La voix de Cantat, lors du spectacle Des Femmes, de Wajdi Mouawad –
Nanterre-Amandiers, décembre 2011
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Articles
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Bertrand Cantat | l’art de l’abîme
17 décembre 2011, par arnaud maïsetti -
Bob Dylan | Political world (même en Chine)
11 avril 2011, par arnaud maïsettiSur un concert de Dylan en Chine
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lecture | « Où que je sois encore… (2)
7 février 2008, par arnaud maïsettiÀ la librairie "Litote en tête" | coll. Déplacements
Hiver 2008 -
Claire Denis | 35 rhums
3 mars 2009, par arnaud maïsetti"lignes de vie"
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la colère et la tendresse
28 octobre 2011, par arnaud maïsettiDerrière la vitre — mais qui est derrière la vitre : moi ; ou tout cela qui vit de l’autre côté, dans sa lumière – passent des présences affolées : je me retourne, ce n’était rien. Seulement des fantômes de ma présence passée ici, à cette même place, dans ces mêmes heures, qui disent
quelle beauté, oui, les couples en pleurs au milieu des trottoirs, les motos renversés, au matin, les ponts qui montent et descendent
Quand je reviens là, j’y suis encore par dizaines. Mes corps du passé demeurent là. Non pas (...) -
Un seul été | Notes sur la dramaturgie du spectacle
8 août 2013, par arnaud maïsettiUn seul été – lignes, plans, présences
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Le Client #14 | « Méfiez-vous du client »
13 août 2013et qu’il obtiendra finalement
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le long couloir du jour
1er mai 2011, par arnaud maïsettiMemory lane (Elliott Smith ’From a Basement on a Hill’ 2004)
Et pourtant, et pourtant J’étais triste comme un enfant. Les rythmes du train La « moëlle chemin-de-fer » des psychiatres américains Le bruit des portes des voix des essieux grinçant sur les rails congelés Le ferlin d’or de mon avenir Mon browning le piano et les jurons des joueurs de cartes dans le compartiment d’à côté L’épatante présence de Jeanne L’homme aux lunettes bleues qui se promenait nerveusement dans le couloir et qui me regardait en (...) -
corps délié
20 février, par arnaud maïsettiIl existe en nous plusieurs mémoires : le corps, l’esprit, ont chacun la leur, et la nostalgie est une maladie de la mémoire physique.
Balzac
C’est trembler : et dans le tremblement, ce qui reste immobile bouge encore, tremble sur place. C’est trembler, ce bougé des choses par quoi on est traversé. La lune est une image – mais de quoi ? Pas d’elle, évidemment. De mon regard sur elle. Toi tu le sais.
Du corps tremblé, ses mouvements nés de l’intérieur du ventre – vers le corps déplié, vers le corps (...) -
Layla, à présent je suis au fond du monde | notes dramaturgiques
11 janvier 2017, par arnaud maïsettinotes sur la création