Marier réalisme et utopie
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Articles
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Frédéric Lordon | Et la ZAD sauvera le monde…
18 novembre 2019, par arnaud maïsetti -
[Tondi] | pour rideaux l’ombre de la colline
15 décembre 2012, par arnaud maïsettiqu’en pensez-vous ?
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Autre Savoir | Savoirs cerisiens
25 mai 2018, par arnaud maïsettiInterventions rétrospectives
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Rimouski | horizon fleuve
24 mai 2012, par arnaud maïsettidu nord à l’ouest
printemps 12 -
William Blake | « Printemps »
19 août 2013, par arnaud maïsettides cris d’enfance
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La Ville écrite | Marseille : vivez,
31 mai 2016, par arnaud maïsettiréjouissez vous
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La Ville écrite | rappelle-moi Max
8 novembre 2016, par arnaud maïsettilocal poubelle
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Les villes qui n’existent pas | Çatal Höyük
9 juillet 2020, par arnaud maïsettipar les toits de la ville, la ville
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Oracle #3 | Ghazal 23
22 février 2012, par arnaud maïsettià l’amour
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comme du passé en action
3 février 2015, par arnaud maïsettiToute la journée en attendant des nouvelles de la neige ; ici, quelques flocons suffisent à désorganiser le monde. C’est rassurant. Que quelques gouttes de glaces grippent la machine ; que l’ordre des choses défaillent quand du vent gelé surgit. Ici, c’est deux jours dans l’année, parfois un, parfois aucun. Quand cela arrive, les routes sont bloquées, les bâtiments publics évacués, le temps s’arrête le temps que dehors le temps passe et recouvre tout, quelques millimètres d’épaisseur et l’organisation (...)
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quels mondes & qu’en faire
6 novembre 2016, par arnaud maïsettiDaniel Alexander, "The moments u had but were never at" Au détour de cette vie, après de nombreuses nuits et autant de jours traversés pour rejoindre la nuit, on se retrouverait soudain – fatalement – comme moi devant cette statue perdue près d’un rond-point d’une ville anonyme et banale du sud de la France, et le soir tomberait précisément ici même.
Lentement regarder la statue pour y déceler dans sa mélancolie une force possible n’empêche pas le soir de tomber et la nuit peut-être d’arriver encore, (...) -
une vie, ou l’imminence
2 octobre 2016, par arnaud maïsetti[/Rien n’a d’importance, et je crois que bien des gens ont considéré la vie comme un enfant turbulent, en soupirant après le calme qu’ils allaient enfin connaître quand il irait se coucher.
Pessoa, Le Livre de l’intranquillité/]
Radiohead, « Life in a Glasshouse », Amnesiac (2001) Celui qui a écrit, rapidement, comme en fuyant, UNE VIE sur le rebord de muret face à l’université, est-ce qu’il voulait déposer sa vie, ou seulement en arracher une, une autre, une plus grande ou plus simple, une possible, une (...) -
Oracle #4 | Ghazal 125
10 mars 2012, par arnaud maïsettiIl faut, Nathanaël, que tu brûles en toi tous les livres.
A. Gide. Les Nourritures terrestres HÂFEZ DE CHIRAZ | LE DIVÂN
interroger l’oracle – voir texte de présentation du projet.
Ghazal 125 1.
Le nuage du mois d’âzâr s’est levé, le vent du Jour Nouveau a soufflé. Je réclame de l’argent pour vin et ménestrel. Qui me dira : « il est là » ?
Au mois d’hasard correspond celui de la nécessité : je naîtrai (d’un geste, ouvrir les rideaux rouges pour laisser le jour neuf me transpercer les yeux pour la (...) -
anticipations #51 | se venger
6 novembre 2012, par arnaud maïsettic’était se venger qu’il fallait
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le monde loin derrière nous | prologue
2 mai 2012, par arnaud maïsettic’est né de la route
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anticipations #25 | Nuits de Walpurgis
2 mai 2015, par arnaud maïsettile diable autour du feu
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André Breton | « Il faut aller voir de bon matin »
7 février 2012, par arnaud maïsettiÀ la folie du jour
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Joyce | « O and the sea the sea crimson sometimes like fire »
17 juin 2012, par arnaud maïsetti« Yes because he never did a thing »
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la pluie sauve
18 décembre 2011, par arnaud maïsetti— Douceurs ! — les feux à la pluie du vent de diamants jetée par le cœur terrestre éternellement carbonisé pour nous. — Ô monde ! —
Rimb. La pluie est cette puissance de déflagration dans ma vie qui recommence le temps, ces intervalles irréguliers et fabuleux qui prennent possession de tout, battent un rythme unique, continue, recommencé : la pluie est tout ce qu’il me reste quand je suis dehors, sans clé, sans armure ni protection d’aucune sorte. La pluie me sauve pour toujours, je me penche sur elle : (...) -
Louis Aragon | « Voilà ma vie »
2 novembre 2011, par arnaud maïsettiIl ne pleut pas Le vent s’est tu La nuit profonde