26 novembre 2018
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_Marseille
Articles
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ce n’est pas la pluie
26 novembre 2018, par arnaud maïsetti -
Car la ville nous appartient
13 avril 2016, par arnaud maïsettiédito de printemps pour l’Insensé
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je me suis senti revêtu d’une cuirasse
30 avril 2020, par arnaud maïsetti30 avril 2020
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Jrnl | Puisqu’il est trop tard
14 mars 2023, par arnaud maïsettiMardi 14 mars 2023
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romantisme du confinement et privilège de classe
18 mars 2020, par arnaud maïsetti18 mars
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disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier
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dans le silence d’écrire
26 juin 2016, par arnaud maïsettiIl n’y a de composition que musicale
Duras
Il faut imaginer la chaleur : insupportable et pesante. Pour rentrer d’Aix vers Marseille, c’est presque trente minutes ; mais à cette heure, il faut parfois plus d’une heure – quand il n’y a pas d’accident à l’entrée de la ville : une fois par semaine, à l’entrée de la ville, ce n’est pas rare –, et le bus est plein, et la lumière aveuglante.
Je m’assois à l’avant, l’homme à la fenêtre semble jeune, plus jeune que moi peut-être ; je ne sais pas. Il gardera le (...) -
loin de tous les soleils
30 avril 2018, par arnaud maïsetti30 avril 2018
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les pâles du « non »
27 février 2019, par arnaud maïsetti27 Janvier 2019
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dans l’écriture des jours d’oubli
13 mars 2016, par arnaud maïsettiLe cœur humain est né pour la faiblesse, Et l’héroïsme est un joug qui l’oppresse.
Saint-Just, Organt, 1789 (poème lubrique) Images : vers Marseilleveyre, les arbres tendent leurs branches vers le sommet du ciel
Ce soir, la nuit tombe sur toute la semaine — et sur les précédentes, de tout son poids, de toute sa hauteur de nuit. Je relis le long poème de Saint-Just, évidemment illisible, débordant de tout un désir de littérature, un désir de désir qui l’entrave ; et l’ombre invisible de l’Histoire plane (...) -
comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
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d’où la clarté mille fois réfractée de la lumière tombe sur moi
24 avril 2020, par arnaud maïsetti24 avril 2020
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va, débrouille la nuit
8 avril 2016, par arnaud maïsettiDans ce monde de plus en plus impossible – mais dont l’impossibilité même nous donne tant d’espoir, celui du soulèvement, des déchirures enfin possibles qui nous le rendront habitable –, la suite des jours n’en finit pas d’être hasardeuse, les perspectives comme lointaines. Tant mieux : c’est aussi la joie de ce moment, de ce printemps : l’invention soudaine chaque jour d’un moment. Tous les jours, suivre les forces vives qui s’assemblent et inventent le présent au nom de l’avenir, sur les places, debout (...)
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l’envers du deuil
14 septembre 2019, par arnaud maïsetti15 septembre 2019
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retenir l’effondrement et suspendre la fin
1er octobre 2018, par arnaud maïsetti1er octobre 2018
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Détruire le ciel
26 mai 2019, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
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car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020
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être à la hauteur
9 juin 2019, par arnaud maïsetti9 juin 2019
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dépôt de lumière (vies et mort de Milon de Crotone)
22 septembre 2013, par arnaud maïsettinm (si-smo-gra-f’)
Terme de physique. Instrument destiné à indiquer l’intensité des tremblements de terre. Le sismographe thermo-électrique a signalé un frisson continuel du sol avec des secousses de tremblement de terre.
On raconte (je n’en crois rien) que Milon de Crotone, le plus grand athlète de tous les temps quand les temps étaient jeunes, avait traversé le pays (on ne sait pas lequel) et croisa un chêne fendu qu’il décida de fendre davantage – c’était un piège. Ses mains prisonnières du (...) -
La Ville écrite | Terminus Solitude
24 octobre 2017, par arnaud maïsettiligne quarante