« Yes because he never did a thing »
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_joie
Articles
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Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti -
Autre Savoir | Savoirs cerisiens
25 mai 2018, par arnaud maïsettiInterventions rétrospectives
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William Blake | « L’Agneau »
6 juillet 2013, par arnaud maïsettiPetit agneau qui t’a fait
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« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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Reiner Maria Rilke | « La Grande Solitude intérieure »
31 août 2012Être seul comme l’enfant est seul
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Que ma joie demeure | « Mais le désir est le désir »
14 mars 2013, par arnaud maïsettiLecture linéaire d’un livre de grand chemin (« pour que demeure la joie au-delà de la joie toujours ») Il tournait le dos à la forêt.
Et puis la vie, la vie et la vie. Pas malheureux, pas heureux, la vie. Des fois il se disait… Mais tout de suite, au même moment, il voyait le plateau, et le ciel couché sur tout et loi, là-bas loin à travers les arbres, la respiration bleue des vallées profondes, et loin autour il imaginait le monde rouant comme un paon, avec ses mers, ses rivières, ses fleuves et ses (...) -
le monde loin derrière nous | prologue
2 mai 2012, par arnaud maïsettic’est né de la route
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Maroc | Erg Le Chabby
27 avril 2012, par arnaud maïsettisans peines
printemps 12 -
vingt-neuf fois mille et une nuits
10 janvier 2012, par arnaud maïsettiJamais su où sur ma main la ligne de chance était gravée ; jamais pu reconnaître la couleur de mes yeux, entendu ma voix sans sursauter et me retourner, lâcher dans l’effroi : qui est là ; jamais su retrancher le nombre des morts en moi ; jamais entendu le bruit de l’eau de pluie tomber sur la plage en pleine nuit ; jamais vu non plus le sommet des toits dans Paris au coucher des soleils ; jamais montée plus haut que la cheville l’eau du Pacifique ; jamais eu froid à Montréal ; jamais levé la tête (...)
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Rimouski | horizon fleuve
24 mai 2012, par arnaud maïsettidu nord à l’ouest
printemps 12 -
anticipation #49 | virginités
24 décembre 2011, par arnaud maïsettireprise des hostilités
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[Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
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J.P Nataf | Les lacets
4 décembre 2013, par arnaud maïsettile jurer
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William Blake | « La Fleur »
10 juillet 2013, par arnaud maïsettitout près de mon cœur
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Oracle #3 | Ghazal 23
22 février 2012, par arnaud maïsettià l’amour
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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comme le feu se relève
18 décembre 2018, par arnaud maïsetti18 décembre 2018
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ombres des bancs
2 février 2012, par arnaud maïsettiDans cette ville, ceux qui retirent les bancs ne savent pas – peut-être est-ce pour des raisons précises : aménagement urbains, vastes plans de réinvention des quartiers, rêves formulés en secret par des architectes inconnus qui complotent pour disposer les énergies de la ville autrement, répartitions neuves des forces.
L’idée que les bancs seraient enlevés pour chasser ceux qui la nuit y allongent leurs corps, seraient retirés pour faire place nette la nuit quand les immeubles chauffés éteignent leurs (...) -
au bras des ombres
28 mars 2012, par arnaud maïsettiJe sors au bras des ombres, Je suis au bas des ombres, Seul.
On ne peut pas faire l’impasse au silence dans le matin, le premier silence du matin, celui qui lance dans le corps entier le matin qui commence, et il faudrait parler : non (à part écrire un rêve) ; alors garder le silence contre soi apaise, et peu à peu, devient comme une manière de trésor, et l’approche du sacré — puis, la question demeure : jusqu’où tenir le silence, jusqu’à quelle heure, et à qui, ensuite, le déposer. Il en va de mes (...) -
XI.
24 septembre 2004, par arnaud maïsettiil s’agit maintenant