16 novembre 2019
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_Marseille
Articles
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regards au loin
16 novembre 2019, par arnaud maïsetti -
les présages du possible
30 août 2018, par arnaud maïsetti30 août 2018
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désespéré du calme sinistre au milieu duquel on patauge
28 avril 2020, par arnaud maïsetti28 avril 2020
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le continent de l’insatiable
15 février 2019, par arnaud maïsetti15 février 2019
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peut-être les regards des combattants me cherchent-ils à travers l’obscurité de la forêt
2 mai 2020, par arnaud maïsetti2 mai 2020
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je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
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détruire le monde
7 avril 2020, par arnaud maïsetti7 avril 2020
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feux aux portes de la ville, nuit en plein jour
11 août 2016, par arnaud maïsetti11 août
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ce n’est pas la pluie
26 novembre 2018, par arnaud maïsetti26 novembre 2018
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Car la ville nous appartient
13 avril 2016, par arnaud maïsettiédito de printemps pour l’Insensé
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je me suis senti revêtu d’une cuirasse
30 avril 2020, par arnaud maïsetti30 avril 2020
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Jrnl | Puisqu’il est trop tard
14 mars 2023, par arnaud maïsettiMardi 14 mars 2023
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romantisme du confinement et privilège de classe
18 mars 2020, par arnaud maïsetti18 mars
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disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier
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dans le silence d’écrire
26 juin 2016, par arnaud maïsettiIl n’y a de composition que musicale
Duras
Il faut imaginer la chaleur : insupportable et pesante. Pour rentrer d’Aix vers Marseille, c’est presque trente minutes ; mais à cette heure, il faut parfois plus d’une heure – quand il n’y a pas d’accident à l’entrée de la ville : une fois par semaine, à l’entrée de la ville, ce n’est pas rare –, et le bus est plein, et la lumière aveuglante.
Je m’assois à l’avant, l’homme à la fenêtre semble jeune, plus jeune que moi peut-être ; je ne sais pas. Il gardera le (...) -
loin de tous les soleils
30 avril 2018, par arnaud maïsetti30 avril 2018
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les pâles du « non »
27 février 2019, par arnaud maïsetti27 Janvier 2019
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dans l’écriture des jours d’oubli
13 mars 2016, par arnaud maïsettiLe cœur humain est né pour la faiblesse, Et l’héroïsme est un joug qui l’oppresse.
Saint-Just, Organt, 1789 (poème lubrique) Images : vers Marseilleveyre, les arbres tendent leurs branches vers le sommet du ciel
Ce soir, la nuit tombe sur toute la semaine — et sur les précédentes, de tout son poids, de toute sa hauteur de nuit. Je relis le long poème de Saint-Just, évidemment illisible, débordant de tout un désir de littérature, un désir de désir qui l’entrave ; et l’ombre invisible de l’Histoire plane (...) -
comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
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d’où la clarté mille fois réfractée de la lumière tombe sur moi
24 avril 2020, par arnaud maïsetti24 avril 2020