ses draps conjuratoires
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_André Breton
Articles
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André Breton | Plutôt la vie
23 avril 2017, par arnaud maïsetti -
« La courbe d’une phrase »
22 décembre 2009, par arnaud maïsettiÀ propos d’un commentaire de J. Gracq sur la phrase chez A. Breton
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André Breton | « Je vous souhaite d’être follement aimée »
3 février 2019, par arnaud maïsettifollement
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André Breton | Nadja, « il faut que ce soit un peu le nom du feu »
8 mars 2019, par arnaud maïsettila pensée sur le bain dans la pièce sans glaces
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A. Breton | à la folie de ce jour
7 février 2012, par arnaud maïsettiIl faut aller voir de bon matin, du haut de la
colline du Sacré-Cœur -
André Breton | « C’est l’heure des meetings politiques »
14 avril 2017, par arnaud maïsettien lettres grasses l’inscription « Rien ne va plus »
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comme du commencement du monde à l’autre bout
9 janvier 2018, par arnaud maïsetti9 janvier 2018
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qui vive
29 avril 2014, par arnaud maïsettiQui vive ? Est-ce vous, Nadja ? Est-il vrai que l’au-delà, tout l’au-delà soit dans cette vie ? Je ne vous entends pas. Qui vive ? Est-ce moi seul ? Est-ce moi-même ? Breton longer, partir, aller. d’une ville à l’autre au rythme des gares et des arrêts. paris toulouse aix paris marseille aix paris quoi bientôt ? les trains de nuit et les trains de jour. se réveiller à quatre heures à limoges (le lendemain être sûr d’en avoir rêvé : mais non, je possédais l’image sur mon téléphone — sans souvenir de (...)
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Aix | entre les toits, les draps défaits de la ville
24 août 2016, par arnaud maïsetti[/Ce toit tranquille, où marchent des colombes, entre les pins palpite, entre les tombes Paul Valéry, Le cimetière marin /]
D’où vient l’appel quand, de la fenêtre, on a vue sur les toits ? Cette chance qu’on éprouve quand on vit auprès de cette vue : d’où vient qu’on l’éprouve comme un privilège secret, un peu comme un sacrilège arraché aux foules ?
On surprend cette chance parfois chez d’autres : depuis Aix par exemple, cette chambre avec vue sur les collines, le ciel : et sur la ville. Ou depuis Paris, (...) -
cendres du soleil
7 janvier 2019, par arnaud maïsetti7 janvier 2019
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André Breton | « sacrée ce que tu es »
24 décembre 2015, par arnaud maïsettiAndré Breton, Arcane XVII
Une main de femme, ta main dans sa pâleur d’étoile seulement pour t’aider à descendre, réfracte son rayon dans la mienne. Son moindre contact s’arborise en moi et va décrire en un instant au-dessus de nous ces voûtes légères où aux vapeurs du tremble ou du saule le ciel renversé mêle ses feuilles bleues. À quoi puis-je bien devoir, pour ma part, cette rémission d’une peine que d’autres endurent sans se sentir plus coupables que je ne le suis aujourd’hui ? Avant de te connaître (...) -
2010 | Séance 5_Récits de rêves
2 mars 2010, par arnaud maïsettirécits et lignes échappées : le rêve comme possible
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A. Breton | « ce toujours est la grande clé »
8 octobre 2011, par arnaud maïsettiIl fallait qu’au moins de l’une à l’autre une corde magique fût tendue
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qui rejoignaient les autres nuits
13 février 2019, par arnaud maïsettiOui, ce soir-là plus beau que tous les autres, nous pûmes pleurer. Des femmes passaient et nous tendaient la main, nous offrant leur sourire comme un bouquet. La lâcheté des jours précédents nous serra le cœur, et nous détournâmes la tête pour ne plus voir les jets d’eaux qui rejoignaient les autres nuits.
André Breton/Philippe Soupault,, « La Glace sans tain », Les Champs Magnétiques (Littérature, nº 8, Octobre 1919) Bob Dylan, In the evening (1961, Live "Minnesota Hotel Tapes")
Le soir sait très bien (...) -
André Breton | Plutôt la vie
16 novembre 2015, par arnaud maïsettiau lendemain de
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nous sommes à l’occident (Londres)
27 septembre 2014, par arnaud maïsettije vois que mes malaises viennent de ne m’être pas figuré assez tôt que nous sommes à l’Occident. Les marais occidentaux !
Rimb.
Aucune ville comme Londres ne me donne davantage cette impression d’Occident — le sentiment d’être comme sur la pointe la plus avancée d’une civilisation qui se pense telle, connaît son histoire et travaille à lui ressembler, jusqu’à dresser à chaque rue une ville qui serait conforme à l’image qu’on a d’elle. Le ciel aussi, blanc, qui touche les toits, épouse parfaitement l’idée (...) -
A. Breton | « tout le secret de la vie »
22 février 2012Je n’ai jamais cessé de croire que l’amour
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Autre Savoir | Le soleil s’est renversé
6 janvier 2014, par arnaud maïsettides champs magnétiques
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Mihi cura futuri (et le ciel féroce)
16 février 2014, par arnaud maïsettirien d’autre que les pensées adressées.
sur ce toit quand je suis remonté tout à l’heure, j’ai revu le ciel, celui du soir hier qui tombait, et je suis resté là, un peu.
Le ciel est un tableau noir sinistrement effacé de minute en minute par le vent, écrivait à peu près Breton ; je sais que le ciel écrit aussi lentement l’effacement pour que je puisse voir à travers les lettres.
ce qui est précieux : tout ce que je possède est ce qui ne m’appartient pas, qui est loin maintenant — dans la fatigue de ce (...) -
que le commencement
1er février 2019, par arnaud maïsetti1er février 2019