Lettre à Oskar Pollak
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_Franz Kafka
Articles
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Franz Kafka | « La hache pour la mer gelée en nous »
5 avril 2014, par arnaud maïsetti -
le temps qu’on pense la mort vivante
24 mars 2020, par arnaud maïsetti23 mars 2020
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Franz Kafka | « Entre le public et le ciel »
25 décembre 2011, par arnaud maïsettiQuiconque vit abandonné et voudrait cependant, çà ou là,
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dans notre propre main la volonté, ce fouet
23 avril 2020, par arnaud maïsetti23 avril 2020
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ne serait-ce qu’implorer son rêve,
22 avril 2020, par arnaud maïsetti22 avril 2020
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car il ne s’est encore rien passé
18 avril 2020, par arnaud maïsetti18 avril 2020
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Entretien [2] | L’usage d’un site — effractions de la beauté
23 décembre 2012, par arnaud maïsettiEntretien avec Adèle Ponticelli pour Le Monde [2]
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Kafka | La Nuit (variation autours de)
29 octobre 2010, par arnaud maïsettinuit nf (nui ; le t se lie : travailler nui-t et jour, une nui-t obscure ; au pluriel, l’s se lie : des nui-z obscures) Images prises au pied du Panthéon — cet automne, après la pluie. Et lire ce soir, prenant une page au hasard des Récits posthumes et fragments de Kafka réunis, publiés et traduits par Catherine Billmann pour Actes Sud/Babel, ce court récit appelé ’La Nuit’.
Texte entrelacé ici de la simple définition donnée par Littré : entre, donc, j’y glisse les images de cette nuit précise qui (...) -
à part le siècle (le même âge que Kafka)
3 mai 2013, par arnaud maïsettic’est d’avoir appris, en feuilletant dans la rue ce Kafka que j’avais acheté le matin, qu’il était né en 1883 – comme moi, mais un siècle après –, que j’ai regardé cette peinture haute de toute la façade, et je me suis arrêté pour mieux la regarder, il y avait une jeune fille qui serrait la main de son amie en ne cessant de l’embrasser sur les yeux pour l’agacer un peu, et la faire rire (elle riait), et l’enfant qui se penchait sur sa poupée tombée sur le sol pour l’épousseter, et ce couple de vieillard, (...)
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(de l’adresse pour conjurer le désespoir)
23 décembre 2011, par arnaud maïsettide l’opacité de mes textes
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la seule souffrance que tu puisses éviter
13 avril 2020, par arnaud maïsetti13 avril 2020
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Kafka | « Et tu rêves du message »
22 mai 2013, par arnaud maïsettiquand la nuit vient
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La Ville écrite | KafKafKafKa
12 février 2016, par arnaud maïsettile gardien des portes
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puis la lumière du feu impérissable
27 avril 2020, par arnaud maïsetti27 avril 2020
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2010 | Séance 5_Récits de rêves
2 mars 2010, par arnaud maïsettirécits et lignes échappées : le rêve comme possible
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je me suis senti revêtu d’une cuirasse
30 avril 2020, par arnaud maïsetti30 avril 2020
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afin de te changer en celui que tu es
21 avril 2020, par arnaud maïsetti21 avril 2020
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Avignon #fin | s’armer de courage
24 juillet 2016, par arnaud maïsettiet celui qui a une fois flairé le sang au théâtre ne peut plus exister sans théâtre
Thomas Bernhard Place des héros Après trois semaines dans la fournaise d’Avignon, un dernier regard sur la ville : est-ce que je peux dire seulement que quelque chose a commencé ?
Des spectacles par dizaines et des foules qui entrent au hasard – après les fouilles (le mot est presque le même) par centaines pour s’assurer que –, des foules hurlantes et joyeuses venues ici pour s’applaudir elles-mêmes et se féliciter (...) -
Détruire le ciel
26 mai 2019, par arnaud maïsettiimpossibilité des corneilles
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quelle boussole
19 avril 2014, par arnaud maïsettiimaginez un brin d’herbe qui pousse par le milieu… (Kafka)
Le site est ma boussole ; non pas vers le nord, mais l’ouest (et cette phrase de Christiane Singer : dans une perte totale, tu touches ce qu’est ton être véritable).
L’adresse est folle, folle de folie, douce aussi — à la dispersion les cendres, être une part du vent ; et puisque le jour doit s’écrire comme le vent, être cela qui jette dans le vent soi-même, plein ouest toujours.
des herbes folles poussées en sagesse sur le sol dans les (...)