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_écritures numériques
Articles
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Lire & écrire en ligne | interruptions, appels
19 octobre 2011, par arnaud maïsetti -
« L’espace littéraire numérique » | Sites et écritures
26 octobre 2011, par arnaud maïsettiPublie.net
octobre 2011 -
pierres blanches
12 mai 2010, par arnaud maïsetti22 photos de murs et d’inscriptions
Printemps 10 -
Trente fois Kafka
9 juillet 2009, par arnaud maïsettiWenn man doch ein Indianer wäre...
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Louis Imbert | Faces
2 septembre 2011, par arnaud maïsettisous la couverture presque blanche, une profonde réflexion sur les visages, par un correspondant de presse sur les champs de bataille du vieux monde
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Komodo 21 | Écritures numériques, scènes du moment
24 septembre 2017, par arnaud maïsettiSeptembre 2107
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Enjeux numériques pour les écritures théâtrales
17 avril 2015, par arnaud maïsettiCommunication | colloque À l’écoute des écritures théâtrales émergentes depuis 2000, à Strasbourg, le 15 avril 2015.
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Toussaint & Bourrion | Chemins
23 mai 2010, par arnaud maïsettitravail noir et blanc avec mots et paysages
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pas de témoin pour cette nuit
10 juillet 2010, par arnaud maïsettiSoft Black Stars (Antony & The Johnsons, ’I Fell in Love With a Dead Boy (EP)’, 2001)
Let them trace the raindrops under soft black stars Let them follow whispers and scare away the night De la vitesse d’exposition des corps — de la grandeur des pupilles sur l’horreur — de la profondeur des plaies quand on les élargit pour en vérifier la présence — de la largeur des entailles sur le rêve, au matin, quand on l’écrit — du nombre de chiens errants morts à Bagdad ce mois — de la souillure, des rues (...) -
La Ville écrite | regarde le ciel
24 octobre 2011, par arnaud maïsettiJ’obéis aux ordres – sur le théâtre d’opérations,
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éparpillement du livre
9 juillet 2010, par arnaud maïsettiRest (Syd Matters, ’Hi life’, 2010) Le vent circule de part et d’autre de l’appartement : c’est l’avantage de la double exposition sud/nord — il y a malgré tout des inconvénients : j’ai laissé sur le bureau les feuilles du texte que j’avais imprimées pour relire et corriger, et quand je rentre, je les retrouve en désordre mêlées aux journaux de la semaine que je n’ai pas jetés. Et quand je me penche pour les ramasser, un ordre neuf de ce texte prend naissance : plus précis que celui que je m’efforce de lui (...)
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à venir | « avons-nous encore besoin du livre ? » – échanges
12 octobre 2011, par arnaud maïsettirencontres Remue.net : Autour et après Après le Livre de François Bon.
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Annie Rioux | Habiter un monde étranger
28 août 2011, par arnaud maïsettiAnnie Rioux, Filles du Calvaire, publie.net – août 2011
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Ronald Klapka | « en pays profonds »
2 avril 2013, par arnaud maïsettihommage à un poète de la pensée
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Anticipations | publie.net
7 mars 2010, par arnaud maïsettinouvelles
éditions Publie.net
réed. mars 2010 -
Nuit et Jour, ZeigtGeist | Du désir des mondes (les cartes anciennes) #4
13 mars 2016, par arnaud maïsettiFlorence, le Palazzo Vecchio
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celui dont l’âme pèse de cailloux_
Daniel Bourrion
1er janvier 2010, par arnaud maïsettiCelui dont l’âme pèse de cailloux de terres grasses de glaise à mottes lourdes et noires et lisses tranchées mais net par les charrues et renversées cul dessus tête et sur lesquelles on marche à se casser les chevilles mais même pas même pas et tout au bout du champ s’en retourner et reprendre sillon et puis encore et puis encore jusqu’aux draps gris du soir gris crépuscule qui nous mord à l’épaule et nous fait frissonner de peur de fatigue rentrer alors avec les bêtes l’araire est resté couché sur la (...)
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la fuite organisée des lignes
14 janvier 2010, par arnaud maïsettiTout ce qu’on écrit dans la torsion des mots, et qu’à force de tordre, ce qu’on saura en tirer : des lignes qui partent et ne reviennent pas, la fuite organisée des lignes qu’on plie pour ne pas qu’elles rompent.
Quand je m’arrête au milieu de la route et que la foule qui marchait du même pas que moi continue, c’est comme si la terre soudain s’écartait de moi : dans le vertige que cela provoque, on écrit non pas pour ramener la foule à soi, mais pour mesurer la vitesse à laquelle on s’est arrêté.
On (...)