18 décembre 2018
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_Marseille
Articles
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comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti -
d’où la clarté mille fois réfractée de la lumière tombe sur moi
24 avril 2020, par arnaud maïsetti24 avril 2020
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va, débrouille la nuit
8 avril 2016, par arnaud maïsettiDans ce monde de plus en plus impossible – mais dont l’impossibilité même nous donne tant d’espoir, celui du soulèvement, des déchirures enfin possibles qui nous le rendront habitable –, la suite des jours n’en finit pas d’être hasardeuse, les perspectives comme lointaines. Tant mieux : c’est aussi la joie de ce moment, de ce printemps : l’invention soudaine chaque jour d’un moment. Tous les jours, suivre les forces vives qui s’assemblent et inventent le présent au nom de l’avenir, sur les places, debout (...)
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l’envers du deuil
14 septembre 2019, par arnaud maïsetti15 septembre 2019
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retenir l’effondrement et suspendre la fin
1er octobre 2018, par arnaud maïsetti1er octobre 2018
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Détruire le ciel
26 mai 2019, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
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car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020
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être à la hauteur
9 juin 2019, par arnaud maïsetti9 juin 2019
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dépôt de lumière (vies et mort de Milon de Crotone)
22 septembre 2013, par arnaud maïsettinm (si-smo-gra-f’)
Terme de physique. Instrument destiné à indiquer l’intensité des tremblements de terre. Le sismographe thermo-électrique a signalé un frisson continuel du sol avec des secousses de tremblement de terre.
On raconte (je n’en crois rien) que Milon de Crotone, le plus grand athlète de tous les temps quand les temps étaient jeunes, avait traversé le pays (on ne sait pas lequel) et croisa un chêne fendu qu’il décida de fendre davantage – c’était un piège. Ses mains prisonnières du (...) -
La Ville écrite | Terminus Solitude
24 octobre 2017, par arnaud maïsettiligne quarante
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le tranchant de l’œil en éveil
2 août 2017, par arnaud maïsetti2 août 2017
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Marseille | République en carton (grave)
7 avril 2016, par arnaud maïsettirue de la République en carton
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louange à l’équinoxe
23 septembre 2014, par arnaud maïsettiMoment donné où le soleil, passant à l’équateur, rend les jours égaux aux nuits dans tous les pays du monde. L’équinoxe du printemps. L’équinoxe d’automne. Au passage, la Place Castellane, furtive ou imprécise, semble bouger dans le soir qui tombe plus rapidement que moi, ce soir — et avec cette lumière, tous ces jours ensemble soudain. Ne pas les avoir écrits les préserve, je le sais — je le désire aussi. Du mois traversé, comme je fais le tour de cette place avec le sentiment que je fais tourner autour de (...)
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quelque lointain que puisse être ce qui l’a laissée
7 janvier 2020, par arnaud maïsetti7 janvier 2020
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la mort, mais pas celle-ci
4 avril 2020, par arnaud maïsetti4 avril 2020
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la nuit n’est pas (ce que l’on croit)
25 mai 2019, par arnaud maïsettiAinsi ce doute éternel de l’immortalité de l’âme qui affecte les meilleurs esprits se trouvait résolu pour moi. Plus de mort, plus de tristesse, plus d’inquiétude. Ceux que j’aimais, parents, amis, me donnaient des signes certains de leur existence éternelle, et je n’étais plus séparé d’eux que par les heures du jour. J’attendais celles de la nuit dans une douce mélancolie.
Nerval, Aurélia
It’s almost like you’re not afraid of anything I do / How I want you here
You don’t know what it’s like to be around (...) -
La ville écrite | tu m’aimes ?
13 décembre 2018, par arnaud maïsettinon (enfin…)
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les voltigeurs et puis quoi
1er mai 2019, par arnaud maïsettiAu reguard de fanfarer et faire les petits popismes sur ung cheval, nul ne le feit mieulx que lui : le voltigeur de Ferrare n’estoyt qu’ung cinge en comparaison.
Rabelais, Garg. I, 23.
On apprend à se servir de nouveaux mots. Aujourd’hui, j’ouvre la radio, et celui de voltigeurs apparaît, simplement prononcé par ceux qui ont la parole comme si c’était un mot comme un autre, comme si c’était un mot acceptable et possible, et tranquille, comme si ce n’était pas un mot qui disait les coups qu’on donne (...) -
où sommes nous
17 janvier 2019, par arnaud maïsetti17 janvier 2019
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La mort sans phrase
5 octobre 2020, par arnaud maïsetti5 octobre 2020