23 avril 2020
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_Marseille
Articles
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dans notre propre main la volonté, ce fouet
23 avril 2020, par arnaud maïsetti -
Obscénité des visages
19 février 2020, par arnaud maïsettiaffiches électorales, disent-ils
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La Ville écrite | celles qui
5 août 2016, par arnaud maïsettià nos cauchemars
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La Ville écrite | les chats sont l’opium du peuple
21 février 2016, par arnaud maïsettitransaction réalisée par
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La Ville écrite | réponses
21 juin 2017, par arnaud maïsettifaire entendre
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le monde dont jusque là le reflet terni restait dehors
20 mars 2020, par arnaud maïsetti20 mars
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a mari usque ad mare (la reliance)
28 janvier 2014, par arnaud maïsettiElle était entièrement nue. Couchée sur le ventre, recouverte de quels rêves ? Le ciel, je sais comment le regarder, d’un seul coup et chercher le soleil pour le contre-jour, l’éblouissement semble ce miracle : ce qui permet de voir est ce qui aveugle, alors je ne reste pas longtemps les yeux plongés dans le soleil ; assez pour éprouver ce moment juste avant la douleur, et m’éloigner. Mais la mer ?
À cette distance la mer est à la fois tout le temps là, c’est le vent ; et si lointaine — la montagne (...) -
le chemin de crête
28 janvier 2020, par arnaud maïsetti28 janvier 2020
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ce n’est pas la pluie
26 novembre 2018, par arnaud maïsetti26 novembre 2018
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l’éclipse de l’équinoxe
20 mars 2015, par arnaud maïsettiC’est à huit heures dans le ciel mat comme du lait répandu sur le sol – mais rien ne sert de pleurer sur du lait renversé – le jour entièrement là déjà et rien qui ne permet de le voir. Déjà il faut tirer leçon : commencer les heures comme si le temps aura lieu.
Neuf heure quarante-et-un.
Le travail à la table, écran ouvert, livres à main gauche, et à droite, rien ; j’apprends des vies qui inventent leurs vies qu’elles sont inexemplaires, chaque jour de chaque mois, de chaque année qui se brise sur ce qui (...) -
la campagne battait son plein
4 mai 2017, par arnaud maïsettiUne cage allait à la recherche d’un oiseau.
Kafka, Aphorisme Dominique A, Revenir au monde (« Tout sera comme avant », 2009) Sale époque, vraiment. Des insultes qui tiennent lieu d’échanges, et sur l’écran de ce réel, rien qui fasse horizon, seulement crachats sur eux, sur nous, sur tout ce qui préside à l’organisation des choses. On est au milieu, on est entre les choses et l’organisation, on est peut-être ce qui tient lieu d’horizon, et cela ne suffit pas : ni à nous consoler ni à nous rendre (...) -
comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui
6 mai 2020, par arnaud maïsetti6 mai 2020
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être exclu du spectacle
17 avril 2020, par arnaud maïsetti17 avril 2020
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les présages du possible
30 août 2018, par arnaud maïsetti30 août 2018
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le continent de l’insatiable
15 février 2019, par arnaud maïsetti15 février 2019
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feux aux portes de la ville, nuit en plein jour
11 août 2016, par arnaud maïsetti11 août
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Car la ville nous appartient
13 avril 2016, par arnaud maïsettiédito de printemps pour l’Insensé
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Jrnl | Puisqu’il est trop tard
14 mars 2023, par arnaud maïsettiMardi 14 mars 2023
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Rimbaud, une vie | Délires. Suites et fin
10 novembre 2023, par arnaud maïsettiChapitre I
Rêves et agonies -
disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier