Une cage allait à la recherche d’un oiseau.
Kafka, Aphorisme Dominique A, Revenir au monde (« Tout sera comme avant », 2009) Sale époque, vraiment. Des insultes qui tiennent lieu d’échanges, et sur l’écran de ce réel, rien qui fasse horizon, seulement crachats sur eux, sur nous, sur tout ce qui préside à l’organisation des choses. On est au milieu, on est entre les choses et l’organisation, on est peut-être ce qui tient lieu d’horizon, et cela ne suffit pas : ni à nous consoler ni à nous rendre (...)
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_Marseille
Articles
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la campagne battait son plein
4 mai 2017, par arnaud maïsetti -
être exclu du spectacle
17 avril 2020, par arnaud maïsetti17 avril 2020
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Instincts primaires | Jour d’élections, disent-ils
27 novembre 2016, par arnaud maïsettipiège à
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le chemin de crête
28 janvier 2020, par arnaud maïsetti28 janvier 2020
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Nuit et Jour, ZeigtGeist | Des Frontières (cultiver le sel) #2
5 mars 2016, par arnaud maïsettiLes frontières n’existent pas
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les pâles du « non »
27 février 2019, par arnaud maïsetti27 Janvier 2019
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perdre connaissance
11 juin 2022, par arnaud maïsetti11 juin 2022
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bien qu’on sache que cela se paye
8 avril 2020, par arnaud maïsetti8 avril 2020
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Cette nuit en longueur me semble sans pareille
23 mai 2015, par arnaud maïsettiC’est aller d’une nuit à l’autre sans avoir l’impression de passer par le jour – ou comme dans les trains, sensation de ne faire que longer le monde, une ville laissée à côté de soi après l’autre, et le ciel coulissant contre soi, parfois l’accrocher du coin de l’œil pour l’interroger, prendre le silence pour une réponse et l’écrire.
C’est se pencher sur une table d’orientation effacée et poser les mains sur elle pour la consoler ; c’est voir la terre mordre vers la ville et ne pas s’en saisir ; c’est vouloir (...) -
dans l’écriture des jours d’oubli
13 mars 2016, par arnaud maïsettiLe cœur humain est né pour la faiblesse, Et l’héroïsme est un joug qui l’oppresse.
Saint-Just, Organt, 1789 (poème lubrique) Images : vers Marseilleveyre, les arbres tendent leurs branches vers le sommet du ciel
Ce soir, la nuit tombe sur toute la semaine — et sur les précédentes, de tout son poids, de toute sa hauteur de nuit. Je relis le long poème de Saint-Just, évidemment illisible, débordant de tout un désir de littérature, un désir de désir qui l’entrave ; et l’ombre invisible de l’Histoire plane (...) -
La Ville écrite | et soudain
22 décembre 2015, par arnaud maïsettiqu’elle était aimée
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comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
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d’où la clarté mille fois réfractée de la lumière tombe sur moi
24 avril 2020, par arnaud maïsetti24 avril 2020
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Marseille appartient à celui qui vient du large
29 juin 2020, par arnaud maïsettion votait hier
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désespéré du calme sinistre au milieu duquel on patauge
28 avril 2020, par arnaud maïsetti28 avril 2020
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La Ville écrite | Terminus Solitude
24 octobre 2017, par arnaud maïsettiligne quarante
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la flamme brûle sans savoir qu’elle existe
22 août 2018, par arnaud maïsetti22 août 2018
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car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020
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La Ville écrite | Sauvage
18 novembre 2017, par arnaud maïsettiparade
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feux aux portes de la ville, nuit en plein jour
11 août 2016, par arnaud maïsetti11 août