaud, L’Ombilic des Limbes (’Avec moi dieu-le-chien’)
Traces qui dessinent une route (c’est le mouvement qui a dessiné le chemin, et non l’inverse) : mais aux sillons superposés, dans la même direction pourtant évidente, mille chemins, mille petites routes à l’écart insensible, mille possibilités de prendre la route — (...) -
La Ville écrite | Sauvage
18 novembre 2017, par arnaud maïsettiparade
0 | 10