Jeudi 14 décembre 2023
Accueil > Mots-clés > _Villes & Mondes > _Marseille
_Marseille
Articles
-
Jrnl | Contemporain de la vision qu’il permettait
14 décembre 2023, par arnaud maïsetti -
et exister et mourir
20 janvier 2019, par arnaud maïsetti20 janvier 2019
-
devant la faille : la folie, ou la révolte
20 septembre 2018, par arnaud maïsetti20 septembre 2018
-
faire brèche
11 décembre 2018, par arnaud maïsetti11 décembre 2018
-
de la surface des choses passées
24 août 2017, par arnaud maïsetti23 août 2017
-
« La surface des choses »
2 février 2015, par arnaud maïsetticadavres de sapins
-
épaves du vieux monde
15 octobre 2016, par arnaud maïsettiA vieille carte, nouvelle épave.
Dicton marin Bob Dylan, "Things have changed" (2000) En longeant le Vieux-Port de Marseille vers le théâtre, on remonte vers le Sud, on laisse l’Europe dans son dos, on fait face au large, il suffirait qu’on tourne les yeux pour voir de part et d’autre les Amériques et l’Afrique ; on respire enfin. On est plein de pensées pour le vieux monde qui sombre tranquillement, on se prendrait presque de pitié pour lui : mais non, on n’est pas si lâche. On marche seulement (...) -
La Ville écrite | détruisons
4 septembre 2016, par arnaud maïsettitout ce qui nous empêche de vivre
-
La Ville écrite | rage
29 janvier 2015, par arnaud maïsettipour le dire
-
La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
-
Apaisée | la France
10 mars 2017, par arnaud maïsettiLa sédition apaisée ?
-
La Plaine | « On préfère construire nous-mêmes ce qui nous tient à cœur »
27 juin 2017, par arnaud maïsettiÀ nos ennemis
-
fuir la peste, organiser les rencontres,
5 juin 2019, par arnaud maïsetti6 juin 2019
-
La Ville écrite | [bruit de feuille qu’on arrache]
5 octobre 2018, par arnaud maïsettiles yeux crevés
-
La ville écrite | Das Kapital
19 janvier 2019, par arnaud maïsettirenoncer aux illusions
-
il peut arriver que l’on s’impatiente un peu (zone de silence)
25 janvier 2014, par arnaud maïsettiDes cent quarante-huit images prises dans la journée, je ne parviens à en déposer aucune ici. Toujours des forces entre soi et le monde résistent, surtout quand ces forces sont le monde lui-même : s’y soumettre.
Je n’ai pas la patience d’attendre ce soir (ni la force de veiller davantage) — si je ne connais pas le mot qui dirait le contraire de l’attente, je sais la valeur de l’impatience.
Plus tard, peut-être.
Plus tard, je déposerai les images que j’ai arrachées au trajet de train, quand au matin (...) -
puis la lumière du feu impérissable
27 avril 2020, par arnaud maïsetti27 avril 2020
-
La Ville écrite | faire
9 août 2016, par arnaud maïsettimais quoi
-
histoires de mes gares
24 avril 2015, par arnaud maïsettiL’attendu n’arrive pas, mais l’inattendu
Euripide
Au pied des gares, les mêmes dalles de béton uniformes et blanches, à Rennes, Bordeaux, Montpellier, Lille, Strasbourg, Tours : toutes les gares que j’ai traversées ont dans mon souvenir la même surface lisse, le même horizon propre qui nous jette dans la ville. Quand on se penchera sur notre décennie, dans cinquante ans, et qu’on regardera la manière dont on a bâti ces sas entre la gare et la ville, on hochera sans doute la tête d’incompréhension, et (...) -
la main enchantée capable d’entrer dans la machinerie
25 avril 2020, par arnaud maïsetti25 avril 2020