présentation du projet : récits de rêve
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_Henri Michaux
Articles
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Un rêve | un projet, la tête dans le mauvais trou
11 décembre 2009, par arnaud maïsetti -
Nuit et Jour, ZeigtGeist | rue de la République (de la colère) #7
5 avril 2016, par arnaud maïsettiJour de grève à Marseille
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Écriture (numérique) du corps
17 février 2010, par arnaud maïsettiÉcrire sur ordinateur ; enjeux, fins, et expériences
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[Tondi] | drame à stations
25 juin 2011, par arnaud maïsettiC’est peut-être le dernier endroit du monde
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des restes de silence dont on ne sait que faire
11 août 2011, par arnaud maïsettiLike Home (Syd Matters, La question humaine (BO), 2007)
back home / like houses / like homes / like leaving / like shoes / like running
« Dans le bas de la mémoire, le ciel. Des restes. Des restes de lumière dont on ne sait que faire. »
Henri Michaux (Chemins cherchés, chemins perdus, transgressions)
Garder le silence (comme le berger son troupeau, dit la Bible, quelque part, où je l’invente) – longtemps en soi, garder pour soi le silence, et même ne rien en dire, garder contre soi le silence (...) -
cherche, appelle,
26 janvier 2015, par arnaud maïsettije ne le sais
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à présent, comment serait-ce possible ?
13 mai 2021, par arnaud maïsetti13 mai 2021
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infusez davantage
22 avril 2019, par arnaud maïsetti25 avril 2019
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Henri Michaux | « Un homme perdu »
27 février 2019, par arnaud maïsettiJe me trouvais au milieu d’une plaine
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La Ville écrite | dégage
6 mai 2011, par arnaud maïsettiLa ville crache en l’air les mots qu’on lui hurle
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Henri Michaux | Moments
22 décembre 2015, par arnaud maïsettiéclats
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Jrnl | Dehors, c’est la fureur
8 janvier, par arnaud maïsettiLundi 8 janvier 2024
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recommencer les murs (passage)
19 août 2012, par arnaud maïsetti« Je ne peux pas me reposer, ma vie est une insomnie, je ne travaille pas, je ne dors pas, je fais de l’insomnie,
ces mois comme un mur que je remplirai de mes doigts, et je ne sais pas qui du mur ou de moi sera le plus blessé, le plus couvert, c’est peut-être pour le savoir que les murs se dressent et recommencent ; il y a cette nuit que je n’ai pas passée, parce que la chaleur plus étouffante que le jour, et les rêves qui dans l’insomnie se forment ne sauvent pas d’elle, l’approfondissent, on (...) -
Henri Michaux | « Et maintenant dehors »
8 novembre 2012Il essaye de se distraire