le pire des gribouilles
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Articles
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Georges Bataille, entretien 1951 | L’intensité #4
27 avril 2015, par arnaud maïsetti -
fuir la peste, organiser les rencontres,
5 juin 2019, par arnaud maïsetti6 juin 2019
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[Tondi] | dans l’air la sécheresse
20 janvier 2013, par arnaud maïsettisur un reste de vie
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les notes que je m’adresse (mes cimetières)
13 juin 2013, par arnaud maïsettiDans la fuite, terrible, du temps entre mes doigts, juste une heure entre deux heures (et connexion minuscule dans ce café, j’écris cela entre deux coupures : image parfaite du jour : je ne sais donc pas si j’arriverai au bout de cette note jetée là) où prendre part sans rien y comprendre à l’organisation sociale du réel (et la tentation du retrait, grande, dans le cheminement), reprendre les courtes notes déposées en passant depuis trois semaines sur le bloc-mémo de mon téléphone : notes que je (...)
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Arthur Rimbaud | « Ce furent des pays noirs »
16 mai 2011, par arnaud maïsettiLoin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises
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il peut arriver que l’on s’impatiente un peu (zone de silence)
25 janvier 2014, par arnaud maïsettiDes cent quarante-huit images prises dans la journée, je ne parviens à en déposer aucune ici. Toujours des forces entre soi et le monde résistent, surtout quand ces forces sont le monde lui-même : s’y soumettre.
Je n’ai pas la patience d’attendre ce soir (ni la force de veiller davantage) — si je ne connais pas le mot qui dirait le contraire de l’attente, je sais la valeur de l’impatience.
Plus tard, peut-être.
Plus tard, je déposerai les images que j’ai arrachées au trajet de train, quand au matin (...) -
Il n’y a pas de contradiction. Il y a une absence de ponctuation.
16 mars 2015, par arnaud maïsettiDans le passage des jours toujours plus rapide que moi, plus rapide que chaque jour même, rien n’est possible, à part peut-être s’accrocher à cette vitesse-là des jours, d’un théâtre à l’autre, et d’un matin à l’autre, le soir peut-être, arrêté sur lui-même.
Je possède certaines ruses. La ville en est une. Ou plutôt l’image et comment en retour elle peut appeler en moi ce qu’elle n’est pas. L’appareil photo est une arme : il suffit de le tendre, sur telles parois de la ville, tel ciel qui sur elle se pose et (...) -
Koltès | « Le triomphe du bongo »
2 novembre 2011, par arnaud maïsettiDernière page de Prologue
1986 -
Kafka | « Et tu rêves du message »
22 mai 2013, par arnaud maïsettiquand la nuit vient
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Ronsard | « j’ai l’esprit tout ennuyé »
19 juin 2013, par arnaud maïsettiD’avoir trop étudié
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en attendant le bateau (folie des assauts)
26 août 2013, par arnaud maïsettiIl n’y a que l’eau, les femmes et la mort, qui nous prennent dans notre nudité. Nous changent.
G. Perros
La rentrée comme une grande retraite au large. Dans les regards des gens, je le voyais, c’était aujourd’hui : aujourd’hui qu’on concéderait sa vie à la vie réelle. Me suis assis au même café, au même endroit, à la même table, repris la ligne là où je l’avais laissée hier, l’ai tirée là où je l’ai pu ce soir, là où je la reprendrai demain matin ; j’avais oublié qu’il pouvait faire froid.
Entendu, à la (...) -
(de l’adresse pour conjurer le désespoir)
23 décembre 2011, par arnaud maïsettide l’opacité de mes textes
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Détroit | Droit dans le soleil
4 octobre 2013, par arnaud maïsettiBertrand Cantat : dignité de la lumière
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Rimbaud, une vie | Izambard. La classe du soir
26 novembre 2017, par arnaud maïsettiChapitre VI
Devenir crapules -
Dans la désolation
18 octobre 2011, par arnaud maïsetti(dé-zo-la-sion ; en vers, de cinq syllabes) s. f.
1° Action de désoler ; résultat de cette action. Il mit en désolation le sanctuaire, PASCAL, Proph. 26.
… avancer dans la désolation, comme on fait le tour du propriétaire d’un lieu possédé par toutes mes vies passées…
En regardant de loin fumer leurs villes et leurs maisons réduites en cendre, ils pleuraient la mort de leurs proches et la désolation de leur pays, FLÉCH. Hist. de Théodose, I, 32.
… marcher dans la désolation et reconnaître chaque (...) -
Koltès | l’autre part de sa vie
2 mai 2009, par arnaud maïsettiLecture des correspondances de Koltès – mai 2009
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la déchirure du ciel (ode & cataclysme)
26 novembre 2013, par arnaud maïsettisoudain le ciel percé, mais je ne sais pas, je voudrais que ce soit aussi les nuages qui de ce côté de la vie où nous sommes, percent et déchirent ; alors c’est le cas aussi.
le cri du ciel quand il s’ouvre — et que je me penche, lentement, vers ce qui s’ouvre, comme de boire, mordre mais non pas la poussière, quelque chose qui serait l’envers de la poussière, et sur les tableaux des vanités, l’envers de la poussière est une mèche de cheveux, je crois, laissée libre.
si je prends dix fois la même image, (...) -
La ville écrite | la vie est partie
11 février 2019, par arnaud maïsetticours lui après
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Autoportrait aux chaises
18 juillet 2012, par arnaud maïsettibijou
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Henri Michaux | Moments
22 décembre 2015, par arnaud maïsettiéclats