All The People I Like Are Those That Are Dead(Felt, ’Forever Breathes The Lonely Word’, 1986) Sur la pochette il est coupé en deux, comme déchiré entre deux existences. Un peu flou.
La première fois, c’est Lloyd Cole qui revient en souvenir inoffensif. La K7 gagnée à un concours d’une radio fm, il fallait répondre aux questions sur minitel, une k7 de Lloyd Cole and the Commotions on était en 1986. Rattlesnake.
1986, l’année de sortie de ’Forever breathes the lonely world’. Monde parallèle. Dimension (...)
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_musiques
Articles
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Felt_KMS
3 décembre 2010, par arnaud maïsetti -
Michel Lambert | Par mes chants
5 décembre 2015, par arnaud maïsettiTristes & touchants
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Dinah Washington | This Bitter earth (après tout)
17 mars 2012, par arnaud maïsettiAnd the Nature of Delight
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Csiki-Csiki | « que je meure »
1er mars 2013, par arnaud maïsettitransylvania, et au-delà
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Krzysztof Warlikowski | Combattre les fantômes de l’histoire
15 juillet 2016, par arnaud maïsettiIl Trionfo del Tempo e del Distinganno, Pamphili, Musique de Georg Friedrich Haendel (1707), mise en scène par Krzysztof Warlikowski, direction musicale Emmanuelle Haïm [Festival d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence] - juillet 2016
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Bob Dylan | Discours du Nobel
2 avril 2017, par arnaud maïsettiimprononçable
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Joel & Ethan Cohen | Inside Llewyn Davis
12 novembre 2013, par arnaud maïsettiRoutes & déroutes de la folk
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jusqu’où la mer échoue
25 septembre 2015, par arnaud maïsettiLa mer ne se retire pas, ici. Elle ne vient pas non plus. Quand elle bat, c’est sur elle-même. Leçon qu’il faut prendre. Dans les insomnies, penser à la mer réveille. Penser au ciel aussi, comme penser à tout ce qui s’échappe de soi entre la mer et le ciel.
Tout réveille, et il faut garder la veille comme le sommeil : à poings fermés, comme une colère contre soi. Journal intérieur de ces nuits tenu en silence.
Reprendre la clarinette. Apprendre à écouter de nouveau son propre souffle. Percevoir que le (...) -
Lost in the Trees | Excos
16 juin 2014, par arnaud maïsettidispersion des cendres
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Charlotte Gainsbourg | Rest
19 novembre 2017, par arnaud maïsettireste avec moi
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dans le silence d’écrire
26 juin 2016, par arnaud maïsettiIl n’y a de composition que musicale
Duras
Il faut imaginer la chaleur : insupportable et pesante. Pour rentrer d’Aix vers Marseille, c’est presque trente minutes ; mais à cette heure, il faut parfois plus d’une heure – quand il n’y a pas d’accident à l’entrée de la ville : une fois par semaine, à l’entrée de la ville, ce n’est pas rare –, et le bus est plein, et la lumière aveuglante.
Je m’assois à l’avant, l’homme à la fenêtre semble jeune, plus jeune que moi peut-être ; je ne sais pas. Il gardera le (...) -
d’aller au-devant (pensées contre les dépôts de bilan)
26 décembre 2013, par arnaud maïsettiDans les boucles de la musique, la voix ne cesse de dire les mêmes mots, ce ne sont pas les mêmes pourtant (To sleep is not even an option, Then I could use a little action, If you dare appear once more, If you dare appear once more), dans ces boucles je passerai le reste de la journée et tant pis si le jour tombe, moi non.
Je pourrais bien faire comme si c’étaient des jours comme les autres — autour c’est le temps mort des fins d’année où rien ne peut commencer, où tout attend que le temps (...) -
Marika Hackman | Cigarette
19 avril 2019, par arnaud maïsettiune dernière
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Koltès | « Le triomphe du bongo »
2 novembre 2011, par arnaud maïsettiDernière page de Prologue
1986 -
Kristoff / K.Roll | Par les lumières inouïes
5 février 2015, par arnaud maïsettiLa Bohemia-Electronica… Nunca Duerme, spectacle de Kristoff / K.Roll [Marseille, Friche Belle de Mai, Festival Reevox] – février 2015
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J.P Nataf | Les lacets
4 décembre 2013, par arnaud maïsettile jurer
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La Femme | Sphynx
4 janvier 2017, par arnaud maïsettiJe perdure dans le temps je me sens Sphynx
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Koltès | Bob Marley : « le jour où le grand maître du reggae est mort »
12 mai 2011, par arnaud maïsettiLettre à sa mère, le 18 mai 1981
« Bob Marley est mort » -
pleure la ville
29 octobre 2011, par arnaud maïsettià celle qui pleure cette Ville qui ne s’arrête jamais, pauvre brisé bat le pavé encore ivre de son sort
à celle qui dit je pleure
à celui qui pleure la veille de la nuit veillée comme une amante, une sœur de charité, une mélodie tremblée à la bougie sous l’orage
pleure la ville quand je suis seul qui reste à la veiller, et que sa respiration ne suffit pas, ne suffit jamais
pleure avec la ville cette manière qu’elle a de disparaître dans la nuit, ainsi
pleure la ville comme une immense brasse coulée et (...) -
Bob Dylan | Blood on the tracks
15 février 2015, par arnaud maïsettianother lifetime