que ça ne fonctionne pas, le monde
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_Franz Kafka
Articles
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L’organisation échouée du monde
4 novembre 2010, par arnaud maïsetti -
le souvenir de son existence terrestre
10 mai 2020, par arnaud maïsetti10 mai 2020
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l’air et le silence d’avant le monde d’après
3 avril 2020, par arnaud maïsetti3 avril 2020
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dans notre propre main la volonté, ce fouet
23 avril 2020, par arnaud maïsetti23 avril 2020
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le monde dont jusque là le reflet terni restait dehors
20 mars 2020, par arnaud maïsetti20 mars
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la campagne battait son plein
4 mai 2017, par arnaud maïsettiUne cage allait à la recherche d’un oiseau.
Kafka, Aphorisme Dominique A, Revenir au monde (« Tout sera comme avant », 2009) Sale époque, vraiment. Des insultes qui tiennent lieu d’échanges, et sur l’écran de ce réel, rien qui fasse horizon, seulement crachats sur eux, sur nous, sur tout ce qui préside à l’organisation des choses. On est au milieu, on est entre les choses et l’organisation, on est peut-être ce qui tient lieu d’horizon, et cela ne suffit pas : ni à nous consoler ni à nous rendre (...) -
comme le mur sent la pointe du clou qu’on doit enfoncer en lui
6 mai 2020, par arnaud maïsetti6 mai 2020
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la seconde qui s’écoule entre deux pas faits par un voyageur
27 mars 2020, par arnaud maïsetti27 mars 2020
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Le monde viendra s’offrir à toi pour que tu le démasques
9 mai 2016, par arnaud maïsetti9 mai
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disharmonie numérique, ou la vie des ruines
22 janvier 2018, par arnaud maïsetti22 janvier
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Kafka | La Nuit (variation autours de)
29 octobre 2010, par arnaud maïsettinuit nf (nui ; le t se lie : travailler nui-t et jour, une nui-t obscure ; au pluriel, l’s se lie : des nui-z obscures) Images prises au pied du Panthéon — cet automne, après la pluie. Et lire ce soir, prenant une page au hasard des Récits posthumes et fragments de Kafka réunis, publiés et traduits par Catherine Billmann pour Actes Sud/Babel, ce court récit appelé ’La Nuit’.
Texte entrelacé ici de la simple définition donnée par Littré : entre, donc, j’y glisse les images de cette nuit précise qui (...) -
d’où la clarté mille fois réfractée de la lumière tombe sur moi
24 avril 2020, par arnaud maïsetti24 avril 2020
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Détruire le ciel
26 mai 2019, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
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car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020
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le tranchant de l’œil en éveil
2 août 2017, par arnaud maïsetti2 août 2017
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la mort, mais pas celle-ci
4 avril 2020, par arnaud maïsetti4 avril 2020
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le cercle qui m’est assigné
18 janvier 2012, par arnaud maïsettiNe pas écrire chaque jour, cela ne veut pas dire que chaque jour, on n’écrit pas – je demeure incapable de ne pas composer mentalement des phrases sur tout ce dehors que je vois ; cet apprentissage long de naître à soi dans le dehors ouvert comme une plaie. L’appareil photo est un stylo tenu ainsi à bout de bras qui me permet d’écrire, même dans ces jours où tout fuit, où ne pas guérir d’une crève qui insiste, où il n’y a plus que les heures après minuit, comme celles-ci, pour — heures qui ne sont plus (...)
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quelle boussole
19 avril 2014, par arnaud maïsettiimaginez un brin d’herbe qui pousse par le milieu… (Kafka)
Le site est ma boussole ; non pas vers le nord, mais l’ouest (et cette phrase de Christiane Singer : dans une perte totale, tu touches ce qu’est ton être véritable).
L’adresse est folle, folle de folie, douce aussi — à la dispersion les cendres, être une part du vent ; et puisque le jour doit s’écrire comme le vent, être cela qui jette dans le vent soi-même, plein ouest toujours.
des herbes folles poussées en sagesse sur le sol dans les (...) -
2010 | Séance 5_Récits de rêves
2 mars 2010, par arnaud maïsettirécits et lignes échappées : le rêve comme possible
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si bien que tu dois travailler comme un fou
14 avril 2020, par arnaud maïsetti14 avril 2020