à travers la noirceur
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_corps
Articles
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Ólafur Arnalds | si près
26 février 2014, par arnaud maïsetti -
temps morts (et revenants)
9 septembre 2010, par arnaud maïsettiAt The Chime Of A City Clock (Nick Drake ’Bryter Layter’ 1970)
C’est l’heure silencieuse où plus d’un être humain rêve qu’il voit apparaître des femmes enchaînées, traînant leurs linceuls, couverts de taches de sang, comme un ciel noir, d’étoiles. Lautréamont, Chants de Maldoror
Au pli de la nuit la plus morte, quatre heures, trois heures (la nuit recule à chaque nuit), ma montre s’arrête. Le matin, elle ne bouge plus ; il y a trois jours, je l’ai cru définitivement arrêtée, mais dans la journée, elle (...) -
Théâtre | Les Filles perdues [Le projet]
29 mars 2015, par arnaud maïsettià l’origine d’un rêve : un cauchemar
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adresse #8 | à ta croyance
12 septembre 2010, par arnaud maïsetti« D’avoir cru en toi me laisse inconsolable »
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Aurélia Guillet | Par dessus l’abîme qu’est devenue notre histoire
6 février 2012, par arnaud maïsettiDéjà Là d’Arnaud Michniak, mis en scène par Aurélia Guillet [Paris, Théâtre de La Colline] - février 2012
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Layla, à présent je suis au fond du monde | notes dramaturgiques
11 janvier 2017, par arnaud maïsettinotes sur la création
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[ phrases ] #6 — rêves de fraudes
6 novembre 2011, par arnaud maïsettiCouloirs comme on s’y enfonce, un couloir après l’autre et même dans l’autre engagé, étroits et plafonds bas, murs carrelés, image parfaite de la mémoire quand on veut s’imaginer sa forme, et qu’elle apparaît quand on ferme les yeux dans la nuit noire sous cette image parfaite de couloirs ainsi enfoncés les uns dans les autres, étroits, bas de plafond, murs carrelés qui tournent, et vont, descendent sans fin mais la pente est si légère qu’on dirait se décharger d’un souvenir à chaque pas tant on descend (...)
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le soleil ni la mort
15 septembre 2010, par arnaud maïsettiSunlight (Max Richter ’Songs From Before’, 2006) Les morts remontent, puissants d’os et d’écorce, de cuir et de sommeil, parleurs muets, mangeurs d’argile ; et le fruit tombe, et boucle par sa chute le cycle interminable. L. Edouard-Martin, Avènement des ponts
Devant les morts, on n’a pas les choix — on ne parle pas. Dans la chambre d’un mort, on se tait : non pas qu’on pourrait le réveiller, mais comme devant un muet on se met à agiter les bras, on adopte l’attitude de l’autre.
Alors, quand on (...) -
Hurlements en faveur de soi [# 2]
4 décembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-sept variations : violence ; corps ; désir
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Krzysztof Warlikowski | Élégies féminines et monstruosités du mâle
12 décembre 2015, par arnaud maïsettiLe château de Barbe-Bleue / La Voix Humaine, d’après les opéras de Bartok/Belazs, et de Cocteau / Poulenc, mise en scène par Krzysztof Warlikowski, direction musicale d’Esa-Pekka Salonen [Paris, Opéra Garnier] – décembre 2015
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La Chute des corps #4
28 novembre 2008, par arnaud maïsettiNous avons cherché si longtemps / Depuis si longtemps cherché les formules
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anticipation #43 | stades où crier
18 octobre 2010, par arnaud maïsettiDes cris que la ville poussait plus haut qu’elle, et des endroits où elle se rassemblait pour cela, il ne restait que de la poussière entreposée au milieu des ruines, rien d’autre.
Lorsqu’on se retrouvait devant ces monuments, on ne savait pas s’il fallait entrer ou rester dehors. Au juste, où résider le monument, et où ce qui l’entourait : s’il fallait regarder les courbes, juger des hauteurs, ou pénétrer dans l’enceinte pour voir les gradins, ou la fosse — non, on ne savait pas au juste devant quoi on (...) -
Layla | reprise à la Loge, Paris
9 octobre 2017, par arnaud maïsettila route qui continue
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Jean-Pierre Vincent | Vanité du théâtre glorieux
23 avril 2015, par arnaud maïsettiEn attendant Godot, de Samuel Beckett, mise en scène par Jean-Pierre Vincent [Marseille, Théâtre du Gymnase] – janvier 2015
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Krzysztof Warlikowski | Combattre les fantômes de l’histoire
15 juillet 2016, par arnaud maïsettiIl Trionfo del Tempo e del Distinganno, Pamphili, Musique de Georg Friedrich Haendel (1707), mise en scène par Krzysztof Warlikowski, direction musicale Emmanuelle Haïm [Festival d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence] - juillet 2016
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La Chute des corps #1
28 novembre 2009, par arnaud maïsettiCe que nous sommes / Ce que nous voulons
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La Chute des corps #2
28 novembre 2008, par arnaud maïsettiLa chute des corps / D’un empire écroulé sous son poids
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La Chute des corps #3
28 novembre 2008, par arnaud maïsettiChacun sa seconde à soi en propre attribuée à soi rien qu’à soi / Tous pareils dans cette solitude unique
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Le Client #14 | « Méfiez-vous du client »
13 août 2013et qu’il obtiendra finalement
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Le Radeau | Présences communes
3 janvier 2012, par arnaud maïsettiOnzième, par le Théâtre du Radeau, mise en scène par François Tanguy [Le Mans, La Fonderie] – novembre 2011