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_deuil
Articles
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[Tondi] | les forêts
23 avril 2013, par arnaud maïsetti -
Milan #4 | Mille églises
11 juin 2022, par arnaud maïsettiEn cherchant l’ombre
printemps 22 -
à part le siècle (le même âge que Kafka)
3 mai 2013, par arnaud maïsettic’est d’avoir appris, en feuilletant dans la rue ce Kafka que j’avais acheté le matin, qu’il était né en 1883 – comme moi, mais un siècle après –, que j’ai regardé cette peinture haute de toute la façade, et je me suis arrêté pour mieux la regarder, il y avait une jeune fille qui serrait la main de son amie en ne cessant de l’embrasser sur les yeux pour l’agacer un peu, et la faire rire (elle riait), et l’enfant qui se penchait sur sa poupée tombée sur le sol pour l’épousseter, et ce couple (…)
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Michel Butor | « Du pain sur la planche pour bien plus de cent ans »
24 août 2016, par arnaud maïsettiau moins
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adresse #3 | à l’insomnie
16 avril 2010, par arnaud maïsettiPour t’endormir, tu imagines des massacres et cela t’apaise
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Bertrand Cantat | Amor fati
29 décembre 2017, par arnaud maïsettija sagen
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Pierre Michon | « Le miracle »
1er décembre 2013, par arnaud maïsettile verbe pur et la lumière
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Rimbaud | Les vies posthumes
11 novembre 2011, par arnaud maïsetti120 ans après la mort de Rimbaud : aucun héritage
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tuer le temps
23 juin 2006, par arnaud maïsettiune histoire de temps
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Najaf | ville mausolée
12 août 2014, par arnaud maïsettile cimetière de Najaf : vues aériennes
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Aube de l’Odyssée | Les noms de la guerre
22 mars 2011, par arnaud maïsettithéâtre d’opérations
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Georges Bataille, entretien 1951 | Le délaissement et l’aveuglement #6/7
12 mai 2015, par arnaud maïsettiProjet Éblouissements Bataille page sommaire de la rubrique Émission de l’ORTF du 20 mai 1951 lors de laquelle Bataille s’entretient avec différents intellectuels : Emmanuel Berl, Maurice Clavel, Catherine Gris, Jean Guyot, le Dr. Martin et Jean-Pierre Morphé. Émission d’André Gillois.
Je voulais vous demander, quand vous étiez petit, et même tout petit, quand vous commenciez à essayer de lutter contre l’ennui, si vous n’étiez pas en présence d’un but qu’on vous proposait, ou qu’on (…) -
David Bowie | The Port of Amsterdam
28 janvier 2016, par arnaud maïsettiThere’s a sailor who sings, Of the dreams that he brings
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Roland Barthes | Du souvenir et du néant
9 mars 2009, par arnaud maïsettiRoland Barthes, Journal de deuil, Seuil
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la tombe de Jean Genet
14 avril 2016, par arnaud maïsetti[/Mais si je ne sais rien de précis sur la Mort D’avoir tant parlé d’elle et sur le mode grave Elle doit vivre en moi pour surgir sans effort Au moindre de mes mots s’écouler de ma bave.
Jean Genet, Le Condamné à mort/]
Je marchais vers la tombe de Jean Genet : je la savais seule au milieu d’un champ, tout au bord de la mer et tournée vers la Mecque, c’est tout. Je marchais vers la tombe de Jean Genet sans raison et sans peine ; je voulais seulement arriver avant le soleil, je veux dire (…) -
Dominique A. | Revenir au monde
25 avril 2013, par arnaud maïsettifais moi revenir
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Shannon Wright | ma blessure secrète
1er juin 2011, par arnaud maïsettiFences Of Pales, oh
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La Ville écrite | feu Romain Rolland combustibles
18 mars 2019, par arnaud maïsettide forêt en forêt bondit
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leur mort en moi qui mord_
Michel Brosseau
2 avril 2010, par arnaud maïsettiLes mots que je ne forme pas Est-ce leur mort en moi qui mord Louis Aragon, Le Roman inachevé
leur mort en moi il faudra s’extraire leur mort en moi qui mord trop incertain cet entre-deux tant d’inachevé tant de silence est-ce leur mort en moi qui mord quand maintenant vaciller quelle empreinte des mots lourds mots qui défont mots qui font qu’à renverse envers et contre tous leur mort en moi qui mord pas à pas mot à mot s’éloigner sans se perdre les mots que je ne forme pas tu sais le prix (…) -
un dépli — dans la chambre du mort
15 avril 2011, par arnaud maïsettiChorus - Since by man came death (Georg-Friedrich Haendel, ’Messiah’)
Texte écrit en écho, réponse, appel, à la séance 18 des ateliers d’écriture de la BU d’Angers proposée par François Bon. Je me suis dit qu’on écrivait toujours sur le corps mort du monde et, de même, sur le corps mort de l’amour. Que c’était dans les états d’absence que l’écrit s’engouffrait pour ne remplacer rien de ce qui avait été vécu ou supposé l’avoir été, mais pour en consigner le désert par lui laissé. (…)
