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_lumière
Articles
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Peter Handke | « accorde-toi le soleil »
31 janvier 2019, par arnaud maïsetti -
Marseille | Et les feux éclipsés du grand astre du monde
19 février 2014, par arnaud maïsettiMarseille, et Virgile
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Il n’y pas si longtemps que j’ai revu la mer et foulé le pont des vaisseaux
31 janvier 2011, par arnaud maïsettiI Swam out to Sea - Return (Max Richter, ’Waltz With Bashir (BO), 2008) Alors les mers soulèvent leurs eaux, engloutissent dans leurs abîmes les planches ; les ouragans, les tremblements de terre renversent les maisons, la perte, les maladies diverses déciment les familles priantes. Mais, les hommes ne s’en aperçoivent pas.
De ce qui vient et revient à même hauteur, du jour, cette lumière qui passe la fenêtre pour me montrer mes mains tapant à la surface des touches ce qui saurait dire la hauteur et (...) -
Aubes | XV. (Quand on regarde le soleil)
17 mars 2014, par arnaud maïsettiquinzième chapitre
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Dominique A. | Revenir au monde
25 avril 2013, par arnaud maïsettifais moi revenir
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Jrnl | Puisqu’il est trop tard
14 mars, par arnaud maïsettiMardi 14 mars 2023
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le centre vide de la ville (il y a beaucoup de ciel)
14 novembre 2013, par arnaud maïsettiIl y a beaucoup de mer. Phrase de marin pour dire (je ne sais pas vraiment, j’imagine : une mer formée, avec des creux, des trous, des murs d’eaux soudain qui viennent s’abattre comme des oiseaux morts, des corps de plein désir) — et chaque matin, c’est cette phrase qui me vient pour dire (je ne sais pas vraiment, il y a tant de ciel, comme dire que)
Pour aller vers la ville, et en sortir, passage obligé par la Rotonde — en faire le tour comme d’une centrifugeuse : mais au lieu de prendre de la (...) -
Tempora mutantur et nos mutamur in illis (se consacrer à la mesure du temps)
17 février 2014, par arnaud maïsettiJ’attendais le titre de mon film idéal mais j’ai finalement décidé de seulement lui donner un nom, il fallait que ce soit bref, un mot court, très familier, j’ai cherché les noms les plus communément utilisés. Le nom numéro un était temps, et tout de suite je me suis sentie moins isolée, je n’étais pas la seule, tout le monde y pensait aussi. Le numéro deux était personne, le numéro trois année, le numéro trois cent vingt était futur. Le futur. Je n’avais pas eu l’intention d’écrire un scénario sur le temps, (...)
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la neige, la lune (un corps dans l’éloignement)
10 décembre 2013, par arnaud maïsettiCette jeune fille s’éloignait dans la neige et la lune — il n’y avait pas de neige, et la lune effacée derrière les immeubles, la rue est si étroite ; et c’est à cause de cette rue que je me suis arrêté, l’échafaudage à droite, la courbe légère qui distribuait de la lumière, quelque chose qui partait — et en effet ; mais je ne le savais pas.
C’est quand j’ai regardé l’appareil pour vérifier la lumière que je l’ai vue à l’écran : cette silhouette qui s’en allait. Silhouette — dessin qui représente un profil (...) -
au coucher de soleil (comme une harmonie)
25 août 2013, par arnaud maïsettiDe telles matinées sont réelles, si l’on veut. Mais on y a cette exaltation où la moindre beauté nous grise et nous donne presque, quoique la réalité habituellement ne puisse pas le faire, un plaisir de rêve. La couleur juste de chaque chose vous émeut comme une harmonie, on a envie de pleurer de voir que les roses sont roses ou, si c’est l’hiver, de voir sur les troncs des arbres de belles couleurs vertes presque réfléchissantes, et si un peu de lumière vient toucher ces couleurs, comme par exemple au (...)
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fonds obscurs des contes ancestraux
7 janvier 2012, par arnaud maïsetti« puis il retourna à son ouvrage comme si de rien n’était » : c’est là une phrase que nous citons souvent, venue, semble-t-il, d’un fonds obscur de contes ancestraux et qui peut-être ne se trouve dans aucun.
Kafka, aphorisme 108. Jamais plus que ces derniers jours je n’avais ressenti le besoin de la lumière – évidemment, c’est parce que j’en suis privé. Je compte sur les doigts d’aucune main les fois où j’ai vu le soleil, en deux semaines. Question de circonstances, de manque de chance ? Peut-être. On me (...) -
« la lumière vient de ce qui se laisse détruire » (Supernova)
16 juin 2012, par arnaud maïsettiDu ciel ne nous parviennent que des nouvelles anciennes, déjà effacées, d’un monde éteint : et moi je marche à travers elles. Les lumières qui me permettent de voir et d’avancer dans la nuit noire d’un soir comme celui-là sont jetées par une étoile aujourd’hui morte, depuis des milliards d’années, morte et enterrée dans un noir plus grand encore que celui qui nous entoure. Appris il y a peu : en quoi une supernova nous est précieuse, parce que dans cette mort de l’étoile surgit une lumière telle qu’elle (...)
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La Ciotat & Cadolive | Sur les hauteurs
21 novembre 2017, par arnaud maïsettiprendre le vent
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ce qui ne marche pas
18 mai 2017, par arnaud maïsetti18 mai 2017
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[Tondi] | avoir part à l’ombre
8 avril 2013, par arnaud maïsettiavoir part au danger
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Alix Cléo Roubaud | Telle est la folie de la photographie
10 juin 2010, par arnaud maïsettiAlix Cléo Roubaud, Journal, Seuil, « Fictions & Cie » – juin 2010
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louange à l’équinoxe
23 septembre 2014, par arnaud maïsettiMoment donné où le soleil, passant à l’équateur, rend les jours égaux aux nuits dans tous les pays du monde. L’équinoxe du printemps. L’équinoxe d’automne. Au passage, la Place Castellane, furtive ou imprécise, semble bouger dans le soir qui tombe plus rapidement que moi, ce soir — et avec cette lumière, tous ces jours ensemble soudain. Ne pas les avoir écrits les préserve, je le sais — je le désire aussi. Du mois traversé, comme je fais le tour de cette place avec le sentiment que je fais tourner autour de (...)
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Nadia Tueni | « Crois-tu que la terre s’habitue à tourner ? »
3 décembre 2013, par arnaud maïsettic’est le bruit du jour sur le pavé
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Aubes | X. (Sans un mot)
6 mars 2014, par arnaud maïsettidixième chapitre
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Montpellier | cinquante-neuf fois le matin vide
30 novembre 2013, par arnaud maïsettiChemin vers
automne 13