il n’en avait pas.
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_solitudes
Articles
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Quand la nuit vient | Son visage #2
18 mai 2019, par arnaud maïsetti -
je ne puis triompher qu’en rêve
4 mai 2020, par arnaud maïsetti04 mai 2020
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rêve des conjurations
5 avril 2020, par arnaud maïsetti5 avril 2020
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devant de plus faibles encore
11 avril 2020, par arnaud maïsetti11 avril 2020
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à part le siècle (le même âge que Kafka)
3 mai 2013, par arnaud maïsettic’est d’avoir appris, en feuilletant dans la rue ce Kafka que j’avais acheté le matin, qu’il était né en 1883 – comme moi, mais un siècle après –, que j’ai regardé cette peinture haute de toute la façade, et je me suis arrêté pour mieux la regarder, il y avait une jeune fille qui serrait la main de son amie en ne cessant de l’embrasser sur les yeux pour l’agacer un peu, et la faire rire (elle riait), et l’enfant qui se penchait sur sa poupée tombée sur le sol pour l’épousseter, et ce couple de vieillard, (...)
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A Filetta | Ne’n tarra ne’n celu
22 décembre 2015, par arnaud maïsettini sur la terre
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2016 | Un récit, Quand la nuit vient
3 janvier 2018, par arnaud maïsettic’est ce qui explique la nuit qu’on soit seul.
(Marseille, avril - mai 2016) -
Koltès | « Et puis toujours la pluie »
28 août 2010, par arnaud maïsettiLa Nuit juste avant les forêts : le raz-de-marée final
« il y a toujours dans ma tête, qui me reviennent tout d’un coup, des histoires de forêt » -
Koltès | 1981, La Nuit… de J.-L Boutté et R. Fontana
23 janvier 2018, par arnaud maïsettiLa Nuit… de Boutté / Fontana
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pas de témoin pour cette nuit
10 juillet 2010, par arnaud maïsettiSoft Black Stars (Antony & The Johnsons, ’I Fell in Love With a Dead Boy (EP)’, 2001)
Let them trace the raindrops under soft black stars Let them follow whispers and scare away the night De la vitesse d’exposition des corps — de la grandeur des pupilles sur l’horreur — de la profondeur des plaies quand on les élargit pour en vérifier la présence — de la largeur des entailles sur le rêve, au matin, quand on l’écrit — du nombre de chiens errants morts à Bagdad ce mois — de la souillure, des rues (...) -
Yann Tiersen | Porz Goret
11 avril 2016, par arnaud maïsettiLe port, au large d’Ouessant : c’est le lieu
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Le Client #8 | « Je vous préférais retors plutôt qu’amical. »
5 août 2013, par arnaud maïsettisoyons deux zéros
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VIDÉO | et si toujours la pluie
8 novembre 2019, par arnaud maïsettila pluie
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sortie littéraire
27 août 2010, par arnaud maïsettiSi le monde est ce vide, eh bien ! je suis ce plein. René Char First Song For B (Devendra Banhart, What Will We Be, 2009) Rentrée littéraire, c’est écrit partout, à chaque table de la librairie, mais les livres que je cherche sont en vente depuis plus de trois mois, alors évidemment je ne les trouve pas — je ne trouve pas non plus le Dostoïevski ou le Vargas Llosa pour lesquels je suis venu — ; je reste un moment malgré tout, regarde les futurs cadavres bien serrés sur les étalages, et les bandeaux (...)
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Koltès | parole adressée
23 mars 2008, par arnaud maïsettiCommunication à la Journée d’études « Bernard-Marie Koltès », à l’Université Paris VII – mars 2008
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Lecture | Le Client #1 : « mon désir, s’il en est un »
10 avril 2013, par arnaud maïsettiKoltès, Dans la Solitude des champs de coton
Première réplique du client -
Internet | temps réel
9 septembre 2010, par arnaud maïsettiNotes et dérives autour de l’expression en temps réel
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la faculté d’admirer (tremblé des perspectives)
28 février 2013, par arnaud maïsettiFanfare atroce où je ne trébuche point ! chevalet féerique ! Hourra pour l’œuvre inouïe et pour le corps merveilleux, pour la première fois ! Cela commença sous les rires des enfants, cela finira par eux.
En perspective perdue, on voit la ville. Le chemin y conduit, il est vide. Tout au fond, dans la confusion du ciel ; ce n’est pas le ciel, seulement ce qui le recouvre, ce qui partout porte trace de ce qui n’arrive pas, pas encore, pas assez. Tout au fond, c’est une manière d’imminence qui brûle et (...) -
étagères vides ou vidées
21 avril 2010, par arnaud maïsettiLa tête l’esprit comme une étagère vide — comme une étagère vidée et la poussière des livres déposée sur son sol : non pas trace mais empreinte plutôt de ce qui a été retiré et qui loin maintenant ne sont là que si loin, maintenant.
Les mains et les bras comme tout le corps dépossédé — comme après longue journée d’emménagement déménagement les bras qui tombent qui pèsent : les bras dans la douleur de ne plus rien porter ; et tous le corps plié des cartons qu’on a su déposer.
Et dans la fenêtre lumière traversante (...) -
pour couper les ailes de l’aigle
14 juillet 2011, par arnaud maïsettiFear Of Flying After Murder Park, 1995)
« Parce que la tortue a le pied sûr, est-ce une raison pour couper les ailes de l’aigle ? »
Edgar Allan Poe
C’était il y a deux ans, rue proche Champs Élysées, ces grandes allées d’arbres, ombres portées trop faiblement pour la chaleur qui passe, et la sueur, et l’attente. Juste deux ans aujourd’hui, les allées sont les mêmes, je crois, à cette heure, et la musique descendue en cadence du haut jusqu’en bas de l’avenue, résonne encore dans la fausseté.
Je me (...)