cri de guerre
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_Poësies
Articles
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Allen Ginsberg | Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetti -
« Des choses qui me rongent la nuit »
9 mars 2010, par arnaud maïsettiNotes sur les vies d’Aragon
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Ingeborg Bachmann | « Mon Oiseau »
19 janvier 2019, par arnaud maïsettiquoi qu’il advienne
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Germain Nouveau | Fin d’automne
16 novembre 2013, par arnaud maïsettiDéjà le cœur se serre, et, comme pour s’ouvrir,
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à lire | Claude Favre, textes et langues
18 décembre 2010, par arnaud maïsettisoutien à un poète important
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Georges Bataille, entretien 1951 | L’intensité #4
27 avril 2015, par arnaud maïsettile pire des gribouilles
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Kate Tempest | Europe is lost
16 février 2018, par arnaud maïsettiperdue
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(au pied de la ville)
6 janvier 2012, par arnaud maïsettiAu pied de la ville, son ombre portée jusqu’à moi
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La Ville écrite | Au-delà des possibilités & des joies de mon esprit
30 avril 2015, par arnaud maïsettile temps du rêve
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Hurlements en faveur de soi [# 1]
24 novembre 2011, par arnaud maïsettiVingt-huit variations : cris ; récits ; rêves
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Jacques Dupin | « Comme si nous étions sur terre pour endurer la chaleur »
30 octobre 2012, par arnaud maïsettiJacques Dupin est mort
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XI.
24 septembre 2004, par arnaud maïsettiil s’agit maintenant
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Philippe Blanchon | Sous les marronniers de Vénétie
17 janvier 2013, par arnaud maïsettifigures du monde
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Aloysisus Bertrand | « Ainsi j’ai vu, ainsi je raconte »
2 juin 2010Il était nuit
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William Blake | « Le Petit Garçon Noir »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiet alors il m’aimera
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William Blake | « Le Ramoneur »
18 juillet 2013, par arnaud maïsettiet nous nous sommes tous levés dans le noir
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Pierre Michon | « Relation heureuse » (sur Jean-Pierre Richard)
18 mars 2019On a besoin des grands aînés
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prélude
24 septembre 2004, par arnaud maïsettidu siècle passé
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enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais sorti d’ici, la (...) -
Allen Ginsberg | Footnote to Howl
17 juin 2017, par arnaud maïsetticomme un cri de ralliement