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_désir demeuré désir
Articles
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François Truffaut | Les mains douces
15 avril 2019, par arnaud maïsetti -
Réservé à l’affichage électoral | astres morts
18 juin 2017, par arnaud maïsettiNos ombres mortes de la veille
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l’envers du deuil
14 septembre 2019, par arnaud maïsetti15 septembre 2019
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être étoile filante
30 janvier 2014, par arnaud maïsettiRembrandt | Le Retour du Fils Prodigue
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en quoi crois-tu ?
22 décembre 2018, par arnaud maïsettiHong Sang-Soo | The day after
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dans les haies d’Ajloun
6 octobre 2019, par arnaud maïsetti6 octobre 2019
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Rimouski | horizon fleuve
24 mai 2012, par arnaud maïsettidu nord à l’ouest
printemps 12 -
La Ville écrite | "dans une rue intitulée « divinité de la neige »"
27 avril 2011, par arnaud maïsettiune demande formulée, brève
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La Ville écrite | improbable
11 juin 2012, par arnaud maïsetticaresses
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Autoportrait à la fragilité de la phrase
24 octobre 2012, par arnaud maïsettitremblé
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Nos sites sont-ils personnels ?
21 février 2011, par arnaud maïsetti« On n’écrit qu’avec du soi » — qu’est ce qu’un site personnel ?
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La Ville écrite | détruisons
4 septembre 2016, par arnaud maïsettitout ce qui nous empêche de vivre
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Krzysztof Warlikowski | Combattre les fantômes de l’histoire
15 juillet 2016, par arnaud maïsettiIl Trionfo del Tempo e del Distinganno, Pamphili, Musique de Georg Friedrich Haendel (1707), mise en scène par Krzysztof Warlikowski, direction musicale Emmanuelle Haïm [Festival d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence] - juillet 2016
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Rues Verlaine
3 mars 2011, par arnaud maïsetti50 photographies — Quartier des Batignolles dans les pas de Verlaine
Hiver 11 -
a mari usque ad mare (la reliance)
28 janvier 2014, par arnaud maïsettiElle était entièrement nue. Couchée sur le ventre, recouverte de quels rêves ? Le ciel, je sais comment le regarder, d’un seul coup et chercher le soleil pour le contre-jour, l’éblouissement semble ce miracle : ce qui permet de voir est ce qui aveugle, alors je ne reste pas longtemps les yeux plongés dans le soleil ; assez pour éprouver ce moment juste avant la douleur, et m’éloigner. Mais la mer ?
À cette distance la mer est à la fois tout le temps là, c’est le vent ; et si lointaine — la montagne (...) -
les arbres nous regardent (le geste de toute une vie)
2 janvier 2014, par arnaud maïsettiHeures, couleur mai, fraîches. Ce qui n’est plus à nommer, brûlant, audible dans la bouche.
Voix de personne, à nouveau.
Profondeur douloureuse de la prunelle : la paupière ne barre pas la route, le cil ne compte pas ce qui entre.
Une larme, à demi, lentille plus aiguë, mobile, capte pour toi les images.
Paul Celan, Un oeil, ouvert
On m’avait dit enfant qu’il ne fallait pas toucher à l’arbre (cela date peut-être de ce jour où j’avais coupé du bois vert, massacré le jeune arbre) : dès lors enfant, (...) -
l’axe manquant de la ville
2 juin 2016, par arnaud maïsetti2 juin
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quand s’ouvrent les premières Eucharis
21 mars 2014, par arnaud maïsettiDepuis lors, la Lune entendit les chacals piaulant par les déserts de thym, — et les églogues en sabots grognant dans le verger. Puis, dans la futaie violette, bourgeonnante, Eucharis me dit que c’était le printemps.
Rimb. Après le déluge C’est le jour où le soleil bascule dans l’hémisphère nord — ou est-ce l’hémisphère nord qui pivote et s’oriente vers le soleil ? C’est le lieu, plutôt, où la lumière passe ; frappe à l’inclinaison la plus proche. C’est l’espace qui sépare la lumière du jour. C’est la (...) -
solstice perdu et spectres nouveaux
23 juin 2017, par arnaud maïsetti23 juin 2017
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l’état de la France, juste avant la peau
11 avril 2017, par arnaud maïsetti11 avril