les mots qui manquent
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_d’une langue l’autre
Articles
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Autre savoir | Des mots intraduisibles
2 décembre 2017, par arnaud maïsetti -
Contre-Dictionnaire | cordée
20 octobre 2017, par arnaud maïsettiderniers de cordée
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William Blake | « Jeudi saint (2) »
9 mai 2020, par arnaud maïsettil’hiver éternel
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William Blake | « Joie du nouveau-né »
31 janvier 2020, par arnaud maïsettita marque
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Google Ngram | l’activité sismique des mots
3 janvier 2014, par arnaud maïsettimesurer la chair du temps
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Images classées | agenda du passé
20 novembre 2010, par arnaud maïsettinotes sur l’usage de mes photos (numériques) et ses classements
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Ossip Mandelstam | Acquérir une langue
17 février 2014, par arnaud maïsettiOssip Mandelstam, Le Bruit du temps, cité par Gilles Deleuze, dans son Abécédaire « Je désire non pas parler de moi, mais épier le siècle, le bruit et la germination du temps. Ma mémoire est hostile à tout ce qui est personnel.
Si cela dépendait de moi, je ne ferais que grimace au souvenir du passé. Je n’ai jamais pu comprendre les Tolstoï et les Aksakov, les petits-fils Bagrov, amoureux des archives familiales avec leurs épopées de souvenirs domestiques.
Je le répète, ma mémoire est non pas d’amour, (...) -
Fenêtre suspendue dans le noir_
Ana nb
4 mars 2011, par arnaud maïsettiJe traverse une ville sans nom .Je m’égare dans une rue sans visage .Une voix éclate. Je fuis. Je trouve un passage. Je reste là, un moment. « Sur l’écran de l’ordinateur, la surface verticale possède la rectitude lisse du trottoir de ma ville ». Je repars. Je marche vite le rouge sangle mes attentes. Dans le jour, dans le bruissement de la ville je découvre vos déplacements. Marcher traverser rentrer sortir regarder attraper des visages, coller des mots fantômes sur les murs sur les entrailles de la (...)
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Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
4 septembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Apichatpong Weerasethakul | sept. 2010
Espaces de la mémoire -
William Blake | « Introduction »
9 juin 2013, par arnaud maïsettiTandis qu’il pleurait en m’écoutant de toute sa joie
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William Blake | « L’écho de la verdure »
28 juin 2013, par arnaud maïsettiLe soleil se lève,
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Court et slovaque
_Nicolas Ancion
1er avril 2011, par arnaud maïsettiHier on était samedi Et tout l’après-midi Dans ma chambre chauffée J’ai gratté le papier et mon nez En alternance Des sécrétions de l’un il ne reste presque rien En ce dimanche de pluie Deux trois machins séchés sous une chaise Et de l’autre pas plus Six sept feuillets bleuis dans un carnet Une lettre affligeante Que je ne posterai que demain De Liège Si j’y pense C’est déjà un exploit un samedi pareil Il y en a eu tant d’autres dont il ne reste rien Même sous les chaises Des samedis de sieste Des samedis (...)
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Herrou & Paringaux | Bruxelles Plic Ploc
19 février 2010, par arnaud maïsettijournal, textes et photographies en regard de la ville et de ses jours
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Contre-dictionnaire | cluster critique de taille réduite
11 novembre 2017, par arnaud maïsetticluster toi-même
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William Blake | « Le ramoneur » (2)
8 juin 2021, par arnaud maïsettiIls font un ciel de notre misère
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enfer de la soif (partir)
16 avril 2011, par arnaud maïsettiPrends-y garde, ô ma vie absente !
Rimb.
« et le bruit neuf » : départ — rails, rides sur la main, toutes droites comme jamais le sont les départs ; et les affections : cette odeur de chaleur propre et ventilée des intérieurs (et pourquoi cette pensée sans douleur ni nostalgie, cette pensée toute là, immédiatement là quand j’entre dans le train, adressée à la brume de cendre qu’on traversait jadis dans les compartiments fumeurs du train vers Metz, l’odeur terrible du tabac sec jamais sorti d’ici, la (...) -
Koltès | « amour en dialectes inconnus de tous »
27 février 2012, par arnaud maïsettiNouvelle III, « personne ne se parle dans une langue définie »
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William Blake | « Le Ramoneur »
18 juillet 2013, par arnaud maïsettiet nous nous sommes tous levés dans le noir
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la poésie est-elle encore impossible ?
21 novembre 2012, par arnaud maïsettic’est au dix-huitième étage de la BNF — le Belverdère tout près du ciel, le #midi, juste avant l’enfoncée en sous-sol pour la lecture de l’après-midi — l’enfoncement dans moi-même aussi pour la parole brève mais violente, serrée contre moi comme un secret qu’on délivre (et devant, à bout portant, des visages plongés dans le noir, oh quelle autre image plus juste que cette plongée, et le noir, l’invisible des corps — même si pourtant ; il y avait les visages amis dans la lumière derrière qui soutenait tout ; et (...)
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James Joyce | Bloom’sday
16 juin 2021, par arnaud maïsetti« eh bien qui a été la première personne dans l’univers »