19 mars
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_solitudes
Articles
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essayez d’enfermer ceux qui le sont déjà
19 mars 2020, par arnaud maïsetti -
aux pensers enragez
19 octobre 2010, par arnaud maïsettiOld Stars (Jack The Ripper, ’Lady First’, 2005)
Nuict, mere des soucis, cruelle aux affligez, Qui fait que la douleur plus poignante est sentie, Pource que l’ame alors n’estant point divertie, Se donne toute en proie aux pensers enragez. Philippe Desportes (1599)
C’est une image du Mépris de Godard que j’aurais voulu ici — le début, surtout, avec la phrase en voix off qui ouvre le film —, mais impossible de le retrouver dans les entrailles de l’ordinateur : à la place, je cherche (...) -
Nuit et Jour, ZeigtGeist | rue de la République (de la colère) #7
5 avril 2016, par arnaud maïsettiJour de grève à Marseille
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cherche, appelle,
26 janvier 2015, par arnaud maïsettije ne le sais
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Théâtre | Les filles perdues [le texte]
1er mai 2015, par arnaud maïsettile texte
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La Chute des corps #1
28 novembre 2009, par arnaud maïsettiCe que nous sommes / Ce que nous voulons
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ce qui rend la vie inadmissible
17 septembre 2010, par arnaud maïsettiMan Of A Thousand Faces (Regina Spektor, ’Far’, 2009) Que je sois — la balle d’or lancée dans le soleil levant. Que je sois — la pendule qui revient au point mort chercher la verticale nocturne du verbe. Stanislas Rodanski
Je peux accepter — les pas du promeneur à minuit sous ma fenêtre, perdu, qui ne reviendra chez lui qu’au matin, et s’endormira ; je peux : et accepter encore les sourires du type à la dernière station du tram, allongé depuis l’aube jusqu’au soir, ivre pour oublier son nom et ce qui (...) -
ce châle effiloché (sur des coffres remplis d’or)
5 avril 2012, par arnaud maïsettiJe suis couché dans un plaid Bariolé Comme ma vie
d’avoir pour seule pensée parfois celle de se placer au bon endroit de soi, et surtout à égale distance précise et violente de la vie et de la mort (je veux dire : de ma propre vie), du désir de m’y tenir pour planter les dix doigts dans l’instant et la morsure sur la chair du désir, n’en avoir pas d’autre, celle de continuer à persister dans le désir de persister, et m’enfoncer dans chaque lumière, oui, me console parfois de n’avoir pas d’autres vies, (...) -
passer le temps
30 mai 2011, par arnaud maïsettiPeut-être la syntaxe est-elle née de la hantise de la mouvance et désormais c’est courir après l’impossible que de tenter de retrouver le musical sillage qui prélude, dans la nuit de la conscience, à l’avènement de l’instant. Il me faut bien essayer cependant, c’est la tâche qui m’est échue puisqu’à la distance infinie de la vie quotidienne où d’autres que moi affirment que j’existe, je n’ai que cette chanson à pousser… »
Claude Louis-Combet, Le Miroir de Léda
Ce que je voulais faire, c’était précisément (...) -
Aurélia Guillet | Par dessus l’abîme qu’est devenue notre histoire
6 février 2012, par arnaud maïsettiDéjà Là d’Arnaud Michniak, mis en scène par Aurélia Guillet [Paris, Théâtre de La Colline] - février 2012
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d’être fécondée par toi
2 avril 2020, par arnaud maïsetti2 avril
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de la précision (et de la justesse)
17 mai 2010, par arnaud maïsettiDance Until You’re Her, Up To the Ground ("White Noise", 2010)
some of us fought, forget forever some of us laughed but we sticked together Dans la voix du chanteur, cette lenteur qu’accentuent encore dehors les premières chaleurs, le premier jour où monte du sol cette sorte d’apesanteur sans rythme, sans hauteur. Comme j’aimerais avoir, pour parler, cette voix ; je veux dire : non pas ce timbre, mais cette hauteur qui tient à la fois les mots et le chant à distance. Précise comme un la, dense (...) -
chaque nuit la page consentie
26 avril 2021, par arnaud maïsetti26 avril 2021
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Koltès | Hamlet monologues
29 janvier 2012, par arnaud maïsettiDeux monologues - réécritures Hamlet, le théâtre et la vie.
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Jrnl | Dehors, c’est la fureur
8 janvier, par arnaud maïsettiLundi 8 janvier 2024
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la fuite organisée des lignes
14 janvier 2010, par arnaud maïsettiTout ce qu’on écrit dans la torsion des mots, et qu’à force de tordre, ce qu’on saura en tirer : des lignes qui partent et ne reviennent pas, la fuite organisée des lignes qu’on plie pour ne pas qu’elles rompent.
Quand je m’arrête au milieu de la route et que la foule qui marchait du même pas que moi continue, c’est comme si la terre soudain s’écartait de moi : dans le vertige que cela provoque, on écrit non pas pour ramener la foule à soi, mais pour mesurer la vitesse à laquelle on s’est arrêté.
On (...)