« Yes because he never did a thing »
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_joie
Articles
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Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti -
R. M. Rilke | « La Grande Solitude intérieure »
31 août 2012Être seul comme l’enfant est seul
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Autre Savoir | Savoirs cerisiens
25 mai 2018, par arnaud maïsettiInterventions rétrospectives
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G. W. Leibniz | « Il n’y a rien de mort dans l’univers »
24 février 2012, par arnaud maïsetti« Chaque portion de la matière peut être conçue comme un jardin »
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Oracle #3 | Ghazal 23
22 février 2012, par arnaud maïsettià l’amour
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William Blake | « L’Agneau »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiPetit agneau qui t’a fait
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la pluie sauve
18 décembre 2011, par arnaud maïsetti— Douceurs ! — les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. — Ô monde ! —
Rimb. La pluie est cette puissance de déflagration dans ma vie qui recommence le temps, ces intervalles irréguliers et fabuleux qui prennent possession de tout, battent un rythme unique, continue, recommencé : la pluie est tout ce qu’il me reste quand je suis dehors, sans clé, sans armure ni protection d’aucune sorte. La pluie me sauve pour toujours, je me penche sur elle : (...) -
A. Breton | à la folie de ce jour
7 février 2012, par arnaud maïsettiIl faut aller voir de bon matin, du haut de la
colline du Sacré-Cœur -
Que ma joie demeure | « La bâtisse d’ombre »
15 mars 2013, par arnaud maïsettide grands pays mieux que le monde
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William Blake | « L’Image Divine »
11 août 2013, par arnaud maïsettiTous prient dans leur désarroi
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anticipations #51 | se venger
6 novembre 2012, par arnaud maïsettic’était se venger qu’il fallait
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« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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J.P Nataf | Les lacets
4 décembre 2013, par arnaud maïsettile jurer
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Que ma joie demeure | « C’était une nuit extraordinaire »
13 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture de la joie | le début
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quels mondes & qu’en faire
6 novembre 2016, par arnaud maïsettiDaniel Alexander, "The moments u had but were never at" Au détour de cette vie, après de nombreuses nuits et autant de jours traversés pour rejoindre la nuit, on se retrouverait soudain – fatalement – comme moi devant cette statue perdue près d’un rond-point d’une ville anonyme et banale du sud de la France, et le soir tomberait précisément ici même.
Lentement regarder la statue pour y déceler dans sa mélancolie une force possible n’empêche pas le soir de tomber et la nuit peut-être d’arriver encore, (...) -
William Blake | « Chanson pour rire »
2 août 2013, par arnaud maïsetti« Ah, ah, hi »
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la colère et la tendresse
28 octobre 2011, par arnaud maïsettiDerrière la vitre — mais qui est derrière la vitre : moi ; ou tout cela qui vit de l’autre côté, dans sa lumière – passent des présences affolées : je me retourne, ce n’était rien. Seulement des fantômes de ma présence passée ici, à cette même place, dans ces mêmes heures, qui disent
quelle beauté, oui, les couples en pleurs au milieu des trottoirs, les motos renversés, au matin, les ponts qui montent et descendent
Quand je reviens là, j’y suis encore par dizaines. Mes corps du passé demeurent là. Non pas (...) -
quand je fondais la terre (l’arbre de vie)
27 juin 2012, par arnaud maïsettiWhere were you when I laid the foundations of the Earth, when the morning stars sang together, and all the sons of God shouted for joy ?
« Où étais-tu quand je fondais la terre […] alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? »
(Livre de Job, chapitre 38-4)
Poussé en moi dans mes dérives, l’arbre : au bout de cette marche loin dans les quartiers de la ville, au sud, à l’ouest, là où il n’y a rien que des grandes tours (...) -
Frédéric Lordon | Et la ZAD sauvera le monde…
18 novembre 2019, par arnaud maïsettiMarier réalisme et utopie
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Bertrand Cantat | révélation de l’oracle
14 mars 2012, par arnaud maïsettinotes sur l’inouï