la terre, l’or, la boue et la cendre
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_histoires & Histoire
Articles
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Les villes qui n’existent pas | Tombouctou
23 septembre 2017, par arnaud maïsetti -
Pierre Michon | Où en est la nuit, Monsieur ?
31 juillet 2009, par arnaud maïsettiPierre Michon, Les Onze, Verdier – avril 2009
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Koltès | « je veux raconter cela »
20 juillet 2010, par arnaud maïsettiOccurrences du mot raconter (et du mot histoire) dans les entretiens de Koltès : enjeu d’un théâtre.
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le temps propre (anachronisme parfait de Saint-Just)
7 novembre 2013, par arnaud maïsettiQue le temps n’existe pas – c’est ce que j’apprends ce soir en écoutant le type, attendant l’explication qu’il repoussera sans cesse, disant qu’il n’a pas le temps, que c’est trop compliqué : alors je reste là, dans ce début de la nuit déjà bien épuisée, et avec elle tout aussi épuisé, attendant que le temps qui n’existe pas m’emporte, comme un croyant sur les ruines d’un temple qui prierait le cadavre d’un dieu qu’il avait bâti de toutes pièces, et que les ennemis venus de l’autre côté de la frontière ont (...)
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Pecha Kucha | Saint-Just, Vingt fois la terreur (le texte)
20 novembre 2012, par arnaud maïsettitexte et images
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apprendre à dire malesh
18 décembre 2017, par arnaud maïsetti18 décembre 2017
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Les villes qui n’existent pas | Troie
27 août 2017, par arnaud maïsettil’Histoire et son Poème
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Beyrouth, Liban | à travers la ville
16 décembre 2017, par arnaud maïsettide passage
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Saint-Just, Pour en finir avec la terreur
20 mars 2016, par arnaud maïsettile Bonheur possible
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dans l’écriture des jours d’oubli
13 mars 2016, par arnaud maïsettiLe cœur humain est né pour la faiblesse, Et l’héroïsme est un joug qui l’oppresse.
Saint-Just, Organt, 1789 (poème lubrique) Images : vers Marseilleveyre, les arbres tendent leurs branches vers le sommet du ciel
Ce soir, la nuit tombe sur toute la semaine — et sur les précédentes, de tout son poids, de toute sa hauteur de nuit. Je relis le long poème de Saint-Just, évidemment illisible, débordant de tout un désir de littérature, un désir de désir qui l’entrave ; et l’ombre invisible de l’Histoire plane (...) -
Images du pouvoir | occuper la parole
22 février 2011, par arnaud maïsettiDiscours de Kadhafi, Libye
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vision du corps de Baudouin IV le Lépreux
1er novembre 2019, par arnaud maïsetti1er novembre
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cet Avant-Garde du Monde
23 décembre 2014, par arnaud maïsettiparce que je suis la force de l’innommé
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« Tout ce qui ne se voit pas » | 100 monuments 100 écrivains
20 décembre 2009, par arnaud maïsettiaux éditions du Patrimoine
décembre 2009 -
Colloque | Thomas Ostermeier : Reinventing Directors’ Theatre at the Schaubühne Berlin, à Londres
22 juillet 2014, par arnaud maïsettiproposition de communication
Ostermeier et la réinvention de la mise en scène -
Rues Verlaine
3 mars 2011, par arnaud maïsetti50 photographies — Quartier des Batignolles dans les pas de Verlaine
Hiver 11 -
Innocences des Kirghiz
9 avril 2010, par arnaud maïsettigeste soufflé — révolte désœuvrée
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Rimbaud | vies imaginaires – #Naissance, au nom du père
6 août 2016, par arnaud maïsettiChapitre 2
la dette et la fuite -
anticipation #46 | le rêve de nos pères
4 février 2011, par arnaud maïsettiCe n’était pas là le rêve que nos pères avaient fait pour nous. Partout, les mêmes villes de géants étendues sur des pays entiers, des guerres interminables, sans soldat, sans cause, sans mort visible. Des vainqueurs sans victoire, et des vaincus sans sépulture. Des dates qui ne servaient que pour des commémorations. Des chiffres qui établissaient des comptes, mais les colonnes des profits et des pertes changeaient sans cesse. Les livres, eux, n’apparaissaient dans aucune colonne. Non, ce n’était pas (...)
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nous sommes à l’occident (Londres)
27 septembre 2014, par arnaud maïsettije vois que mes malaises viennent de ne m’être pas figuré assez tôt que nous sommes à l’Occident. Les marais occidentaux !
Rimb.
Aucune ville comme Londres ne me donne davantage cette impression d’Occident — le sentiment d’être comme sur la pointe la plus avancée d’une civilisation qui se pense telle, connaît son histoire et travaille à lui ressembler, jusqu’à dresser à chaque rue une ville qui serait conforme à l’image qu’on a d’elle. Le ciel aussi, blanc, qui touche les toits, épouse parfaitement l’idée (...)