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_marche
Articles
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La Ville écrite | fuite ?
3 octobre 2016, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | l’enfer n’est pas si loin
7 juillet 2011, par arnaud maïsettiÀ une lettre près, peut-être
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va, débrouille la nuit
8 avril 2016, par arnaud maïsettiDans ce monde de plus en plus impossible – mais dont l’impossibilité même nous donne tant d’espoir, celui du soulèvement, des déchirures enfin possibles qui nous le rendront habitable –, la suite des jours n’en finit pas d’être hasardeuse, les perspectives comme lointaines. Tant mieux : c’est aussi la joie de ce moment, de ce printemps : l’invention soudaine chaque jour d’un moment. Tous les jours, suivre les forces vives qui s’assemblent et inventent le présent au nom de l’avenir, sur les (…)
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dans le vent avenue de france à découvert (Si sur ce rivage, ici, mes empreintes)
23 avril 2013, par arnaud maïsettibien avant que je passe, ici, aucun vent, et moi maintenant dans le vent, qui passe, et rien autour de moi que l’avenue de france, les yeux comme sous la pluie quand on ne peut les ouvrir, les fermer ; et à travers moi, un vent plus grand encore, et il ne pleut pas,
dans les feuilles des arbres, aucune feuille, et dans le vent, avenue de france à découvert, des immeubles (pas ceux-là) qui tiennent droit, comment font-ils, moi je penche, et le sol penche avec moi, alors on ne se rencontre (…) -
Layla, à présent je suis au fond du monde | Résidence La Traverse
28 novembre 2015, par arnaud maïsettiDu 23 novembre au 6 décembre, le metteur en scène Jérémie Scheidler est accueilli en résidence d’écriture à la Traverse, Centre d’Art Contemporain, à Alfortville, en partenaria avec le Studio d’Arts Numériques du Théâtre Studio d’Alfortville.
Je l’accompagne ces jours dans cette première phase de travail de l’écriture d’un spectacle destiné à une comédienne – Boutaïna El Fekkak –, et dont le projet mûri depuis près d’un an.
Layla, à présent je suis au fond du monde, commence à s’écrire (…) -
dans les déchirures du ciel
31 août 2011, par arnaud maïsettiBlue Skies (Lady & Bird, ‘The Ballad of Lady & Bird’, 2003)
Blue skies are in the middle of a winter storm / While your blue eyes are looking at me like before
Et le bruit éternel des roues en folie dans les ornières du ciel
Blaise Cendrars (Prose du Transsibérien)
Parfois, la couleur passée des choses sur moi ; je pense : c’est ainsi que les choses meurent. Quand je ne me souviens plus d’un visage, je le remplace par un autre, que j’invente. Est-ce possible de faire cela (…) -
Contre le soleil (marche, avec Nietzsche)
12 novembre 2013, par arnaud maïsettiSous la folie des Dithyrambes de Dionysos — Traduction de Georges Mesnil, 1892.
LE SOLEIL DESCEND
I.
Tu n’auras plus soif bien longtemps, — cœur consumé ! — II y a des délivrances dans l’air, — des bouches inconnues soufflent vers moi, — la grande fraîcheur arrive…
C’est tout ce qui nous attend, la lumière pure qu’à force de regarder on ne verra plus — à marcher contre la lumière sans la quitter des yeux, c’est la terre autour qui se lève comme de la mer, autour des taches de (…) -
La Ciotat & Cadolive | Sur les hauteurs
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiprendre le vent
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Dimitri Vazemsky | Poésie/Poesia
31 décembre 2010, par arnaud maïsetti(et s’il n’y avait que ça…)
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Haute est la ville
13 janvier 2011, par arnaud maïsetti43 photos ; quartier Mériadecq, Bordeaux
hiver 11 -
P. Walsh | son nom, quelque part
7 octobre 2009, par arnaud maïsettiMr. Somewhere | The Apartments 
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le chemin de crête
28 janvier 2020, par arnaud maïsetti28 janvier 2020
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regarder le mur faire le monde
27 août 2018, par arnaud maïsetti27 août 2018
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Vietnam #4 | Sa Pa, dans ses poussières de pluie
4 novembre 2015, par arnaud maïsettile 8 octobre
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d’en haut
11 février 2010, par arnaud maïsettiD’en haut, on verrait la route seule plonger ses mains dans la mer, partir. On suivrait des yeux sa ligne comme au ciel les dépôts blancs des avions qui dessinent leur direction, en arrière.
On marcherait par la pensée en se faufilant entre la forêt et on laisserait toutes les villes dans le dos ; on se dépouillerait de tout ce qui leste, dettes des colères, trahisons en conscience, terreurs sans image de la vie sociale ; on irait là où la route continue.
On passerait un moment dans (…) -
marcher dans cette ville_
Stéphanie Khoury
3 septembre 2010, par arnaud maïsettiPerdre connaissance dans les rues : ne plus reconnaître les pavés foulés mille fois, comme si l’habitude les avait rendus nouveaux. Les souvenirs se dissipent, il n’y a plus de place dans la mémoire. Pourtant, toutes ces choses qui ne s’oublient pas — et que tu ne sais déjà plus si tu les as vécues — toutes ces choses paraissent loin.
Comme si un nouveau jour ouvrait sur une vie à chaque fois différente. Et pourtant — ce qui ne peut pas (encore) disparaître.
Sortes de voiles posées (…) -
entre les tours
21 octobre 2011, par arnaud maïsettiDes corps irréels, tendus sur l’arrière fond de ce monde comme une toile peinte sur les théâtres fabriqués jadis pour les histoires. Mais l’histoire est passée, on n’en connaît plus. À la place, on construit des grandes villes qu’on ne sait pas habiter. Décors fabuleux, mais dont la fable est cette rêverie intérieure qu’on jette sur ces tours, et qu’on formule malgré elles, pour mieux les entendre, ou mieux les voir. Laideurs objectives des quartiers d’affaires qu’on transforme par le biais (…)
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il y était presque
1er mai 2017, par arnaud maïsetti1er mai
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Julien Gracq | « Habiter une forêt perdue »
22 décembre 2011Ils fumèrent un moment en silence
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Récits de la création des Nouveaux Mondes #4
1er mai 2014, par arnaud maïsettique je marche