5.11, un an après
Accueil > Mots-clés > _Écrire > _foules
_foules
Articles
-
Rue d’Aubagne | « À nos morts, à vos murs »
6 novembre 2019, par arnaud maïsetti -
Réservé à l’affichage électoral | astres morts
18 juin 2017, par arnaud maïsettiNos ombres mortes de la veille
-
dans la direction de l’inconnu
25 décembre 2019, par arnaud maïsetti24 décembre 2019
-
La Ville écrite | flânage interdit
4 juin 2016, par arnaud maïsettiêtre au centre du monde et rester caché au monde
-
romantisme du confinement et privilège de classe
18 mars 2020, par arnaud maïsetti18 mars
-
la seconde qui s’écoule entre deux pas faits par un voyageur
27 mars 2020, par arnaud maïsetti27 mars 2020
-
À la Place de la République
29 novembre 2015, par arnaud maïsettides fourgons et des matraques
-
La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
-
Hong Kong #2 | Ville Monde d’en bas
18 janvier 2016, par arnaud maïsettile 14 octobre
-
on sait le dehors hostile, et les foules déchaînées
12 juin 2016, par arnaud maïsettiOn a peu d’abri : on n’en cherche pas. On sait que le ciel est vide. On sait que la ville est inhabitable. On sait combien ne suffira jamais la nuit. On sait aussi qu’on ne lui appartient pas vraiment. Vraiment, on sait mille choses : la vitesse de la lumière au siècle près, et le bruit que font les balles, ou la date des morts. On sait aussi qu’on ne survivra pas à ce monde. Oui, on sait beaucoup de choses, comme par exemple : que le ciel est vide, et qu’on est sans abri.
On sait le dehors (...) -
le feulement des coyotes dans Châtelet - Les Halles
13 juin 2017, par arnaud maïsetti13 juin 2017
-
en attendant, ne rien attendre
4 septembre 2016, par arnaud maïsettiBob Dylan, ’Can’t Wait’ (Time Out of Mind, 1997) Le langage n’est pas la vie, il donne des ordres à la vie ; la vie ne parle pas, elle écoute et attend.
Gilles Deleuze et Félix Guattari, Mille Plateaux, p. 95-96. À la recherche des signes, on perd souvent sa propre trace. J’aurai tant aimé la ville et je m’en éloigne, de plus en plus : pour mieux (me dis-je et me console) en retrouver la violence, la déchirure, la beauté terrible et nécessaire. La ville est comme sa terre : on ne peut l’éprouver qu’en (...) -
ciels de traine, formes du monde
27 avril 2017, par arnaud maïsetti27 avril 2017
-
l’état de la France, juste avant la peau
11 avril 2017, par arnaud maïsetti11 avril
-
une foule d’ombres
5 juillet 2016, par arnaud maïsetti[/ Nous rencontrâmes une foule d’ombres qui s’en venaient près de la rive, et chacune nous regardait ainsi que font le soir ceux qui se croisent à la nouvelle lune ; elles clignent des yeux vers nous comme le vieux tailleur au chas de son aiguille.
Dante, La divine comédie, Chant XV, (16-21)./]
Sous le miroir ombrière face au Vieux-Port passent ceux qui passent, chaque seconde une foule de moins traverse l’image et s’éloigne, le soleil frappe ce qui nous protège de lui, et pour rien s’épuise : au (...) -
Personnages #1 | Onze fois trente-trois
28 juin 2017, par arnaud maïsettidécrit non pas en général, mais dans un moment précis d’une histoire
-
il y était presque
1er mai 2017, par arnaud maïsetti1er mai
-
Avignon, aller et retour
24 juillet 2017, par arnaud maïsetti24 juillet
-
foules du présent, images de ces jours
30 juillet 2016, par arnaud maïsettiUne foule immense, compacte, silencieuse, s’était levée, peut-être un matin, un soir : on ne savait pas. Quand on passait auprès d’elle, on cherchait à y tirer une leçon : il n’y en avait pas. C’était peut-être cela, la leçon : foule qui était, de ces semaines, l’image parfaite, terrible et calme sous le jour. Immense, compacte, et silencieuse, et qui ne réclamait rien que d’être ici, foule sous le jour, commune appartenance au désir de commune.
De loin, on avait l’impression que la foule regardait d’un (...) -
Marseille | République en carton (grave)
7 avril 2016, par arnaud maïsettirue de la République en carton