6 mai 2020
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_Marseille
Articles
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comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui
6 mai 2020, par arnaud maïsetti -
être exclu du spectacle
17 avril 2020, par arnaud maïsetti17 avril 2020
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les présages du possible
30 août 2018, par arnaud maïsetti30 août 2018
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le continent de l’insatiable
15 février 2019, par arnaud maïsetti15 février 2019
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feux aux portes de la ville, nuit en plein jour
11 août 2016, par arnaud maïsetti11 août
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Car la ville nous appartient
13 avril 2016, par arnaud maïsettiédito de printemps pour l’Insensé
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Jrnl | Puisqu’il est trop tard
14 mars 2023, par arnaud maïsettiMardi 14 mars 2023
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disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier
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dans le silence d’écrire
26 juin 2016, par arnaud maïsettiIl n’y a de composition que musicale
Duras
Il faut imaginer la chaleur : insupportable et pesante. Pour rentrer d’Aix vers Marseille, c’est presque trente minutes ; mais à cette heure, il faut parfois plus d’une heure – quand il n’y a pas d’accident à l’entrée de la ville : une fois par semaine, à l’entrée de la ville, ce n’est pas rare –, et le bus est plein, et la lumière aveuglante.
Je m’assois à l’avant, l’homme à la fenêtre semble jeune, plus jeune que moi peut-être ; je ne sais pas. Il gardera le (...) -
loin de tous les soleils
30 avril 2018, par arnaud maïsetti30 avril 2018
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dans l’écriture des jours d’oubli
13 mars 2016, par arnaud maïsettiLe cœur humain est né pour la faiblesse, Et l’héroïsme est un joug qui l’oppresse.
Saint-Just, Organt, 1789 (poème lubrique) Images : vers Marseilleveyre, les arbres tendent leurs branches vers le sommet du ciel
Ce soir, la nuit tombe sur toute la semaine — et sur les précédentes, de tout son poids, de toute sa hauteur de nuit. Je relis le long poème de Saint-Just, évidemment illisible, débordant de tout un désir de littérature, un désir de désir qui l’entrave ; et l’ombre invisible de l’Histoire plane (...) -
comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
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d’où la clarté mille fois réfractée de la lumière tombe sur moi
24 avril 2020, par arnaud maïsetti24 avril 2020
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va, débrouille la nuit
8 avril 2016, par arnaud maïsettiDans ce monde de plus en plus impossible – mais dont l’impossibilité même nous donne tant d’espoir, celui du soulèvement, des déchirures enfin possibles qui nous le rendront habitable –, la suite des jours n’en finit pas d’être hasardeuse, les perspectives comme lointaines. Tant mieux : c’est aussi la joie de ce moment, de ce printemps : l’invention soudaine chaque jour d’un moment. Tous les jours, suivre les forces vives qui s’assemblent et inventent le présent au nom de l’avenir, sur les places, debout (...)
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l’envers du deuil
14 septembre 2019, par arnaud maïsetti15 septembre 2019
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retenir l’effondrement et suspendre la fin
1er octobre 2018, par arnaud maïsetti1er octobre 2018
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Rimbaud | Naissance de la mort
11 novembre 2014, par arnaud maïsettiLes derniers jours
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être à la hauteur
9 juin 2019, par arnaud maïsetti9 juin 2019
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désespéré du calme sinistre au milieu duquel on patauge
28 avril 2020, par arnaud maïsetti28 avril 2020
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La Ville écrite | Terminus Solitude
24 octobre 2017, par arnaud maïsettiligne quarante