parcours dans les images laissées d’Orphée, et d’elle
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _deuil
_deuil
Articles
-
Eurydice,
25 février 2013, par arnaud maïsetti -
adresse #4 | à l’absente
17 juin 2010, par arnaud maïsetti« je suis dans la ville / ce qui t’encombre »
-
[Tondi] | les forêts
23 avril 2013, par arnaud maïsettid’or
-
d’hiver, lumière et deuil
15 décembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, WInterlude On voit ces choses en passant (même si la main tremble un peu, si le cœur boite), et d’autres sous le même ciel : les courges rutilantes au jardin, qui sont comme les œufs du soleil, les fleurs couleur de vieillesse, violette. Cette lumière de fin d’été, si elle n’était que l’ombre d’une autre, éblouissante, j’en serais presque moins surpris.
Philippe Jaccottet, À la lumière d’hiver Oui, plus douce, plus diffuse : la lumière d’hiver ralentit dans l’air le temps qui (…) -
Julien Gracq | « Habiter une forêt perdue »
22 décembre 2011Ils fumèrent un moment en silence
-
La Ville écrite | officielles
30 juin 2016, par arnaud maïsettipourquoi « la vie » nous avait séparés
-
La Ville écrite | faites l’amour
30 août 2018, par arnaud maïsettije ne vivrai pas sans souffrir un jour
-
Auguste Blanqui | Tombeau pour l’Enfermé
13 décembre 2023, par arnaud maïsettiPar la lumière vivante des étoiles
-
Bernard-Marie Koltès | 9 avril 1948
9 avril 2024, par arnaud maïsettiles cris d’un enfant qui ne sait pas son nom
-
lendemains, guerres et larges
18 novembre 2015, par arnaud maïsettiPuisque tout ce qu’on écrirait ferait honte à ces jours. Et puisque ne pas écrire sur ces jours, ferait honte, aussi. C’est le piège. La tentation du large comme une façon de se sauver de ces laideurs : ou de fuir en lâche ? Aucune issue peut-être. Mais ne pas s’en tenir là.
Ces jours de tuerie, on ne comprend rien. On regarde les infos en temps réel : le temps réel, on le reconnaît à ce qu’il ne produit que de l’attente. Sur les chaînes d’info en continu, des bandeaux "URGENT" défilent, (…) -
Michel Butor | « Du pain sur la planche pour bien plus de cent ans »
24 août 2016, par arnaud maïsettiau moins
-
à cette heure qui n’en est pas une
31 décembre 2010, par arnaud maïsettiTimewatching (The Divine Comedy, ’A Short album about love’, 1997)
LE MONSIEUR. - On peut toujours dérailler, jeune homme, oui, maintenant je sais que n’importe qui peut dérailler, n’importe quand. Moi qui suis un vieil homme, moi qui croyais connaître le monde et la vie aussi bien que ma cuisine, patatras, me voici hors du monde, à cette heure qui n’en est pas une, sous une lumière étrangère, avec surtout l’inquiétude de ce qui se passera quand les lumières ordinaires se rallumeront, et (…) -
aux reflets des villes
20 avril 2011, par arnaud maïsettiReflections (Daft Punk, ’Tron : Legacy’ (BO)
REFLET (re-flè ; le t ne se lie pas dans le parier ordinaire ; au pluriel, l’s se lie : des re-flè-z argentés) s. m.
1° Réflexion de la lumière ou de la couleur d’un corps sur un autre. Les reflets des nuages sur les champs.
Tous deux ont la tête garnie de petites plumes à demi relevées en huppe noire, à reflets verts et violets, BUFF. Ois. t. VIII, p. 325. Ce sont ces reflets infinis des ombres et des corps qui engendrent l’harmonie, (…) -
Shannon Wright | ma blessure secrète
1er juin 2011, par arnaud maïsettiFences Of Pales, oh
-
Pierre Michon | « Le miracle »
1er décembre 2013, par arnaud maïsettile verbe pur et la lumière
-
Georges Bataille, entretien 1951 | Le délaissement et l’aveuglement #6/7
12 mai 2015, par arnaud maïsettiProjet Éblouissements Bataille page sommaire de la rubrique Émission de l’ORTF du 20 mai 1951 lors de laquelle Bataille s’entretient avec différents intellectuels : Emmanuel Berl, Maurice Clavel, Catherine Gris, Jean Guyot, le Dr. Martin et Jean-Pierre Morphé. Émission d’André Gillois.
Je voulais vous demander, quand vous étiez petit, et même tout petit, quand vous commenciez à essayer de lutter contre l’ennui, si vous n’étiez pas en présence d’un but qu’on vous proposait, ou qu’on (…) -
et puis rentrer, mais d’où ?
14 septembre 2015, par arnaud maïsetti(jour et texte obsolètes) Les heures, tel un chariot avançant dans la fin du jour, reviennent en grinçant parmi les ombres de mes pensées. Si je lève les yeux de ma méditation, je les sens brûlants du spectacle du monde.
Pessoa, Livre de l’Intranquilité, fragment 322
Que deviennent tous ces jours passés quand on ne les écrit pas ? Tous ces jours ensemble, oui, je le sais : une masse continue de matins et de soirs qui se confondent dans le crépuscule, celui qui les écrit lentement, (…) -
Jacques Dupin | « Comme si nous étions sur terre pour endurer la chaleur »
30 octobre 2012, par arnaud maïsettiJacques Dupin est mort
-
Thomas Jolly | Naufrages ô désespoir
21 juillet 2016, par arnaud maïsettiLe Radeau de la Méduse, de Georg Kaizer, mis en scène par Thomas Jolly [Avignon In, Lycée Saint-Joseph] – juillet 2016
-
Plus de vivants que de morts | une carte
4 novembre 2013, par arnaud maïsettile temps réel des morts
