27 avril 2020
Accueil > Mots-clés > _Villes & Mondes > _Marseille
_Marseille
Articles
-
puis la lumière du feu impérissable
27 avril 2020, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | faire
9 août 2016, par arnaud maïsettimais quoi
-
histoires de mes gares
24 avril 2015, par arnaud maïsettiL’attendu n’arrive pas, mais l’inattendu
Euripide
Au pied des gares, les mêmes dalles de béton uniformes et blanches, à Rennes, Bordeaux, Montpellier, Lille, Strasbourg, Tours : toutes les gares que j’ai traversées ont dans mon souvenir la même surface lisse, le même horizon propre qui nous jette dans la ville. Quand on se penchera sur notre décennie, dans cinquante ans, et qu’on regardera la manière dont on a bâti ces sas entre la gare et la ville, on hochera sans doute la tête d’incompréhension, et (...) -
la main enchantée capable d’entrer dans la machinerie
25 avril 2020, par arnaud maïsetti25 avril 2020
-
couleur passée des jours
26 mars 2020, par arnaud maïsetti26 mars 2020
-
La Ville écrite | Laisse-moi
12 novembre 2015, par arnaud maïsettiton cœur est un temple
-
La Ville écrite | KafKafKafKa
12 février 2016, par arnaud maïsettile gardien des portes
-
Thomas Ostermeier | L’illusion d’un théâtre à prétention politique
25 novembre 2019, par arnaud maïsettiRetour à Reims, de Didier Éribon, mise en scène par Thomas Ostermeier [Marseille, La Criée] – octobre 2019
-
la seule souffrance que tu puisses éviter
13 avril 2020, par arnaud maïsetti13 avril 2020
-
Bob Dylan | Blood on the tracks
15 février 2015, par arnaud maïsettianother lifetime
-
Fable de la ville ravagée
1er juin 2015, par arnaud maïsettiC’est juste en face, et tous les jours en descendant, je le vois. Cette immeuble recouvert d’abord de tous les soins ; les échafaudages, longtemps, dans l’indifférence. Puis, c’est un matin comme un autre qu’on détruit la ville : on lèvera ici un immeuble identique. Je reste là comme quelques-uns – nous sommes quelques-uns à n’avoir rien à faire d’autre ce matin-là. Rien d’autre que regarder la ville tomber par morceaux dans le bruit de la poussière qu’on arrose pour qu’elle soulève moins de poussières : on (...)
-
écrire (dans) les entrailles de la vallée de Saint-Pons
30 juillet 2017, par arnaud maïsetti30 juillet 2017
-
des lieux comme des secrets
20 juin 2017, par arnaud maïsetti20 juin 2017
-
au bord des quais
30 janvier 2015, par arnaud maïsettiOn rêve aux quais. On pourrait toucher ce qui de l’autre côté nous sépare de la mer. On se tient au bord, davantage encore. On tend alors la main, on ne touche que des murs. On se retourne, il y a seulement de la ville, qui s’étend plus loin. On rentre, on couche son corps contre son propre corps épuisé. On ferme les yeux sur un jour perdu dans la bataille qu’on n’a pas assez défendu.
Ces cris posés sur les murs sauvent, parfois ; ils disent tout n’est pas perdu, tant qu’il y aura ces cris, il y aura (...) -
ces autres manières de vivre
10 mars 2017, par arnaud maïsetti10 mars
-
comme si la clarté ne valait pas le vague
24 juin 2020, par arnaud maïsetti24 juin
-
enjambe le ciel
8 octobre 2019, par arnaud maïsetti8 octobre 2019
-
Henri Michaux | « Un homme perdu »
27 février 2019, par arnaud maïsettiJe me trouvais au milieu d’une plaine
-
La Ville écrite | officielles
30 juin 2016, par arnaud maïsettipourquoi « la vie » nous avait séparés
-
La Ville écrite | Queer-anarco (squatters)
7 février 2016, par arnaud maïsettimort au cadastre