le contrôle des rues de Marseille
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_joie & douleur
Articles
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La Ville écrite | Violet
8 mars 2016, par arnaud maïsetti -
La ville écrite | levée de doute
19 décembre 2018, par arnaud maïsetticomme tu relèves la tête
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Henri Michaux | Et la vie est précieuse à qui a déjà perdu 26 ans
6 janvier 2015, par arnaud maïsettiL’époque des illuminés
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Aubes | XIV. (Berlin)
16 mars 2014, par arnaud maïsettiquatorzième chapitre
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Keren Ann | Les jours heureux
21 mars 2019, par arnaud maïsettiCe qui distingue le rêve du passé
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The National | Light Years
15 mai 2019, par arnaud maïsettiaway from you
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Hong Sang-Soo | Grass (풀잎들)
11 janvier 2019, par arnaud maïsettiLa vie pousse par le milieu
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Nijinski | « vers une étoile qui ne m’a pas dit bonsoir »
29 janvier 2014, par arnaud maïsettiparti un soir
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Bob Dylan et le Nobel | « Carelessness… »
14 octobre 2016, par arnaud maïsettipolitique de la négligence
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que notre force excède notre malheur
11 mars 2019, par arnaud maïsetti11 mars 2019
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ce qui tient lieu de royaume (la voix d’Eurydice)
25 février 2013, par arnaud maïsettiaire d’autoroute, près de Valmy, samedi (2000ème image du site)
c’est mille manières de se taire, et l’écran de la machine qui soudain ne s’allume plus depuis une semaine en est une, imparable ; pendant une semaine, sans machine, sans rien pour écrire : se taire est une nouvelle langue ; mais ce n’est pas ce qui compte — ce qui importe est l’espace que cette langue ouvre, c’est où le silence vient, en soi, et c’est comment garder le silence auprès de soi ; il faut parfois le garder comme un enfant, (...) -
raison merveilleuse et imprévue (le geste de nos mains)
7 mars 2013, par arnaud maïsettiIl est l’amour, mesure parfaite et réinventée, raison merveilleuse et imprévue, et l’éternité : machine aimée des qualités fatales. Rimb.
Vu du ciel, tout est si profond et net à la fois ; et depuis nos rues, les paysages sur lesquels on se cogne, les façades levées simplement pour arrêter la vie qui court, peut-être, quelque part, une rivière où on laverait notre linge et auprès de laquelle dormir pour attendre qu’il sèche ; mais la ville enfoncée dans nos gorges partout, ce garçon magnifique qui (...) -
qui vint à ma rencontre
24 août 2018, par arnaud maïsetti24 août 2018
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recommencer, rétablir le contact entre nos devenirs
9 septembre 2019, par arnaud maïsetti9 septembre 2019
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tendre visage
19 janvier 2019, par arnaud maïsetti19 janvier 2019
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Nuit et Jour, ZeigtGeist | Des Rivages (des lointains) #3
6 mars 2016, par arnaud maïsettiD’Indonésie, quelques hommes désignent un point de l’horizon
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des corps levés (cette danse sur des millénaires)
9 novembre 2013, par arnaud maïsettiCe sont des corps levés. Des corps levés on ne sait pas depuis quand, c’est chaque nuit la même apparition. Le jour on fait attention, en passant, à bien voir qu’il n’y a rien : il n’y a rien ; on passe. Et la nuit tombe, chaque nuit, au même endroit : ici, à cet endroit précis du monde où on passe quand la nuit on passe, de ce bord du monde à l’autre (le monde est une somme de bords). On lève les yeux, on n’est plus surpris : les corps se sont levés.
Ce sont des corps blancs, mats, quelque chose qu’on (...) -
Blaise Cendrars | La Prose du Transsibérien
8 septembre 2014, par arnaud maïsettisommes-nous si loin
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dans les haies d’Ajloun
6 octobre 2019, par arnaud maïsetti6 octobre 2019
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Deleuze / Parnet | « S’affecter de joie »
5 juin 2019, par arnaud maïsettiDialogues, 1977