Ils font un ciel de notre misère
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_d’une langue l’autre
Articles
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William Blake | « Le ramoneur » (2)
8 juin 2021, par arnaud maïsetti -
William Blake | « Le Ramoneur »
18 juillet 2013, par arnaud maïsettiet nous nous sommes tous levés dans le noir
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Autre savoir | Des mots intraduisibles
2 décembre 2017, par arnaud maïsettiles mots qui manquent
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William Blake | « Un Rêve »
24 avril 2020, par arnaud maïsettiune fourmi perdue
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William Blake | « Jeudi saint (2) »
9 mai 2020, par arnaud maïsettil’hiver éternel
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William Blake | Chants d’Innocence & d’Expérience, le projet
9 juin 2013, par arnaud maïsettipourquoi, et pour quoi
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William Blake | « Introduction »
9 juin 2013, par arnaud maïsettiTandis qu’il pleurait en m’écoutant de toute sa joie
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Autre Savoir | Dater la naissance du langage
28 janvier 2014, par arnaud maïsettile désir d’être ailleurs
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Ossip Mandelstam | « Acquérir une langue »
17 février 2014, par arnaud maïsettile bégaiement de la naissance
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Franz Kafka | « Entre le public et le ciel »
25 décembre 2011, par arnaud maïsettiQuiconque vit abandonné et voudrait cependant, çà ou là,
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André Markowicz | traduire des voix
15 janvier 2009, par arnaud maïsetti« à chaque fois qu’il y a césure, il y a envol »
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l’accès à la plage est aux chiens
16 juillet 2010, par arnaud maïsettiDogs They Make up the Dark (Devendra Banhart, ’Rejoicing in the Hands’ [2004])
Dogs they make up the dark surrounding / Mountains, they move towards the sea Lie there, shine from your wound is blinding / Mountains still move towards the sea Derrière le mot effacé, on lit ce qui excède le sens, ou ce qui demeure sur le bord de, ce qui est en-deçà de tout, affleure et ne parvient jamais à rejoindre : on se tient devant la possibilité de l’insulte, de la caresse, du crachat et des perles de sang : tout (...) -
William Blake | « Joie du nouveau-né »
31 janvier 2020, par arnaud maïsettita marque
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enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais sorti d’ici, la (...) -
VIDÉO | chute des corps en mouvement
15 novembre 2011, par arnaud maïsettitrain Paris Bordeaux, le 14 novembre, à hauteur d’Angoulême
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Koltès | Raconter un bout de notre monde
12 mars 2012, par arnaud maïsettiNotes pour une intervention à Monthey (Suisse) autour d’un workshop sur Dans la solitude des champs de coton mis en scène par Armand Deladoey – mars 2012
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Contre-dictionnaire | cluster critique de taille réduite
11 novembre 2017, par arnaud maïsetticluster toi-même
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Contre-Dictionnaire | cordée
20 octobre 2017, par arnaud maïsettiderniers de cordée
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Koltès | « amour en dialectes inconnus de tous »
27 février 2012, par arnaud maïsettiNouvelle III, « personne ne se parle dans une langue définie »
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Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
4 septembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Apichatpong Weerasethakul | sept. 2010
Espaces de la mémoire