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_aura & ailleurs
Articles
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Peter Handke | « Accorde-toi le soleil »
31 janvier 2019, par arnaud maïsetti -
Samuel Beckett | l’épitaphe
13 février 2014, par arnaud maïsettiPersonnellement, je n’ai rien contre les cimetières,
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Moriary | Jimmy
3 juin 2014, par arnaud maïsettisouviens toi du chant des bisons
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Syd Matters | « something in the weather (coming) »
22 janvier 2012, par arnaud maïsettil’étrangeté
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de la vitesse (comme emportement)
20 janvier 2014, par arnaud maïsettitemps qui s’échappe, file, s’éloigne ou accélère quand je passe à hauteur.
les jours, les semaines, les mois, les années mêmes (une de plus), et vite aller encore, plus encore.
les villes aussi (l’une après l’autre, après l’autre)
les lunes.
temps qui n’arrête pas d’aller, mais chaque seconde met la même seconde pour aller en finir et recommencer, et je regarde le ciel.
non pas le retenir, seulement dans les rêves, les désirs, tâcher d’appartenir davantage au présent, et à son devenir : mais vite être (...) -
Milan #1 | Ville à ciel ouvert
3 juin 2022, par arnaud maïsettiEn passant
printemps 22 -
Koltès | Utopies politiques : « Il faudrait être ailleurs »
21 juin 2011, par arnaud maïsettiCommunication au colloque « Lire et jouer Koltès aujourd’hui » à l’université de Provence, organisé par Florence Bernard – juin 2011
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W. Benjamin | « Autant d’aura dans le monde qu’il y a de rêve en lui. »
26 décembre 2013Image : ces merveilleux nuages, qui passent, au lointain Du texte inconnu de Walter Benjamin sur Baudelaire, il n’y avait eu longtemps qu’une légende, on disait qu’il existait quelque part, quelques notes — celles qui ont permis (ou appuyé ?) les textes si décisifs et essentiels sur le poète, pour interroger a ville, la modernité (pas seulement le mot, mais comme ce qui traverse une mélancolie, l’exauce ou lui donne sens), le sentiment du monde, et celui d’aller (la flânerie comme une manière (...)
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Milan #4 | Mille églises
11 juin 2022, par arnaud maïsettiEn cherchant l’ombre
printemps 22 -
Récits de la création des Nouveaux Mondes #4
1er mai 2014, par arnaud maïsettique je marche
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La Ville écrite | heureux qui comme
1er août 2017, par arnaud maïsettià chaque pas
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imagine (marcher, la nuit roule dans mes yeux)
11 juillet 2012, par arnaud maïsettiAllons ! La marche, le fardeau, le désert, l’ennui et la colère.
Rimb. Une Saison en enfer
Oui, allons, marcher sur les mots de la ville comme des armées marchent sur une ville, et comme moi je m’arrête un peu, là, sur cet endroit de la page où je m’effondre ; non, ce soir, je n’irai pas plus loin : ce soir, je m’arrête sur la liste des prières de l’Islam, comme c’est étrange (et essentiel, évidemment) : je rêve sur leur nom moi aussi, mais je ne comprends pas le sens de cette Liturgie ; demain, (...) -
d’aucun testament
12 avril 2012, par arnaud maïsettiNotre héritage n’est précédé d’aucun testament
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places de l’imaginaire (jamais nous ne travaillerons)
24 mai 2012, par arnaud maïsettiAux heures d’amertume, je m’imagine des boules de saphir, de métal. Je suis maître du silence. Pourquoi une apparence de soupirail blêmirait-elle au coin de la voûte ?`
Je m’imagine : moins que moi, le souffle coupé dans la main qui saigne de tout ce que je ne saurai pas être, et pourtant ; qui d’autre que moi posera son ombre sur mon ombre ; et ma main sur tout ton corps, pour dire : voilà où je suis, la position occupée dans le monde est celle que j’invente à mesure de mes mains, enlacés dans le (...) -
[ phrases ] #3 — rêves de cendre
8 octobre 2011, par arnaud maïsettiÀ chaque carte retournée : toujours l’envers — le tarot ne ment pas, surtout quand il est divinatoire ; je suis seul dans ma chambre – je ne la connais pas, ne l’ai jamais vue, sûr cependant que c’est la mienne : il n’y a aucune photo, ni fenêtre, ni bureau, un seul lit minuscule, et une lumière qui vient du plafond haut : oui, c’est bien ma chambre –, et je tire les cartes, je sais la question que je leur pose (mais je l’ai oubliée au réveil), et les quatre cartes sont posées devant moi, face contre (...)
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solstice intérieur
22 décembre 2011, par arnaud maïsettiToi que la nuit constellée enfante en s’éteignant,
Au jour le plus court, moi terrassé de la ville, jette un dernier regard au dernier jour éclairé en moi du temps passé à l’épuiser – toujours au solstice d’hiver cette sensation en moi : rétraction de toutes choses au dedans du corps qui signe la concentration extrême du temps : chaque seconde éprouvée en son entier, oh si rare cette sensation, et de douleur, l’épuisement du temps, briser le sablier découlé accéléré comme si la peau était une main tendue (...) -
Milan #2 | La città scritta
3 juin 2022, par arnaud maïsettiEn lisant
printemps 22 -
Louis Imbert | Faces
2 septembre 2011, par arnaud maïsettisous la couverture presque blanche, une profonde réflexion sur les visages, par un correspondant de presse sur les champs de bataille du vieux monde
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midi quotidien
8 septembre 2011, par arnaud maïsettiDaily Routine (Animal Collective, ’Merriweather Post Pavilion’, 2009)
Perdre le Midi quotidien ; traverser des cours, des arches, des ponts ; tenter les chemins bifurqués ; m’essouffler aux marches, aux rampes, aux escalades ; Éviter la stèle précise ; contourner les murs usuels ; trébucher ingénûment parmi ces rochers factices ; sauter ce ravin ; m’attarder en ce jardin ; revenir parfois en arrière, Et par un lacis réversible égarer enfin le quadruple sens des Points du Ciel. […]
Victor Segalen (...) -
Verhaeren | « Vers quels n’importe où »
10 décembre 2012, par arnaud maïsettiÉmile Verhaeren, Œuvres, 1883-1896