d’un quinze avril l’autre
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Articles
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Bernard-Marie Koltès | 15 avril, et peut-être l’éternité
15 avril, par arnaud maïsetti -
Didier Da Silva | Sept hypothèses du deuil
26 mai 2021, par arnaud maïsettiDidier Da Silva, La Mort de Masao, Marest éditeur, 2021
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Apichatpong Weerasethakul | Oncle Boonmee
4 septembre 2010, par arnaud maïsettiUn film de Apichatpong Weerasethakul | sept. 2010
Espaces de la mémoire -
José Corti | l’esprit des lieux
26 décembre 2016, par arnaud maïsettifermer une librairie, vider les lieux
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Dans la désolation
18 octobre 2011, par arnaud maïsetti(dé-zo-la-sion ; en vers, de cinq syllabes) s. f.
1° Action de désoler ; résultat de cette action. Il mit en désolation le sanctuaire, PASCAL, Proph. 26.
… avancer dans la désolation, comme on fait le tour du propriétaire d’un lieu possédé par toutes mes vies passées…
En regardant de loin fumer leurs villes et leurs maisons réduites en cendre, ils pleuraient la mort de leurs proches et la désolation de leur pays, FLÉCH. Hist. de Théodose, I, 32.
… marcher dans la désolation et reconnaître chaque (...) -
tuer le temps
23 juin 2006, par arnaud maïsettiune histoire de temps
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Patrice Chéreau | « parce qu’un homme meurt d’abord, puis cherche sa mort et la rencontre finalement »
7 octobre 2013, par arnaud maïsettidisparition de Patrice Chéreau
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sagesse des arbres : de renier un mort ou méconnaître un Dieu
2 août 2016, par arnaud maïsetti2 août 2016
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Thomas Jolly | Naufrages ô désespoir
21 juillet 2016, par arnaud maïsettiLe Radeau de la Méduse, de Georg Kaizer, mis en scène par Thomas Jolly [Avignon In, Lycée Saint-Joseph] – juillet 2016
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marches de la foule
1er juillet 2010, par arnaud maïsettiAll the people I like are those that are dead (Felt, ’Forever Breathes the Lonely Word’, 1986)
Maybe I Should entertain / The very fact that I’m insane I wasn’t fooling when I said / All the people I like are those that are dead (fou-l’) s. f. 6° Presse qui résulte d’une grande multitude de gens, et, par suite, cette multitude elle-même. 7° Le vulgaire, le commun des hommes. La foule ignorante et capricieuse. 8° Par extension, grand nombre. Foule compacte, même pas qui arrête, même mouvement (...) -
The Cinematic Orchestra | To Build a Home
2 juin 2014, par arnaud maïsettij’aurais voulu nous bâtir une maison
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fins du jour
31 décembre 2009, par arnaud maïsettiAu jour le plus court, jour le plus menacé par la nuit, c’est comme si, sur la pointe le plus resserrée du temps, toute la lumière venait s’agglutiner comme pour condenser une fois pour toute l’énergie accumulée une année durant avant de l’éparpiller dans la nuit la plus longue, de s’effacer avec elle.
Quand l’année finit, on n’en a pourtant jamais terminé avec le ciel, les formes qui se dessinent et tracent pour une part de soi les directions possibles : les formes d’un chameau, ou d’une belette, ou (...) -
Jacques Dupin | « comme si nous étions sur terre pour endurer la chaleur »
30 octobre 2012, par arnaud maïsettiJacques Dupin est mort
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Roland Barthes | Du souvenir et du néant
9 mars 2009, par arnaud maïsettiRoland Barthes, Journal de deuil, Seuil
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Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsettiparcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
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Rimbaud | vies imaginaires – #Voyelles. L’école, la gloire et l’ennui
21 août 2016, par arnaud maïsettichapitre 5.
Apprendre à lire, à cracher. -
le marchand de masques mortuaires
30 mai 2014, par arnaud maïsettiStatue devant laquelle peut-être je suis passé cent fois, et cent fois sans la voir — quel signe ? Le vendeur de masques — je recherche le nom du sculpteur et ne le trouve pas d’abord : c’est que je cherche mal : non, ce n’est pas, comme je l’ai cru, un marchand de masques mortuaires, mais un simple vendeur de masques, d’hommes vivants et bien vivants pour celui qui veut ainsi les saluer (et remercier ses bienfaiteurs : les sculpteurs ont les faiblesses des marchands). À distance maintenant, de (...)
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d’hiver, lumière et deuil
15 décembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, WInterlude On voit ces choses en passant (même si la main tremble un peu, si le cœur boite), et d’autres sous le même ciel : les courges rutilantes au jardin, qui sont comme les œufs du soleil, les fleurs couleur de vieillesse, violette. Cette lumière de fin d’été, si elle n’était que l’ombre d’une autre, éblouissante, j’en serais presque moins surpris.
Philippe Jaccottet, À la lumière d’hiver Oui, plus douce, plus diffuse : la lumière d’hiver ralentit dans l’air le temps qui passe et qu’il fait (...) -
Rimbaud | les vies posthumes
11 novembre 2011, par arnaud maïsetti120 ans après la mort de Rimbaud : aucun héritage
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Koltès | resting place
15 avril 2010, par arnaud maïsettivingt et un ans après