émission France Culture
juin 2016
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_vies des morts
Articles
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Georges Bataille | Les chemins de la philosophie
21 novembre 2017, par arnaud maïsetti -
La Ville écrite | mourir à Marseille
24 août 2018, par arnaud maïsettiet vivre
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La Ville écrite | tusle
6 avril 2014, par arnaud maïsettil’injonction
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La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
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Patrice Chéreau | « parce qu’un homme meurt d’abord, puis cherche sa mort et la rencontre finalement »
7 octobre 2013, par arnaud maïsettidisparition de Patrice Chéreau
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Rimbaud, une vie | Naissances. Au nom du père, et du fils
6 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre II
La dette et la fuite -
généalogie des masques
12 octobre 2020, par arnaud maïsetti12 octobre 2020
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Rimbaud, une vie | Le caveau. Dernières fureurs
1er décembre 2017, par arnaud maïsettiChapitre [x]
Exhumation et miracles. -
La Ville écrite | éphémère, désespoir pour l’éternité
9 décembre 2013, par arnaud maïsettije ne suis pas d’accord
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Mariana Enríquez | « le monde se meurt »
1er septembre 2018, par arnaud maïsettibrûlées
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Koltès | 1981, un entretien – écrire ou l’œuvre de mort
31 mai 2018, par arnaud maïsettiEntretien avec Jacques Lemire
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ce navire à l’ancre
13 septembre 2011, par arnaud maïsettiCe navire à l’ancre tu peux couper la corde, à quoi sert-elle, quelles attaches, pour quels larges, les larges sont désirables tant qu’on les approche, une fois en eux, ce ne sont que des attaches de plus desquelles se défaire pour quels larges de nouveau — pensais-je alors dans ce milieu moite de la nuit noyée sous cette vie morte, absente, au pli régulier de la nuit où l’on respire sans s’apercevoir que l’on dort, finalement, moins d’épuisement que par habitude : et je me suis endormi, dans le (...)
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Koltès | la fête des morts
15 avril 2017, par arnaud maïsetti28 ans après
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Rimbaud | Des nouvelles de Londres
30 novembre 2018, par arnaud maïsettiL’Histoire splendide
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Rimbaud | Trois photographies
20 mai 2019, par arnaud maïsettiTenir en respect l’immobilité du présent
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Chris Marker | « Aux deux pôles extrêmes de la survie »
30 juillet 201229 juillet 1921 - 29 juillet 2012
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Henri Michaux | « Et maintenant dehors »
8 novembre 2012Il essaye de se distraire
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et frôler la lumière
28 janvier 2014, par arnaud maïsettidoucement
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Fable de la ville ravagée
1er juin 2015, par arnaud maïsettiC’est juste en face, et tous les jours en descendant, je le vois. Cette immeuble recouvert d’abord de tous les soins ; les échafaudages, longtemps, dans l’indifférence. Puis, c’est un matin comme un autre qu’on détruit la ville : on lèvera ici un immeuble identique. Je reste là comme quelques-uns – nous sommes quelques-uns à n’avoir rien à faire d’autre ce matin-là. Rien d’autre que regarder la ville tomber par morceaux dans le bruit de la poussière qu’on arrose pour qu’elle soulève moins de poussières : on (...)
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Vingt-et-juin, il fera peut-être nuit
24 juin 2015, par arnaud maïsettiDans la lutte entre toi et le monde, parie sur le monde.
Kafka Comment se résigner à comprendre le monde ? On finirait par lui trouver des raisons, puis fatalement à lui donner raison. S’en tenir éloigné, parfois, permet de continuer à le penser plein d’énigmes, impossible, impensable, et désirable encore. Ainsi la mer, ou le ciel ; ainsi les silences ; les amitiés lointaines ; certains livres (chercher un fragment de la Société du Spectacle, se surprendre à relire l’impeccable chapitre V « Temps et (...)