Des crimes abjects
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Articles
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Marseille depuis Saint-Charles
2 octobre 2017, par arnaud maïsetti -
l’envers du deuil
14 septembre 2019, par arnaud maïsetti15 septembre 2019
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Rimbaud, une vie | Voyelles. L’école, la gloire et l’ennui
21 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre V.
Apprendre à lire, à cracher. -
José Corti | l’esprit des lieux
26 décembre 2016, par arnaud maïsettifermer une librairie, vider les lieux
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Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsettiparcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
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Rosmonda d’Inghilterra
2 juin 2014, par arnaud maïsettiJohn William Waterhouse | Fair Rosamund
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Bernard-Marie Koltès | 9 avril 1948
9 avril 2020, par arnaud maïsettiles cris d’un enfant qui ne sait pas son nom
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La Ville écrite | éphémère, désespoir pour l’éternité
9 décembre 2013, par arnaud maïsettije ne suis pas d’accord
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Bernard-Marie Koltès | 15 avril, et peut-être l’éternité
15 avril 2023, par arnaud maïsettid’un quinze avril l’autre
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La Ville écrite | officielles
30 juin 2016, par arnaud maïsettipourquoi « la vie » nous avait séparés
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La Ville écrite | l a r é v o l u t i o n v a i n c r a
16 octobre 2016, par arnaud maïsettil’histoire ne s’arrête pas
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Milan #4 | Mille églises
11 juin 2022, par arnaud maïsettiEn cherchant l’ombre
printemps 22 -
Thomas Jolly | Naufrages ô désespoir
21 juillet 2016, par arnaud maïsettiLe Radeau de la Méduse, de Georg Kaizer, mis en scène par Thomas Jolly [Avignon In, Lycée Saint-Joseph] – juillet 2016
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Michel Butor | « Du pain sur la planche pour bien plus de cent ans »
24 août 2016, par arnaud maïsettiau moins
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Plus de vivants que de morts | une carte
4 novembre 2013, par arnaud maïsettile temps réel des morts
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Pierre Michon | « Le miracle »
1er décembre 2013, par arnaud maïsettile verbe pur et la lumière
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La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
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d’hiver, lumière et deuil
15 décembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, WInterlude On voit ces choses en passant (même si la main tremble un peu, si le cœur boite), et d’autres sous le même ciel : les courges rutilantes au jardin, qui sont comme les œufs du soleil, les fleurs couleur de vieillesse, violette. Cette lumière de fin d’été, si elle n’était que l’ombre d’une autre, éblouissante, j’en serais presque moins surpris.
Philippe Jaccottet, À la lumière d’hiver Oui, plus douce, plus diffuse : la lumière d’hiver ralentit dans l’air le temps qui passe et qu’il fait (...) -
le marchand de masques mortuaires
30 mai 2014, par arnaud maïsettiStatue devant laquelle peut-être je suis passé cent fois, et cent fois sans la voir — quel signe ? Le vendeur de masques — je recherche le nom du sculpteur et ne le trouve pas d’abord : c’est que je cherche mal : non, ce n’est pas, comme je l’ai cru, un marchand de masques mortuaires, mais un simple vendeur de masques, d’hommes vivants et bien vivants pour celui qui veut ainsi les saluer (et remercier ses bienfaiteurs : les sculpteurs ont les faiblesses des marchands). À distance maintenant, de (...)
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morsure du jour, et cette douceur d’ancêtres vivants
25 juin 2014, par arnaud maïsettiDans la vaste clarté du jour, le calme des sons lui aussi est d’or. On sent de la douceur dans tout ce qui arrive. Si l’on me disait qu’il y a la guerre, je répondrais que non, qu’il n’y a pas de guerre. Par une telle journée, rien ne peut venir peser sur l’absence de toute réalité, hormis cette douceur.
Pessoa
Car c’est sans doute la guerre, ici, plus loin, partout où il fait jour et nuit dans cet ordre ou non, et la lumière ce soir-là en portait trace, je le crois. Et ici pourtant, ce soir-là rien (...)